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  • Une godiche mal lunée qui minaude en maraude (recherche de client en parlant des taxis) et a donc plus besoin d’un chaperon (coiffure à bourrelet terminée par une queue que portaient les hommes et les femmes du Moyen Âge ; grand voile dont les veuves se couvraient la tête ; personne respectable, généralement d'un certain âge à qui l'on confiait naguère, pour des raisons de convenance et notamment pour les sorties, la surveillance d'une jeune fille ou d'une jeune femme) que d’un chapon (jeune coq châtré, jeune pousse de vigne qui ne produit pas encore de raisin) ; heureusement, la duègne (femme âgée, chargée de veiller sur la conduite d'une jeune personne) règne.
  • Je suis toute grande ouverte pour en parler.
  • T’as ou tu aimes une spécialité cul-inaire ?
  • Tu as bonne mine, j’espère que le crayon c’est pareil
  • Imagine que mes seins sont des robinets d’eau chaude et froide et que tu dois tirer de l’eau tiède
  • Je ne te dis rien, mais on s’est compris.
  • Je lui mets ma friandise dans le Flambys, tu tires la languette, pour démouler c’est plus rigolo/facile, puis je lui mange le caramel en gobant le flanc
  • Cette chaudasse ne me lèche pas de glace, enfin si, pilée, c’est chaud-froid de crème glacée
  • quand il y a contact, le courant passe entre nous
  • J’adore lui bouffer son oignon blanc qui croque sous la dent / craque en même temps que ses cornichons
  • Tu es prêt ? oui, je suis près
  • Lui mettre dans son cul-cul ma praline : Art (cul-inaire) is anal
  • C’est juste dans ta tête de nœud parce que t’es dans son cul.
  • Fourrer la dinde jusqu’aux marrons
  • Manger la pomme d’amour d’Adam jusqu’au trognon, mais sans les pépins
  • Une flûte de pine (de pain), un sac à pain (pine)
  • Je l’ai eu grâce à mon téléphone polissonnerie (propos licencieux, d’un tempérament libertin, paillard)
  • Je te déshabille ? … enfin pardon, je te débarrasse de ton manteau ! Il faut que je te lèche … enfin pardon, que je te laisse ! Décidément ma fourche n’arrête pas de languer.
  • Il faut bien préchauffer le four avant d’enfourner la grosse dinde
  • Tu es top en topless, tu me scies ! Non, c’est toi qui me scies en deux à me limer comme ça
  • Je suis obsédé par ses brioches comme Marcel par ses madeleines
  • peinture sur soi
  • J’ai gémi quand j’ai mis dedans
  • À la bonne heure du bonheur des dames
  • Pourvu que ça (reste) dur[e] pour bien lui bourrer le mou
  • Le sexe, et le cul, n’est pas sale quand il est propre.
  • Faire le tapin (racoler dans la rue) avec son popotin
  • Une aventure t’appelle, n’hésite pas et cours vers elle.
  • D’abord tu trempes bien ta nouille quand elle est frémissante, ensuite quand elle est al dente (enfin non, il faut qu’elle soit ferme sous la dent mais il ne faut pas la mettre « à la dent », ça fait mal et ça raille la penne) tu sors la nouille pour qu’elle la goûte jusqu’aux noisettes à beurre.
  • Y a pas que le sexe dans la vie, il y a aussi les seins et le cul
  • Prendre son bon pied (de cochon), bon œil (de chien battu)
  • Pas d’histoires de cœur, que de cul
  • Le désir s’accroit quand l’effet se recule (Corneille)
  • Tu vas prendre cher, c’est moi qui régale.
  • Refiler la trouille (vaut mieux ça que la chtouille) [blennorragie ou gonorrhée (aussi appelée familièrement chaude-pisse ou chtouille) est une infection sexuellement transmissible. C'est une infection des organes génito-urinaires]
  • Plutôt que de chier dans, je paye mon ben [bénard, benard ; béni-bénard ; Pantalon, pantalon à pattes d'éléphant (étroit aux genoux et large aux pieds), culotte ; en parlant d'une serrure, qui peut s'ouvrir aussi bien de l'extérieur que de l'intérieur] si tu montre tes nuts
  • Elle a tellement le feu au cul qu’elle porte des strings en amiante
  • Folle du cul, elle aime les chauds de la bite
  • Tu pousses le bouton un peu loin, tu vas toucher le fond
  • Petit bouton à disposition pour déclencher toute une gamme de sensations/satisfactions
  • Je l’ai culbutée [faire l’amour, posséder sexuellement : du moyen français culer, « frapper au cul », et de buter (heurter un corps, s’en tenir à quelque chose ou quelqu’un avec obstination)] comme un culbuto (objet ou personne mettant la tête en bas et les jambes en haut, pour retomber de l’autre côté) au lit.
  • Ces belles fesses tomates, rouges écarlates, à farcir
  • Le fessier, cette lune resplendissante, se rapproche de la figure géométrique parfaite qu’est le cercle !
  • Avec elle, faire la bagatelle {(Empr. à l'ital. baia « plaisanterie », L'a. fris. *baga « courbe », une baie étant une côte formant comme une bouche ouverte sur la mer [Gén. au plur.] Galanteries, amourette ; Faire l'amour. Acte, parole, écrit de faible valeur, et plus généralement toute chose frivole ne méritant pas qu'on lui accorde une grande importance, Ensemble des petits riens de l'existence qui ne méritent pas qu'on s'y arrête. 1. Préoccupations légères, divertissements futiles, propos souvent oiseux et dépourvus d'intérêt ; 2. LITT. et B.-A. Composition légère, petite pièce agréable et facile, destinée à plaire plutôt qu'à édifier. b) MUS. ,,Morceau de musique de caractère léger et de courte durée, sans forme précise 3. Au sing. Chose facile à accomplir, qui ne nécessite aucun effort. Choses accessoires, dont on peut très bien se passer ou du moins sur lesquelles il n'est pas besoin d'insister)} n’était pas une mince affaire.
  • Il est pas salace, mais il passe à l’ass. (Qui recherche les plaisirs, les rapprochements sexuels d'une manière excessive. Synon. lascif, lubrique ; Empr. au lat. salax « lubrique, lascif », de salire au sens de « couvrir une femelle »)
  • Mon gros grain rond de riz soufflé retombe.
  • Tu n’en veux plus, ou peux plus ? Si, j’en veux et peux plus, je suis un gourmand et quand c’est bon on mange jusqu’à plus faim.
  • Pourquoi les femmes devraient-elles se laver la bouche avec du « Cif » ? Pour ne pas rayer les viers (du latin vectis « barre » : pénis).
  • J’adore cette chienne chaude : c’est savoureux quand je lui enfile ma saucisse entre ses miches de la boulangère, bien chaudes.
  • Gâteries
  • elle met ses jambes derrière sa tête, on dirait un bretzel
  • Pour une végétarienne, tu aimes bien mon morceau de viande ! Oui je suis végétalienne même, et je parlerai plutôt de poireau sinon j’arriverai pas à avaler la sauce.
  • Mon éveil à la chair, à pas trop cher
  • Certains l’aiment chaude
  • C’est hot dog, chaude saucisse
  • Hôtel de charme où on les vend, avec chambre d’amour au clair de lune
  • Repas de Réveillon (les ardeurs des hardeurs) bourgeois au XIXè siècle : Pomme de Paradis, langue de cochon à l’écarlate ou fourrée, coq/chapon avec poule/pintade/dinde, boudin blanc à la crème, boudin noir aux pommes, dinde truffée ruisselante dans son jus, cochonne de lait farcie de saucisses, entremet cuisses de grenouilles
  • Je l’asperge de sauce hollandaise avec mon asperge
  • Une bonne poire belle-Hélène aux seins en oranges confites, tu peux y aller, elle est bien juteuse et sans pépin
  • Prend la fille à pleines dents et croque le fruit (dé)fendu
  • Les putes me rebutent à force de vouloir me rabattre
  • Ach, wunderbar wonderbra : Les choses vont du mâle aux pis
  • Se monter le bourrichon (S'exalter; se faire des illusions) en voyant ses nichons
  • gros bonnet blancs pour faire plaisir aux grands blancs benêts masculins
  • fait du une voire deux mains de tour de sein
  • Ça c’est des nibards, on dirait une paire de fesses.
  • « Avoir de la conversation » se dit d’une femme qui a des seins volumineux.
    En effet c’est une expression qui fut employée comme celle « d’avoir du monde au balcon ».
  • Autant la bite fait le moine, autant les seins font l’abbesse à lick (ça va bien en arabe, c’est à lécher en anglais)
  • dans les bras d'une imposante matrone
  • Je la baiserai bien, même si je suis sûr que de son côté elle pensera que je la baiserai mal
  • Je peux m’asseoir à côté de toi ? Et pourquoi pas sur moi ?
  • On commence par la cochonnaille ? Yep, le gros boudin et ses cochonneries.
  • Faut se détendre ! Beh non justement, c’est pas assez tendu !!!
  • La mère-Noëlle, avant l’heure, avec du beau monde au balcon en ouvrant le cadeau, mais Pâques en prison
  • Conter fleurette, puis envoyer la crème à Florette
  • Tripoter l’andouillette grassouillette à trois
  • Je porte mon bout, rouge, à ses lèvres, comme un lip-stick (bâton à lèvres) joystick (bâton de joie)
  • Machiste, j’t’adore
  • La fente est rude et la montée raide
  • J’ai le sexe tout sec, la quéquette qui colle, les roustons qui font des bonds
  • Le contraire de libido c’est un bide au lit
  • Je reprendrai bien du poil de la bête
  • Aller boire à la source de la gourde
  • Comme sa pine à Noël, j’ai les boules rouges et les glandes de me faire enguirlander
  • Trêve des con(friseurs)
  • Je suis excitée comme une pute, de pile comme de face (ou de poils comme de fesses)
  • Dis-moi comment tu baises, je te dirai qui tu es
  • Hep garçon ! Remettez-moi le couvert.
  • Dur, dur … pourvu que ça dure.
  • Ne va pas trop vite dans la besogne (action par laquelle on fait une œuvre).
  • Je suis presse-bite et j’adore les hommes à lunettes, à grosse quéquette.
  • Elle est bonne comme un bonbon : quand tu déballes le papier, t’adores la lécher, elle est si sucrée et ronde en bouche.
  • Je lui caresse et chauffe le corps comme un verre de vin, son liquide a de la cuisse sous cette belle robe.
  • Je lui suce la substantifique moelle.
  • Fromage ou dessert ? Ce soir je prendrai le fromage puis un café, je saute le dessert pour me taper les poires de la Belle-Hélène dans ma chambre.
  • C’est bien gentil mais c’est pas tout ça, passons aux choses sérieuses : dis, tu m’ôtes ta motte de la bouche !
  • l'orgasme c'est l'epanouissement de tous les sens
  • Tirer les marrons (pas glacés mais chauds) du feu.
  • Fouetter la crème jusqu’à en sortir le beurre.
  • Fais la cuisine, je ferai la vaisselle en léchant la casserole où tu passeras, les couverts que je remets, le plat, le cul de poule, la cocotte, la marquise, le moule, le fouet.
  • Ne me fais pas un 3è trou ! T’en as déjà un, autant l’utiliser.
  • J’ai la fraise, bien mûre, qui attend sa chantilly.
  • Mets-y du cœur, c’est ton corps qui sexprime : « Turn on, tune in, drop out ! » (« Allume-toi, mets-toi dans le coup, lâche prise).
  • Tu as l’air en grande forme ! Mes formes sont justement là pour te servir.
  • Le clitoris est le sot-l'y-laisse (morceau blotti de chaque côté du dos d'une volaille, entre les ailes et les cuisses) de la poulette, le pendant féminin de la partie la plus tendre, délicate et goûteuse des cailles (petit oiseau de passage dont la chair est délicate : d'ardeur amoureuse ; une femme chaude comme une caille, une caille coiffée étant une femme légère, une prostituée).
  • Je lui rentre dedans comme dans un moulin à beurre.
  • Ça c’est pour toi, une friandise sur ta langue, un bon bonbon qui fond dans ta bouche, ni dans ta main ni dans mon slip.

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