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  • Alors Faudel, maintenant que tu as seize ans, dis-nous tout de ta vie sentimentale.
  • Faudel : « Beh, y a pas grand-chose à en dire : les filles ne m’intéressent pas plus que ça, je préfère m’amuser avec mes potes ! Faut dire que des filles y en a assez (et même trop) chez moi à la maison, et elles sont vachement chiantes ! Par contre, c’est vrai que mes potos commencent à me mettre la pression, se moquant de moi parce qu’ils m’ont jamais vu avec une fille ! »
  • Et, comment le prends-tu ? Qu’est-ce que tu ressens avec cette pression du groupe ?
  • F : « En fait, j’ai déjà embrassé une fille, juste comme ça pour voir ce que ça donne, mais ça m’a fait ni chaud ni froid, surtout que je l’ai à moitié embrassé sur le nez ! Mais maintenant qu’on me tanne avec ces histoires de bistouquettes, je crois bien que je suis obligé d’y passer, j’ai plus trop le choix ! »
  • Tu le vis uniquement comme un rite initiatique, un passage obligé pour devenir un grand grâce à son gland ?
  • F : « Non, quand même pas : c’est sûr que je suis pas pressé de faire péter une petite fourrure, mais je suis quand même assez curieux de savoir ce que ça donne ! D’ailleurs, grand masturbateur devant l’Éternel et depuis longtemps ami fidèle de Madame Cinq (doigts), j’ai quand même déjà joué à touche-pipi, mister quiqui [1] se prenant pour un docteur de la foufoune, même si c’était plus par curiosité que par réel intérêt ! Pour faire mon éducation j’ai fait feu de tout bois [2], mais quand je l’ai vue à poil je me suis demandé pourquoi on faisait tant d’histoire pour si peu de choses attrayantes. De toute façon la fille, plus grande, m’avait bien dit : « On joue au docteur, mais on ne jouit pas : tu es ton personnage, mais tu ne rentres pas dans mon personnage ! ». Par la suite, je me suis fait des prévisuels en m’abreuvant de films de boules : avec un peu de doigté, ça a pas l’air super compliqué ! J’ai la théorie, y a plus qu’à avec la pratique !!! À présent, comme il faudra de toute façon tôt ou tard y passer, autant le faire maintenant, et c’est pour ça que je vais profiter des vacances de Pâques, loin de ma cité, pour tenter l’expérience : au moins, si ça se passe mal, personne ne le saura par chez moi et j’aurai pas la tehon, je pourrais toujours pipoter un truc ! »
  • Bonnes vacances alors, on va continuer à te suivre discrètement.

 

 

En vacances de Pâques dans la campagne du Tarn-et-Garonne avec ses parents, Faudel veut tenter son premier coup d’essai loin de chez lui, on ne sait jamais et le poids de la réputation peut vite devenir pesant pour un lycéen fraîchement émoulu et déniaisé [3]. Toujours est-il qu’il joue à la pétanque avec les jeunes de Montauban (dont des montalbaises, euh montalbanaises pardon), tourne au jaune comme tout le monde (mais en toute discrétion), écume les fêtes de village en compagnie de ses compères et commères festivaliers. Justement, les informations sur ce bon p’tit gars rebeu de banlieue mais sympa circulent vite, d’autant plus qu’il squatte tout groupe de djeuns où il se sent à l’aise afin de rencontrer un maximum de personnes et pouvoir choisir en toute connaissance celle avec qui il se sentira suffisamment en confiance pour jouer au laboureur des champs virginaux.

 

Voyant la fin des vacances arriver, Faudel décide d’aller prendre l’air en se promenant avec son Dax dans l’arrière-pays, histoire de se mettre au vert après tellement de jaunes et de rouges. Roulant au milieu des champs de tabac, il sent bien qu’il pourra se la mettre sur l’oreille et la fumer dans un sacré bout de temps. Mais que se pastis ? Touf-touf, la bécane commence à faire des siennes ! Avec ce cadran qui déconne, il a mal jaugé sa réserve d’essence. Le voilà en panne sèche au beau milieu de nulle part. « Quand rien ne va, c’est la merde, c’est la merde, que voulez-vous, pfff !!! »

Faudel entend bien des tracteurs travailler au loin mais le bruit est ténu donc ils sont effectivement hors de portée de marche et Faudel ne veut pas laisser son Dax sans surveillance. Évidemment le portable ne passe pas et de toute façon, d’une ses parents ne viendraient pas le chercher, ça lui fera les pieds, c’est comme ça qu’on apprend à faire attention, et de deux lui-même ne saurait indiquer où il se trouve.

Après une heure passée à se déshydrater au soleil, voilà qu’arrive une princesse charmante, montant en amazone un fier destrier blanc.

Jamais avare de regards mâles placés, Faudel s’aperçoit vite que cette belle des champs est intégralement nue sous sa robe bleue à boutons. Non pas qu’elle soit spécialement frivole ou légère, mais tout bonnement parce qu’à la campagne on aime bien être en contact avec la Nature, les éléments, et se sentir Libre, sans contraintes autres que celles que l’environnement impose. Et là justement, de par les premières chaleurs printanières, Annabelle sent que certains textiles sont de trop.

Motivés par les ardeurs de ce printemps ensoleillé, nos deux inconnus s’apprivoisant sont comme la végétation environnante : les fleurs bourgeonnent et les arbres ont la sève qui monte !

Annabelle n’est pas du genre fille facile, mais à force de voir les animaux, tant de la ferme que de la nature environnante, se conter fleurette, parader comme les beaux gosses du village pour assouvir les instincts biologiques, elle aussi souhaite s’ouvrir à ce nouveau champ expérimental : bref, comme une grande majorité des êtres vivants, ceux sexués car tout le monde ne l’est pas, elle veut faire de la nature, voir la chose de près et tâter du gourdin.

Notre montalb(an)aise campagnarde se dit que plutôt que de s’offrir à un gars du patelin qui racontera à tous ses potes ce qu’il lui a mis, en surjouant au possible, elle préfère les prétendues sciences d’un gars des villes.

 

Après avoir expliqué son problème moteur, la cavalière blanche (qui vient et qui vole au secours d’innocents) lui propose de le ramener chez elle chercher un bidon pour faire le plein et recharger les batteries (enfin le réservoir). Devant l’insistance de Faudel à ne pas vouloir abandonner là son Dax, Annabelle lui propose d’aller déposer l’engin plus loin, dans une petite grange à l’écart dans son verger !

Avec notre équipement d’invisibilité, approchons-nous pour entendre ce qu’ils disent et utilisons notre analyseur de pensées pour connaître leur voix intérieure.

 

  • Faudel : « Merci beaucoup pour ton coup de main, je sais pas comment j’aurais fait sans toi ! Si je peux t’être utile en quoi que ce soit, n’hésite pas !
  • Annabelle : C’est bien normal voyons, si on peut aider quelqu’un dans le besoin, il faut le faire ! Mais maintenant que tu en parles, je vois bien un moyen de me remercier : un baiser fougueux sera ma récompense pour ma b.a du jour !
  • F : {Ouah, trop de la balle, je vais lui en mettre plein la langue à cette Anna(top)bonne, mais faut juste que j’arrête de trembler comme une feuille. Bon allé je me lance ! Tu fermes les yeux, tu mouilles tes lèvres et feu, c’est parti pour la valse des langues !}
  • A : {Hummm, si on oublie qu’il a commencé par m’embrasser le bout du nez, il fait ça plutôt bien !}
  • F : {C’est qu’elle aime ça la coquine ! Je suis sûr en plus qu’il y a moyen si je la chauffe tranquille jusqu’à ce qu’elle bouillonne et qu’elle s’abandonne à moi ! On va commencer gentiment par lui caresser le dos, ensuite j’attaque les hanches et si elle bronche pas je file droit vers les fesses.}
  • A : {Mais c’est qu’il est chaud bouillant celui-là ! Bon, qu’est-ce que je fais ? Il a l’air de savoir y faire, même s’il semble aussi timide/hésitant que moi. Allez, laissons-nous aller, on verra bien ce que ça donne, et au pire je ne le reverrai plus.}
  • F : {Glop glop, elle se laisse faire ! Je vais continuer de lui malaxer les fesses, quelques bisous dans le cou pour faire diversion et je palpe du nichon. Ouah ! Mais tâtez-moi ces gros melons de Miss Cavaillon, c’est vraiment du bon !!! Je déboutonne un peu et je fais prendre l’air à sa sphère orangère gauche. Elle me met vraiment la fièvre, je suis en sueur, mais quel bonheur ! Le soleil est au zénith comme ma bite, c’est l’heure de la sieste crapuleuse. C’est l’heure d’expérimenter les amours adolescentes à l’ombre de la jeune fille en fleur à déflorer : le papillon va enfin sortir de sa chrysalide !!!}
  • A : {Je le sens tout feu tout flamme, et son léchage intensif de mes récifs n’est pas là pour calmer ses ardeurs, ni les miennes d’ailleurs ! Moi qui ne connaissais des plaisirs de la vie que le concombre phallique, voyons l’effet que je lui fais ! Mazette, mais c’est qu’il est monté comme un étalon, un beau pur sang arabe ! J’ai hâte de sentir sa grosse courgette, ce qui ne devrait pas tarder vu qu’il commence à me défriser la chicorée en me mettant la main au panier à salade frisée !}
  • F : {Eh eh, je vois que la machine se met bien en branle, elle en a l’écume à la lèvre inférieure ! C’est le moment d’agir avec doigté pour la sentir ruisseler d’en bas comme moi de sous les bras ! Ouah, je pensais pas que ça lui ferait cet effet là !!! Ah non, c’est la barrière électrique qui la secoue comme ça ! En tout cas, vu comme elle s’agrippe à mon manche, c’est un peu le même genre d’électrochoc physique et émotionnel qui traverse son corps : les décharges électriques sont comme les hormonales !}
  • A : {Fatch, quitte à avoir mal en se faisant du bien, autant que je l’amène dans la grange, à la lisière des liserons [4] fripons [5] lui montrer comment on sait s’amuser dans la campagne juste avec une botte de paille et une bite de taille !}
  • F : {Même si « qui va piano va sano » [6], vu comme elle me prend de courte jupe, ça risque de venir vite ! Tout s’emballe trop vite même si d’habitude j’aime emballer vite fait s’est pesé les bons fruits bien mûrs (au marché en tout cas). J’ai la queue touffue [7] tout flamme. Mais ça va le faire, ça gère : quand c’est parti, il faut aller jusqu’au bout du bout, pas question de se débiner de la binette [8] !!! Sympa l’idée du box : elle qui apprécie les chevaux, elle va aimer se faire monter comme une jument, non par un poney, mais par un furieux étalon !!! Tu vas voir comme je vais la mener à la cravache cette bombe du milieu équestre ! Que je me rappelle comment ils font dans les films de boule ! Avec tous ceux que j’ai vus, j’arriverai à lui faire croire que j’en suis pas à mon coup d’essai, ce sera un coup de maître queue !!! Voilà, je te bascule sur la botte et tu m’offres telle une fleur ton bourgeon ! Je vais enfin découvrir son poteau rose clitoridien et introduire mon bâton rouge dans son pot aux roses [9] ! Donc là, il faut bien caresser son petit bouton de rose pour mettre de l’huile dans les rouages : dans la vie, petit homme, il faut que ça glisse ! Je vais lui emboucher son coing [10] en lui mettant mon dard dedans, cherchant la petite bête au fond du trou avec mon gros bâton ! Bon, c’est bien gentil tout ça mais justement, allons voir si la rose que j’ai cueillie il y a peu est éclose, que ma rosée l’arrose !!!}
  • A : {Maintenant qu’on est allongés dans la grange, je cherche l’aiguille faudellienne dans sa touffe de foin. Je prends en main le manche du bêcheur, enfin du pécheur plutôt vu comme il est déjà tout mouillé !}
  • F : {Hum, elle ouvre la cage à mon gros oiseau ; le regarder se lever c’est beau ! Euh, c’est bizarre, elle fait une "drôle" de moue devant mon bout ! Putain c’est quoi cette merde ??? Mon caleçon est taché, j’espère que ça va pas tout gâcher ! Bref, ne pensons plus à tout ça, l’important est de trouver le terrier, de suivre le lapin rose [11] et de l’apprivoiser avec ma grosse carotte. Tient ma belle, voilà du boudin, voilà du gourdin ! Bordel, elle est où cette putain d’entrée pour pénétrer la chaude clairière de la forêt "vierge ( ?)" humide ??? Dans les films de cul ça a l’air si facile, mais avec une vraie personne en face le passage réel à l’acte n’est pas si évident !}
  • A : {Mais qu’est-ce qu’il branle à avancer comme ça à tâtons, il tape sa gaule pour faire tomber les mirabelles ou quoi ???}
  • F : {Putain je comprends pas, j’ai même mis mes doigts pour guider mais ça suit pas ! Bordel, plus j’y pense et moins j’oublie et bande !!! Et tu crois qu’elle m’aiderait, en prenant la chose en main ??? Enfin c’est pas plus mal comme ça : un peu de concentration jeune homme, et tu vas voir, ça va bien se passer, tu es Robin de bois, l’homme qui envoie le bois !!! Et merde, voilà que ma bite me lâche et met le drapeau en berne ! C’est trop injuste toute cette impuissance alors que la belle s’offre au bête que je suis !!! J’ai même rien senti venir : j’allais lui lâcher le furet dans le terrier et finalement je passe pour un blaireau de mytho !!! Ça craint : si c’est sa première fois je lui aurai même pas pétée la rondelle, et si elle est plus vierge je passe vraiment pour un manche ! Bon, de toute façon je me casse demain, donc autant faire comme si et je m’arrache vite fait ! Tant qu’à lui donner le minimum syndical de plaisir, je vais continuer de la peloter et lui mettre trois doigts cette fois, ça fera un peu illusion et voilou !}
  • A : {Ah, c’est la débandade ! Quel mou du bout !!! J’aurai dû me méfier, il avait plutôt l’air d’un boute-en-train, le genre qui chauffe la jument pour céder sa place au dernier moment à l’étalon pour qu’il fasse saillie alors que l’autre canasson se contentera toujours de regarder !!! Bon allez, je me tortille un peu, je fais comme si de rien n’était ! Oh et puis zut, je suis dans un bon jour, je vais faire du social avec lui ; pour sûr, c’est dur d’avoir un tel coup de mou !}
  • F : {Cool, elle a rien capté et voilà que maintenant cette mutine butine mon Dard Des-Villes}
  • A : {Je veux bien être gentille mais quand même, ça craint le syndrome du poireau : déjà, la tête est blanche, mais en plus la queue reste verte, pas bonne à sucer ! Il m’aurait proposé un jus de carotte, j’aurais dit la carotte oui, le jus non, mais finalement j’aurai aucun des deux : pfff, tout dans la gueule du loulou, rien dans le slip !!! Ça m’aurait pourtant fait plaisir de lui faire plaisir ! Tant pis pour moi, mais au moins je n’ai rien perdu dans l’ "affaire" : j’ai pris du bon temps à défaut de mon pied, et il n’ira pas vanter ses "exploits" ! Y en a marre, je le remercie pour "tout ça" et on y va, "affaire" classée !!!}

 

 

  • Alors Faudel, comment s’est passé cette première fois ?
  • F : « Ben à vrai dire, je pensais pas que c’était aussi compliqué de trouver le trou et de pénétrer une si jolie fille qui se donnait complètement à moi ! Je sais bien qu’il n’y a pas d’heure pour manger du bâton de berger, mais là ça devait pas être le bon moment : moi qui voulait la déflorer, je ne l’aurai qu’effleurée !!! Ce qui aurait pu être une journée faste s’est transformé en jour néfaste ! »
  • À quoi penses-tu que ça puisse être dû ?
  • F : « Si je le savais ! Mais je pense que le fait d’avoir qu’un testicule joue sûrement pas en ma faveur, n’étant ni sûr que ça marche correctement ni qu’elle ne capterait rien !!! J’étais tout stressé, tout tendu … enfin, sauf au moment où il fallait ! Au lieu de me relaxer et de bien me concentrer pour lui rentrer dedans, j’ai paniqué parce que je sentais bien que j’allais pas niquer !!! »
  • Pour information, ta mésaventure est plutôt banale pour une première fois car le vagin est composé de muscles contractés qu’une pénétration lente mais vigoureuse détend et écarte. Et justement, la première fois, on n’est ni patient ni raide à cause du stress ! Que comptes-tu faire à présent ?
  • F : « Déjà j’irai voir un sexologue, j’ai pas envie que cette embrouille de slip me prenne la tête du nœud, j’ai assez de soucis avec le bahut ! Ensuite, d’ici un bon bout de temps, quand je serai sûr que ça marche et que je peux rester droit comme un zizi, je réessayerai ! »

[1] « Jeune coq », « petit zozio » dans le langage enfantin, quiquiriqui désignant le chant du coq.

[2] Se servir de tous les moyens, de toutes les ressources dont on dispose.

[3] Issu de niais, proprement « pris au nid » (en parlant du faucon : qui ne sait pas voler) : faire perdre à quelqu’un son innocence dans les choses de l’amour.

[4] Plantes grimpantes qui s’entortillent aux plantes voisines, à fleurs en entonnoir et feuilles en forme de cœur (autre nom de Belle de jour, lys des champs, robe de vierge, gloire du matin, clochette de la vierge).

[5] « Gourmand, bon vivant » : personne délurée, portée à des attitudes ou des propos grivois.

[6] « Qui va doucement va sûrement ».

[7] Qui est épais, bien garni.

[8] Instrument de jardinage servant à biner (« Labourer la terre pour l’aérer et donner plus de vigueur aux végétaux qui l’occupent » ; « embrasser sur les deux joues »).

[9] Équivoque sur découvrir, « soulever le couvercle et trouver (un secret) », appuyée sur le pot (nom du plus banal des récipients), et renforcée par « aux roses », évoquant une préparation particulièrement rare (ou un secret, auquel les valeurs érotiques de rose – virginité, hymen – ne sont peut-être pas étrangères).

[10] Fruit du cognassier : piriforme – en forme de poire – et volumineux, il est cotonneux en surface et, à maturité, est très odorant ; les coings crus ne se consomment qu’après blettissement, quand la chair du fruit est devenue plus que mûre et ramollie.

[11] Le lapin (cuni-culture) peut étymologiquement être rapproché du sexe féminin (cunni-lingus).


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