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  • Trop de nectar peut devenir poison.
  • Le temps des soupirs n’est pas favorable aux soupirants.
  • Je dis vrai, je divague pas.
  • Tu ne me lèches pas, tu me lâches !
  • Ta bite me chatouille autant qu’elle me gratouille.
  • Je me suis amouracher d’elle, elle m’a arraché le peu d’Amour que j’étais capable de donner mais qu’elle avait révélé.
  • Je peux mais ne sais si je veux assumer les responsabilités du lendemain, éveillée, plus bourrée.
  • On est sur la même longueur d’ondes, faudra qu’on ondule ensemble.
  • T’as pas froid toute nue ? Tu devrais enfiler quelque chose d’épais qui te réchaufferait.
  • Mésentente cordiale dans la triple alliance perso, pro, socio.
  • Si tu savais … mais tu ne sauras jamais.
  • qd je suis avec toi, je voudrais être tres tactile/calin et sensuel, mais tu me l’interdis
  • On ne retient pas une amie par la force, ni par la manipulation (du moins pas à long terme)
  • Tu m’aimes ? Ne pose pas la question quand tu ne veux pas entendre la réponse
  • Je déteste chez toi ce qui t’excite chez moi
  • Ça me surprend que tu sois surpris
  • Elle n’avait rien d’exceptionnelle ou d’extraordinaire, elle était anormalement normale.
  • Passe me prendre ! Je le ferai, sur un passement de jambe, un petit pont entre tes perches.
  • La rose enfin arrosée
  • Elle sait y faire, mais elle ne fait pas souvent.
  • Notre relation me laisse sans voix et sans texte (et avec très/trop peu de sexe, vraiment l’espèce de machin qui sert à rien).
  • Partir c’est courir un peu mais très et trop vite en voyant toute sa vie sentimentale défiler devant ses yeux.
  • Mon fantasme c’est faire fondre la glace entre nous en couchant dans la neige pour faire de la vapeur.
  • À force de patience et de souffrance, je l’ai eue à l’usure, mais à l’usage elle ne fait pas l’affaire
  • tu me maintiens éveillé pas tes dires doucereux
  • claquage de bises
  • Je hais-me l’effet qu’elle me fait
  • L’ivresse bucolique nous rassemble autant qu’elle nous rapproche avant de nous assembler
  • Faire corps avec l’élément mais pas y aller en force
  • Mon tout gros chibre rugueux est pris en toutes petites mains douces
  • Je ne t’oblige à rien, je dis juste que si on veut une chambre d’hôtel c’est possible
  • Minute papillon, faut pas pousser mémé dans les orties, j’ai pas dit oui ! Pourquoi (,) c’est non ? Euh non, c’est oui !
  • J’ai une relation amour haine avec elle ! Tu l’aimes et tu la détestes ? Non, je déteste l’aimer !
  • Si tu n’as jamais s(t)imulé, ce serait bien de le faire
  • Si tu es gêné(e), je vais te dégêner
  • Je suis déjà prise ! C’est pas grave, une prise ça se débranche !!!
  • Comme une chatte, quand tu l’attends (la tend / l’a tendu) elle ne vient pas, quand elle vient tu ne l’attends pas
  • C’est ton heure ! Ah, à la bonne heure le bonheur du donneur et chercheur d’or(gasme)
  • Si nos baisers attendent, ils seront desséchés. Et la langue se désole quand la bouche est fermée.
  • Les coups de doutoir permettent l’espoir [contrairement à Coup de boutoir (Trait d’humeur, propos dur, inattendu, qui blesse)]
  • Tu es amoureux d’elle ??? Non ! Tu es amoureux d’elle !!! Oui.
  • Je suis entré en elle comme un voleur de cœur, je n’en suis pas sorti indemne, prisonnier de ses baisers
  • Arrête de me mater comme ça, tu te fais du mal pour rien
  • Elle m’a ensorcelé : elle fait la sorcière et moi le manche à balais qu’elle enfourche
  • Une amie ce n’est jamais qu’une fille qu’on n’a pas envie de sauter
  • Quand on s’aime on n’est jamais ni moche ni gros, que des âmes troublées qui se troublent au contact de l’autre
  • Le soupirant qui soupire (Homme qui aspire à l'amour, à la conquête d'une femme) en devient soupireur (Soupirant aux soupirs appuyés, aux airs langoureux, qui en devient un peu ridicule ou importun)
  • Elles reviennent toutes toujours, sauf elle que j’attendrai tous les jours
  • Un amoureux pardonne beaucoup, trop, souvent
  • Elle viendra le moment bien venu
  • C’est dur de résister à ne pas se laisser piéger
  • À d’autres … tu feras ça, et là est le drame
  • C’est en voulant m’aider que tu ne m’aides pas
  • Tu me parles sur un autre ton jeune con
  • Ne t’enfui pas, ou avec moi alors
  • Je ne peux vivre ni avec ni sans toi
  • To go or not to go ? : va-t-il la rejoindre ou va-t-elle revenir sur son « pas » (tu veux de moi ou pas ?), that’s the question!
  • Je pensais Nous, elle disait Non
  • Fébrile, je brille de mille feux
  • Tu me dis quand t’es prête à bouger, on bougera en rythme, sans blues
  • Les dés sont pipés, j’aimerai en dire autant pour moi
  • Tir ami : bienfait ou hommage collatéral
  • J’ai tout donner/offert, elle n’a rien su prendre
  • Tu ne veux pas répondre, j’ai donc ma réponse car qui ne dit mot consent
  • Tu fais tout pour ne pas venir avec moi là où je veux en venir
  • Tous les jours je t’attends sans ne m’attendre à rien car tu es toujours inattendue
  • La punition de s’être aimé un jour est de s’aimer à jamais, seuls contre tous
  • Je te baise avec science et candeur (Pureté d'âme, confiance, ingénuité, franchise)
  • Ce n’est pas parce que je n’ai pas eu d’occasion que je suis toujours avec toi, c’est parce que je suis toujours avec toi qu’il n’y a pas eu d’occasions
  • Sauter sur l’occasion du lion, sur X
  • Le pire ce sont les petits regrets qui se transforment en grandes rancunes, voire rancœurs
  • Le lit est le lieu de réunion des fantasmes, persécutés par notre autocensure
  • L’épreuve n’a été ni passée ni surmontée car tu t’es dérobée : j’affronte mais toi tu te détournes
  • Faire mouche dans sa bouche
  • Hier soir il fallait me retenir, ce matin il faut me laisser partir. La seule chance de te convaincre de rester c’est de ne pas te laisser partir
  • Quand je te regarde, je n’arrive pas à t’écouter
  • Je ne sais même pas si je le sais, mais je le sens
  • J’hurle de plaisir grâce à toi et à ton/ta (op)position « silencieuse », en sourdine, tes lèvres serrées
  • Je suis tout à toi, tout oui
  • Une fille comme elle, c’est dix de perdues et peut-être une à peu près comme elle de gagnée
  • On sait qui était la femme de sa vie que sur son lit de mort car on ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve
  • L’essentiel est invisible aux yeux, pas au cœur
  • laisse tes mains sur mes hanches ou même encore mieux dans tes poches. c mieux dans mes poche que sur tes hanche?? ah bon? je disais ca par rapport a toi, bien sur que pr moi mes mains sont mieux sur tes hanches mais pr toi c pr moi qu'elles soient ds mes poches voilou
  • "laisse tes mains sur mes hanches" c le titre d'un film, tt comme "embrassez qui vous voudrez"
  • on atteint véritablement l'amour quand on a plus peur des conséquences de notre spontanéité sur la relation.
  • "Fais du bien à ton corps pour que ton âme ait envie d'y rester"
  • Encore faut-il avoir l'envie du désir.
  • Il n’y a pas d’amour sans tristesse, mais c’est toujours mieux que de la tristesse sans amour.
  • Le sexe c’est le bon, le beau, le bien-être.
  • L’amour demande du courage et des efforts.
  • Notre désir est que l’autre désire notre désir (Lacan).
  • L’amour c’est comme un chagrin de joie, être malade/fou en étant heureux de l’être.
  • Quand on voit dans tes yeux, notre regard se reflète et on se voit fort et faible à la fois.
  • L’amour c’est comme la grippe : ça s’attrape dans la rue en face-à-face puis ça cloue plusieurs jours en faisant transpirer au lit.
  • La tendresse est le pain quotidien de l’Amour
  • L’Amour est l’abandon du Je dans le dessein du Nous
  • Que de la bouche, pas de lèvres
  • On est venu pour ça ! Non, je suis Vénus pour Toi !!!
  • Donne-moi l’Amour, la petite Mort
  • Un coup pour rien, un tir à blanc : un coup de semonce, sans semence
  • T’es où là ? Je suis avec toi, en toi
  • Je suis en toi, reste avec moi
  • Un je ne sais quoi qui fait qu’elle ne ressemblait pas à je ne sais qui
  • La life ne ramènera pas celle qui m’a fait partir en live
  • J’adore quand tu me fais tes yeux de bitch
  • Ta place n’est pas à mes côtés, mais sur moi
  • Ne dis rien, laisse tout faire
  • J’ai envie de te faire l’amour comme on ne t’a jamais baisé
  • J’ai oublié tant de journées de tristesse, mais aucune soirée et matinée de tendresse
  • Pouvoir de tout donner Vs vouloir de ne rien offrir
  • Pour une fois que je tombe amoureux, je suis tombé de haut
  • Tu sais ce que j’aime chez toi ? Non ! Beh tu sais quoi, moi non plus !
  • Donne-moi ta main, tu prendras ton pied
  • Si tu l’aimais, laisse-la partir
  • J’expire in love
  • Tu es mon cauchemar, il ne se passera jamais rien entre nous sauf dans tes rêves les plus fous
  • Ce n’était pas (que) sexuel entre nous, et c’était bien ça le problème
  • Tant pis, dommage pour toi, tu ne sais pas ce que tu perds
  • Un corps sain ceint de seins mouais (c’est pas la taille qui compte, mais quand elle est plate comme une limande et qu’on a du mal à distinguer l’avant de l’arrière c’est pas évident), un esprit bien c’est moins sûr
  • Quand le présent nous plaît avec quelqu’un, on se demande/s’imagine de quoi le futur/le lendemain sera fait
  • Je peux t’embrasser ? Si y a que ça pour te faire plaisir
  • Ça me brûle les doigts, je préfère me brûler la langue
  • Je déteste te savoir partir, mais j’adore te regarder t’en aller avec ce joli fessier qui roule du cul même si la route est droite
  • Vénus et ses blanches colombes voire ses pigeons gris ou pire ses corbeaux noirs
  • hot pression de cette bouche à incendie
  • c’est coton de lui tirer des conclusions, autant que bon quand je l’attire puis la tire
  • Tu rampes puis rentres la queue entre les jambes
  • Club Bed, le bonheur à deux … si elle veut
  • 37,2 cm le matin, ce serait dommage de gâcher une si belle érection et occasion
  • On est bien d’accord : on n’est pas d’accord
  • J’ai besoin qu’on m’oriente : j’avais trouvé le Nord grâce à elle, mais elle m’a déboussolé, je suis à l’Ouest
  • Est-ce bien raisonnable ? Soyons déraisonnés au possible !
  • Détrompe-toi mais ne te détrempe pas
  • J’hulule quand je finis l’acte pour que l’humain pullule, autant, voire moins, que quand je l’encule
  • Dis oui, c’est oui ? Hein, oui ?!?!?!
  • Franchir le rubis des cons
  • Si les nénés de Cléopâtre avaient été plus gros ça en aurait changé la fesse du monde
  • Je suis ce que je fui : un amoureux transi d’effroi
  • Ne partons pas fâchés, tu n’en vaux pas la peine
  • L’amour c’est comme un pét : plus tu tires plus ça se consume et fait tourner la tête, jusqu’à en faire des trous de boulettes et en arriver au cul de la vieille, écœurant
  • Jolie poupée, comme tu me fais rêver, ne me fais pas désenchanter
  • J’aimerai bien ne pas avoir que des critiques qui me viennent à la bouche mais avoir l’O à la bouche
  • Mon désespoir est un océan de larme sur lequel tu embarques pour ton voyage vers une nouvelle vie
  • Notre histoire touche à sa fin, je touche à mon cul donc
  • Femme qui rit à moitié dans ton lit, femme qui rêve fait monter la sève
  • Bousculer n’est pas violer, juste forcer un peu la serrure
  • D’abord tu joues avec mes nerfs, à présent avec mes neurones
  • Tu es tel un fantôme qui disparaît en fumée quand je tente de l’attraper
  • J’aimerai croire, et déjà comprendre, ce que tu viens de dire
  • On fait un deal : je passe à la caisse, tu passes à la casserole
  • L’Amour a un prix, mais pas n’importe lequel
  • Ton côté gosse-beau, chaud des lolos, ne me donne pas l’eau à la bouche : peu me chaut ! (Peu m’importe : défectif de chaloir, du latin calere, « être chaud, désirer »).
  • Pourquoi parler si tu ne veux pas écouter ce que j’ai à dire ?
  • Je crois que je n’y crois plus
  • Pas mal comme souvenir mais rien en avenir
  • Arrête de te faire des illusions, sinon ce sera les désillusions
  • Je comprends que c’est dur pour quelqu’un comme toi de perdre quelqu’une comme moi, mais c’est comme ça
  • Je suis déjà pris, mais dis toujours ton prix
  • Tout le monde lui court après et lui lèche le cul car elle se croit et se veut irrésistible, mais si tu résistes à la tentation, c’est elle qui te court après pour TE lécher le cul car TA Résistance devient irrésistible.
  • Plus les choses changent, plus elles restent les mêmes : si ça continue comme ça, va falloir que ça cesse.
  • Je préfère emballer la belle que déballer la marchandise.
  • Ton affection est vite devenue mon affliction (abattement produit par un événement malheureux) par l’infection de mon addiction à notre passion.
  • Arrête tes mignardises (« gentillesses mignonnes », « recherches excessives, manque de naturel »), je ne serai pas ta promise.
  • Faut pas chercher à comprendre, tu ne comprendrais pas car il n’y a rien à comprendre. D’ailleurs, je ne suis plus certain d’avoir envie de comprendre.
  • Je suis condamné à la peine d’amour.
  • Folle oui, de moi je ne sais pas.
  • Elle me fait beaucoup rire, à défaut de me faire beaucoup jouir.
  • Sois plus aimable avec lui ! Plus quoi ? Avec qui ???
  • On ne va pas le faire pour mal le faire ! Non, on va directement bien le faire.
  • Soit pas trop dur avec elle … enfin si quand même, justement !
  • J’ai pas l’habitude de m’occuper des cas comme ça ! Comme ça quoi ? Comme toi !
  • Tu te tais ou je te tais/tue.
  • Ce que j’ai vu de toi justifiera toutes les tortures futures, c’aurait été une torture de ne pas en voir plus.
  • Je t’assure, je suis sûre ! Que tu dis oui !!!
  • Tout ce qui se consomme (et nous avons bien consommé notre désir) se consume.
  • Et cette pudeur qui retient mes pleurs .
  • J'étais grandiose dans le rôle du roseau : Courbée à la moindre brise, suspendue à son souffle
  • J’aime la somme des bons moments, pas leur division
  • « Mieux que rien » c’est pire que tout !
  • J’étais tout le temps dans la défiance/méfiance, rarement dans la confiance.
  • Devoir tout donner sans rien reprendre, mais laisser l’autre apprendre à entendre et attendre.
  • Entêté, je tête ses tétés pointus.
  • Ma muse m’amuse mais elle m’abuse.
  • Si tu veux, vas-y ! Beh, si toi tu veux pas, j’y vais pas.
  • Seule la déception vient à bout de la dévotion.
  • Ne me dis pas ce que je sais déjà, donne moi des réponses à mes questions.
  • Un couple doit être comme deux arbres côte-à-côte : les troncs sont séparés, les branches s’entrelacent mais ne fusionnent pas pour ne pas se lasser. Mais toi tu scies, et chies sur, la branche sur laquelle tu es assise.
  • Nos chemins se sont croisés, voire même frôlés mais jamais entrelacés assez, à présent ils sont distincts : enfin chacun prend en main et atteint son destin.
  • Un bisou c’est si doux.
  • T’en as d’autres des idées comme ça ? Ouais, tout plein ! Beh t’es gentil, tu te les gardes bien profond dans le tréfonds de tes étrons (élément moulé de matière fécale).
  • Pas d’érotisme sans pornographie à sa suite sinon après la mise en bouche, c’est la mise en demeure.
  • J’ai besoin d’être avec quelqu’une mais pas avec toi : j’ai horreur d’être seul mais ta compagnie m’indispose encore plus. La Nature a horreur du vide, mais moi j’ai horreur du bide.
  • J’aime le sexe, mais j’adore ton sexe, j’en ra(ge)folle.
  • Je déteste les « au revoir » surtout quand c’est des adieux, comme je déteste qu’on dise « je préfère qu’on reste amis » alors qu’on est presque déjà des ennemis.
  • Je rugis de plaisir quand je la vois rougir de désir.
  • Je l’ai vue, je l’ai voulue, je l’ai eue … je suis foutu
  • Aujourd’hui je t’aime oui, mais demain … on n’est jamais sûre de rien.
  • Il a touché un point aussi sensible qu’humide.
  • Je prends mon courage à deux mains ! Ah bon, tu ne l’appelles pas Popol !!!
  • Une brave bête, mais plus bête que brave.
  • Je dis rarement oui, mais jamais non !
  • Ce qui est à moi est à toi, donc Mon Amour pour Toi et Toi pour Mon Amour.
  • Je l’ai couché sur le dos, j’ai fait ippon (littéralement « un point entier », c’est le score le plus élevé qu'un combattant puisse obtenir lors d'une compétition d'arts martiaux japonais comme le Judo, le Karaté ou le Jujutsu), ça vaut un max de points.
  • On n’est pas 2 mais 1+1=1
  • Je ne voyais pas double mais trouble dans ses yeux vitreux.
  • C’est à moi que tu penses là ? Moui. Et toi ? Euh, maintenant oui !
  • Tu me suis dans mes sentiments ? Jusqu’au bout de l’Enfer ! Commençons par l’Éden de l’Amour !
  • Entre l’amitié et l’Amour, il n’y a qu’un pas en avant.
  • Mais tu m’aimes ? J’aimais quelque chose qui te ressemblait vaguement.
  • Le fameux triptyque : lécher, lâcher, lyncher.
  • Merde, je suis dans la merde … putain la pute ! Putain de toi, pauvre de moi !!!
  • Un moment unique … en un instant tu niques plus : hop hop !!! Glop glop !!! Stop !
  • Il faut toujours vivre l’instant présent comme un futur souvenir.
  • Sur ce coup-là, soit c’est OK total, soit c’est KO final.
  • Cette succube (du latin succuba « concubine », masculinisable pour désigner un sodomite : démon qui prend l'apparence d'une femme pour avoir des relations sexuelles avec un homme) de Vampirella ne suce pas que du sang. Le pieu en bois elle l’a enfoncé dans tous les trous.
  • Elle n’était pas l’amour de ma vie de mortel, mais la mort de ma vie amoureuse.
  • Tu es plutôt pour dialoguer ou critiquer ce soir ? Essayons le dialogue-critique pour changer.
  • Viens avec moi, je t’emmène ma sirène ! Pars devant, je te rejoins … un de ces quatre, pit-être.
  • Tu n’es pas comme les autres, tu n’es même pas toi-même.
  • Toi-même tu le sais : toi, m’Aime !
  • Je préfère partir, tu me fais tartir (de tortir « tordre, se tordre » : chier).
  • Pour avoir de la nostalgie, il faut avoir beaucoup aimé.
  • Même si je voulais, je ne pourrai : le cœur n’y est pas hostile, mais c’est ma raison qui s’y oppose.
  • Les souvenirs fondent des espoirs qui peuvent devenir désespérants.
  • Les différences qu’on aime au début sont les mêmes qu’on déteste à la fin.
  • Ça te dit qu’on fasse des trucs ce soir ensemble ? Passe me prendre (mais jamais elle n’aurait dit « comme une bête, grand fou »).
  • Proposition (exceptionnelle car) indécente qui ne tient que jusqu’à point (du) Jour.
  • Elle se cabre alors qu’il n’y avait rien de scabreux (du latin tardif scabrosus « rude, raboteux, inégal, sale » : « qui présente des dangers, des risques », « qui est dur, grossier », se dit aussi lorsqu'on dit quelque chose d'un peu libre) ; c’est pas demain qu’elle va se cambrer.
  • Une vraie chatte : tu la caresses bien, elle miaule puis ronronne.
  • Pour la dresser, il faut un gars redressé.
  • Faut qu’on se couche tôt, la nuit va être longue et demain on se lève tard.
  • Le rideau de mon magasin est toujours ouvert pour toi, le petit vendeur chauve à col roulé est très sympa : quand on sait le prendre, en le caressant dans le sens du poil, il se redresse de tout mou à grand fou.
  • Madame Zèle : trop (ah, c’est bien) ou pas assez, sur ou sous joué, jamais là où on l’attend, toujours là où on l’attend pas.
  • Elle va s’ingénier à nier cette ingé nue ingénue (du latin ingenuus, « né de parents libres », « de bonne famille », mais aussi « innée » : qui a de la simplicité et presque de la naïveté dans la franchise).
  • Quand je suis en toi, je crois être dans une chambre froide.
  • Vaut mieux ne rien faire plutôt que de mal le faire … donc on va tout faire pour bien le faire.
  • Mon Amour fait des détours, ma sensibilité infinie est tarie, salope !
  • Des émotions qui passent trop vite mais durent longtemps.
  • J’embrase le feu de tes lèvres.
  • L’union est belle à pleurer, la séparation est triste à pleurer.
  • Madame, Monsieur, c’est fini ? Oui, vous pouvez faire table rase ! Tu veux pas un dernier dessert, un pousse-café ?
  • Ils étaient bien ensemble, même si ils n’allaient pas si bien ensemble.
  • Il n’y a pas de ménage sans nuage.
  • J’ai trouvé … enfin cherché … quelqu’un d’autre.
  • Le quotidien tue l’amour, le temps achève le reste.
  • Cette nuit c’était comme au premier jour.
  • On se fait du mal à chercher à se faire du bien.
  • Le courant passe si bizarrement entre nous que ça en fait des étincelles.
  • Elle m’a pompé l’air toute la soirée, heureusement pour elle qu’elle m’ait pompé autre chose à la fin.
  • Je t’aime comme un fou mais tu t’en fous, un point c’est tout, et point c’est toi, je t’aime comme ça.
  • Là c’est le cercle vertueux, tant mieux, car bientôt ce sera le cercle vicieux, pernicieux et dangereux.
  • J’étais comme un sot, périlleux pour moi-même car amoureux.
  • Elle te scotche plus vite qu’elle ne tire.
  • Je suis sur un nuage, mais prendre de la hauteur ne me réussit pas : les nuages d’orage me font vite pleuvoir des larmes jusqu’à plus bas que terre.
  • Pleins d’hommes seraient prêts à tout pour te voir et t’avoir nue, et je sens pointer ça chez moi aussi.
  • Je t’adore Giacomo ! Moi, je t’Aime, Chérie !
  • C’est l’affaire la plus juteuse de ta vie : ne négocie/marchande pas, c’est oui ou non, à prendre ou à délaisser.
  • L’échec est la preuve que le désir n’était pas assez puissant.
  • Je m’en vais avant que tu ne t’en aille, avant que le désir ne se transforme en tendresse.
  • La folle équipée des équidés bien montés prend enfin fin.
  • J’ai changé : aux histoires où il y a du x, je préfère une histoire où il n’y a pas de s.
  • Sous prétexte d’Amour (fou), avec un désir non dissimulé, il s’engage dans une histoire à problèmes plus qu’à plaisir.
  • Il me faut de la tise (du kabyle tissit « boisson » : alcool) pour que je lui attise le feu.
  • Ta pudeur de la vérité a tout fait capoter
  • Je m’attendais déjà au pire quand tu m’annonças enfin le meilleur.
  • Le mélange c’est s’approprier ce qui nous a séduit dans l’autre.
  • Parce que c’était elle, parce que c’était moi, à ce moment-là en cet endroit-là.
  • J’ai la tête encombré de souvenirs encombrants.
  • Elle était comme les autres, enfin pas tout à fait : elle avait un petit rien qui faisait un grand plus.
  • L’Amour c’est être un peu moins Soi pour être plus Nous.
  • Il ne faut pas écouter ce que disent les autres ! Tu as raison, je ne vais pas t’écouter.
  • Ce genre de fille transforme un pro en amateur.
  • L’amour rend aveugle mais même si il avait des yeux il ne verrait rien venir.
  • Un fantasme est l’amour d’un personnage de rêve érotique.
  • Entre la vie et le rêve, entre ce qu’on dit et ce qu’on fait, il y a un monde/pont/nom/non.
  • On s’aime à tout vent, contre vents et marées.
  • On croit connaître les gens ! Eh ouais … !! Beh non !!!
  • Préférez les impossibilités probables aux possibilités improbables.
  • Je suis comme un aveugle dans la nuit, je bloque sur l’écran noir de mes nuits blanches
  • Si tu fais un pas vers moi, j’en ferai deux vers toi, et non un pas en avant deux pas en arrière, ce n’est pas ma politique en tant qu’amant aimant
  • Si ça continue faudra que ça cesse
  • Ne quitte pas celle que t'aimes, pour celle qui te plait, car celle qui te plait te quitteras pour celui qu'elle aime. -D.Mory
  • " L'amour est à la portée de tous, mais l'amitié est l'épreuve du cœur. "
    A. d'Houdetot
  • " Offrir l'amitié à qui veut l'amour, c'est donner du pain à qui meurt de soif. "
    Cette harpie (divinité de la dévastation et de la vengeance divine) me réduit en charpie : cette fille est une furie (déesse infernale personnifiant la malédiction lancée par quelqu'un) pour qui je ne suis qu’une chair à canon (que je tire à boules rouges).
  • J’ai fait mon numéro et j’ai tiré le bon (enfin, la bonne combinaison … en cuir).
  • Je prends langue (prendre contact avec une personne pour avoir avec elle un entretien) avec ce boutefeu (qui met le feu au canon), même s’il me bat froid (je reçois avec froideur ce qu’il me propose).
  • J’ai passé une chaude nuit dans ce grand lit si froid avant toi.
  • Elle est comme une tigresse : quand je dis oui en remuant la queue, elle se lèche les babines (lèvres pendante de certains animaux, tels les vaches, les chiennes et les guenons).
  • Allé, désolé pour nous, à demain ! Non, du coup maintenant ça va plutôt être à une main, qu’on sert, qu’on ne caresse plus.
  • Même quand je faisais tout bien, il y avait toujours quelque chose de mal, parce que le mâle en moi s’exprimait à trop haute voix.
  • Définitivement, dans la définition de l’Amour rien n’est définitif.
  • On est sorti presque ensemble (1+1), mais on était jamais 2 en 1 (1*1).
  • Quand on aime on ne compte pas, c’est quand on aime plus qu’on fait les comptes en se disant « je lui ai pourtant tout donné » (dans tous les sens).
  • Nos cicatrices, physiques ou psychiques, nous rappellent que le passé n’est pas rêvé, mais a été cauchemardé en réalité.
  • Ma vie continue, pour moi, pas pour elle et encore moins avec elle.
  • Pourquoi tant de haine et si peu d’Aime ?
  • Face à tous ces/ses maux, j’ai dit mon dernier mot.
  • Arrête donc de faire ton beau, jeune godelureau (jeune homme qui fait le galant auprès de la gent féminine).

Gode (originellement god-, cri d'appel à l'adresse des animaux domestiques, employé également pour désigner ces animaux et désignant péjorativement des personnes depuis le XIIè siècle avec godel, « mignon »), sans doute dérivé du moyen français gauder, « se réjouir » (ou de goguer, « plaisanter »), qui a aussi donné goder/godiller, au sens argotique d’ « être en érection ». Du latin cauda, la queue, la godille est un aviron placé à l’arrière d’un canot, qui le fait avancer par un mouvement spécial. L’aviron repose dans une engoujure à l'arrière du bateau (éventuellement une dame de nage peut faire l'affaire à condition d'être inclinée pour être d'équerre avec l'aviron), il est mis en mouvement par le godilleur qui se tient face à l'arrière et saisit l'aviron à la hauteur des épaules. Il est possible de se tenir de côté et d'actionner l'aviron d'une seule main pour avoir une meilleure visibilité dans les manœuvres, mais c'est au prix d'une baisse de la force propulsive. Les mains du godilleur décrivent des sortes de « 8 » pour donner à la pelle une incidence plus ou moins forte compatible avec un écoulement « attaché » (non décroché). Au changement de sens le godilleur donne un rapide mouvement de poignet pour que la pelle ne soit pas soulevée par la pression de l'eau. Cette technique est également utilisée en canoë et kayak dans la manœuvre de déplacement latéral connue sous le terme d'« appel navette ». Dans le cadre de la technique de virage, le godilleur peut tourner large en se décalant latéralement, plus serré en donnant plus d'incidence à la pelle dans un sens que dans l'autre, et sur place en effectuant un mouvement identique à celui de la nage ou de la vogue.

Galureau composé de galer (« dissiper en plaisirs », lequel vient de l'ancien bas francique *wala, « bien » – voir well, de même sens, en anglais –, d'où un dérivé gallo-romain *walare, « se la couler douce » : un galant est un homme qui se montre particulièrement aimable à l’égard d’une femme, ou, d’une façon générale, qui cherche à plaire aux femmes ; un homme éveillé, rusé et dont il faut se méfier ; d’ailleurs « vert galant », se dit d’un homme vif et entreprenant qui aime beaucoup le plaisir et les femmes, surnom donné à Henri IV de France) et de lureau (vient de luron : garçon ou homme fier et décidé comme un gaillard, avec une nuance d'admiration ou d'estime ; lure a pour base le refrain de chanson, d’où provient leurrer et donc déluré, qu’on ne peut tromper).

  • Auprès de ma blonde, il fait bon bander.
  • Laisse-moi t’aimer, même rien qu’une nuit, ou sinon faisons l’amour avant de nous dire adieu.
  • Quel gâchis que de passer autant de temps avec une personne pour s’apercevoir un jour qu’elle est une inconnue.
  • J’ai une image floue de ce filou coquinou.
  • Je ne vais pas faire l’autruche : je te le dis sans me voiler la face dans le sable, tu m’émeus.
  • L'amour s'est comme le tarot quand tu as pas un bon partenaire faut avoir une bonne main
  • Privé de t'aimer dans l'addiction d'une relation trop fusion ...Coincée dans un désir inondé d'hormones
  • ranges ta queue  je n'ai plus goût à ce jeu
  • Dans le bonheur qui pleure , j'ai trop mal au coeur ....
  • Je n'avais qu'un pouvoir , celui de suicider notre histoire .
    Personne , n'est à ma place , ni à la sienne d'ailleurs
  • Il a dû prendre un chausse pied pour entrer dans ma peau
    Il a aussi piquer un bout de mon cœur .
  • Une chaudière la nuit, une ré-frigide ardeur le jour.
  • Si, ça se trouve ! tu trouveras l’Amour en toi et là tu sauras que tu seras aimante et donc aimable.
  • Même si je suis plein de vices cachés, tu ne peux pas me mettre à l’amende.
  • Elle est froide ! Il faut se méfier de l’eau qui dort !!! Si des fois elle n’est pas chaude, elle est plus que tiédasse : c’est un torrent qui dévale mon mont ; son fort courant, ses marmites, ses rapides qui se dissolvent en chute des reins, mais aussi sous les côtes d’Erin (prénom féminin d'origine irlandaise signifiant « Paisible », dérivé du nom celte de l'Irlande « Eire »), me font tourbillonner, me donnent des vapeurs.
  • Souvent cette femme varie (dans ses positions), bien fol qui ne la suit !
  • Avec elle, c’est le coup d’éclats permanent.
  • Il faut de la tise pour l'attiser
  • Faut que j'aille me faire belle puis me faire la belle pour allez mettre un coup à la belle
  • T’as que de la bouche, ce qui est déjà bien, mais le sexe c’est encore mieux
  • Personne ne pipe mot, mais il ne faut pas oublier la langue, bien pendue !
  • Avoir trop d’amour c’est se faire avoir.
  • Tu es si belle dans tes décibels de colère.
  • Si je m’abandonne à toi, ne m’abandonne pas
  • Je ne suis pas de celle que tu ensorcelle/ensarcelle
  • Son côté froid me met en chaleur
  • Tu es tellement froide que quand je te touche j’ai des engelures
  • Qui m’aime me suive, mais suis moi je te fuis et fuis moi je te suis
  • Mais mais, tu m’aimais non ???
  • Je t’aime profond …dément tout ça
  • Un accès de tendresse ? Non, un excès d’ivresse
  • J'ai oublié ce que j'ai fait la veille, mais c'était sûrement des merveilles
  • Un peu plus tard après la nuit, je n'ai pas encore dormi, un peu plus tard après la fin de l'aurore, mais est-ce que je t'aime encore ; et pourquoi je l'ignore ! Mes larmes s'évaporent et le silence est d'or.
  • Elle ne sort plus de ma mémoire, ni la nuit ni le jour
  • C’est moi qui te fais rire ? Non, sûrement pas, plutôt le contraire d’ailleurs
  • Nous partageons tous les deux un gros problème : TOI !!!
  • Je dis ça, je dis rien ! Justement, ne dis rien alors !
  • J’ai une question que me brûle les lèvres, je l’ai sur le bout de la langue
  • C’est si chaud à dire que je préfère donner ma langue à ta chatte
  • Je ne suis pas une fille facile ! Je ne te le fais pas dire
  • Je dois m’en aller, je ne veux plus t’aimer, il faut tout oublier
  • Parle-moi d’amour, je veux des baisers de velours
  • Je suis patient, à condition que ça ne dure pas trop longtemps
  • Avec une petite amie comme ça, on n’a pas besoin d’ennemi
  • Minute papillon, faut pas pousser mémé dans les orties, j’ai pas dit oui ! Pourquoi, c’est non ? Non, c’est oui !!!
  • j’ai une relation amour-haine. Tu l’aimes et la détestes ? Non, je déteste l’aimer !
  • si tu veux de moi, je veux de toi
  • personne n’est irremplaçable, même pas toi
  • c’est quand tu veux, où tu veux, comme tu veux
  • C’est trop pas juste pour toi Calimero/Giacommo
  • les rapports humains, ça fait longtemps que je n’essaye plus de les comprendre
  • Garde tes mains dans tes fouilles plutôt que dans les miennes où elles tripatouillent.
  • Je me suis retrouvé pendu à son cou pour une histoire de cul qui ne valait même pas le coup.
  • Elle est tombée amoureuse de moi grâce à mon côté déroutant, et moi amoureux d’elle à cause de mon côté désespéré.
  • Elle m’a laissée pantois (« palpiter, frémir, haleter » aussi bien que « avoir des visions, rêver »), comme un pantin sans voix qu’on a laissé choir (Être entraîné vers le bas par son propre poids, selon la loi d’attraction, à la suite d’une rupture d’équilibre).
  • Oui ou non ? Non, peut-être … pourquoi pas ! Si c’est comme ça, ce sera « pas » pour moi !
  • Ne me prend pas pour une patate, je suis le gratin de la carotte.
  • Tant va la « cruche » à l’eau qu’à la fin elle se casse pour avoir d’autres sons de « cloches »
  • J’en ai marre de te rattraper, je préférerai d’attraper
  • J’en ai assez que tu me répondes par des silences
  • Quand on sait pas, on fait pas : si il y a doute c’est qu’il n’y a pas de doute sur les (non)sentiments
  • Je te donne quand tu te donnes à moi
  • Certaines femmes sont comme des requins : si tu veux te jeter à l’eau, il vaut mieux savoir nager vite
  • Y a qu’à ! Oui, faut qu’on !
  • T’es bien gentil, mais c’est fini
  • Remplacer le besoin par l’envie
  • Tu me rends fou, mais tu t’en fous, c’est vraiment trop
  • L’un dans l’autre, ça balance pas mal entre nous
  • Tout est possible entre nous, mais rien n’est probable
  • La nuit porte conseil
  • Tu pointes ! Je sais, ça tétonne, (d)étonnant non ?
  • Mieux vaut avoir des remords (sentiment douloureux, accompagnée de honte, que cause la conscience d’avoir mal agi) que des regrets (mécontentement de soi ou chagrin de n’avoir pas fait quelque chose).
  • Dans notre histoire d’amour, il y a plus d’histoires que d’amour
  • Ni le soleil ni l’Amour ne peuvent se regarder en face
  • Je t’aime aussi, mais à ma façon, différente
  • Comment garder la tête froide dans un corps brûlant de passion ardente
  • La raison seule ne peut rien, elle doit être combinée aux émotions
  • Tu étais prêt à tout mais je n’étais pas préparée à toi
  • Va te faire foutre ! Avec plaisir, mais pas par toi !!!
  • Va faire le tri du vrai / du faux, du laid / du beau
  • Pays merveilleux où ceux qui s’aime vivent à deux, heureux
  • Y a rien là, c’est en tout bien tout honneur ! C’est bien ce qu’il ne me convient pas
  • Mon amie, mon amour, mes emmerdes
  • Je sais que tu es très aimable, mais pas par moi
  • Putain la pute : putain de toi, pauvre de moi !
  • Femme que j’ai haï d’aimer plutôt qu’aimer haïr
  • Je te pompe (l’air comme un vacuum, une machine à vide) ! Tu fais plus de bisous-bisous filous que de bisous doux, tu me les gonfles, je m’hyper barre !!!
  • Il n’y aura pas de prochaine, sinon elle prendrait pour toi !
  • Quand je vois tes yeux je suis amoureux, si j’étais dans ton cul je le serais encore plus.
  • Si c’est bien fait, ça fait son effet. Justement, elle le fait bien ? Je te dirai ça demain matin !
  • Fast-sex : beaucoup d’attente, servi tiède et ramolli, et t’as encore faim après.
  • L’ange de l’amour n’était que le Satan (tentateur/accusateur) des sentiments
  • Je fais aimant honorable
  • Je voulais la mettre à genoux, cela dit c’est sa position préférée
  • Toi et moi, c’est je tu, l’amour c’est nous !
  • Ce n’est pas tant que je l’adore, mais plutôt que je l’abhorre
  • C'est comme ci ou comme ça

Ou tu veux ou tu veux pas
Tu veux c'est bien
Si tu veux pas tant pis
Si tu veux pas
J'en ferai pas une maladie

Toi tu dis noir et après tu dis blanc

Mais ce n'est pas noir et blanc

La vie, oui c'est une gymnastique
Et c'est comme la musique
Y a du mauvais et du bon
La vie, pour moi elle est magnifique
Faut pas que tu la compliques
Par tes hésitations

Tu veux ou tu veux pas? hein!
Quoi? Ah! tu dis oui
Et ben moi je veux plus!

  • Avant l’heure c’est pas l’heure, après l’heure c’est plus l’heure du bonheur
  • On a loupé le coche comme deux cloches
  • Je te laisse le choix dans la date (même si je préférerai te laisser le doigt dans la chatte)
  • J’en ai marre de jouer au yo-yo sentimental avec toi, de passer des cimes ensoleillées aux abysses obscurs
  • Tu prends ce que je veux bien te donner, c’est déjà ça !
  • A force de vouloir tout ou rien on obtient souvent rien
  • Prend sur toi car tu ne me prendras pas
  • Je ne cracherai pas dessus mais je cracherai bien dedans
  • On a eu une liaison ensemble, enfin surtout moi avec elle !
  • Je ne sais pas, je ne sais plus
  • encore eût-il fallu(s) qu’elle le su(ce)
  • Elle est pensive quand elle est lascive (enjouée, folâtre, encline aux plaisirs amoureux).
  • Pour un coup d’essai, ce fut un coup de maître que de te mettre queue.
  • Devant le saint des seins, je n’ai plus eu de sain dessein.
  • Une histoire au lendemain qui déchante.
  • Marche au pas ou revient au galop.
  • On est en froid alors que je brûle, me consume, de mille flammes pour elle : je ne pourrai renaître des cendres de notre feu… fol, laid.
  • Je te veux tout entière, pour toujours, jour après jour.
  • Je te voulais sans interdit, mais là les plaisirs des sens sont interdits, va savoir pourquoi ta raison s’en interdit.
  • J’en ai marre que son règne craigne plutôt que vienne sur cette basse-terre comme au 7è ciel.
  • De par mon noir désir pour toi, je perds ma tête et mon âme en toi.
  • Allé, s’il te plaît !!! Pfff, bon si t’insistes ! Non, beh c’est bon alors !!! Beh, maintenant que j’y suis ! Oui mais non, du coup je veux plus, tu m’as coupé la chique, le sifflet ne sifflera pas une seule fois ce soir !!!
  • Non, non et non, ne me dis pas non !
  • Tu pleures de rire ? Non, je meurs de jouir !
  • La danse est l’expression verticale d’un désir horizontal !!!
  • tout dans le menu mais rien dans l'assiette
  • il est là même quand il est absent, mais il est aussi absent alors qu’il est là
  • Le doute est le bateau ivre des cœurs meurtris qui viennent s’échouer sur les bas-fonds, les cœurs-aïs, de l’amour bafoué, dont l’épave régurgite un pirate fantôme torturé avant de l’abandonner nu sur une île volcan déserte, rejeté par les flots tumultueux tel un bois mort.
  • Tu mens comme tu conspires à ma perte.
  • C’est facile de m’allumer, mais quand je suis chaud, c’est difficile d’éteindre mon feu follet ardent
  • D’abord je l’allume, ensuite je la lime !
  • Ce n’est pas nous là, qu’est-ce qu’on devient / nous arrive, c’est un cauchemar, on va se réveiller
  • Je te ai…me !
  • Ma meilleure ennamie
  • Il suffit que tu m’aimes ! Ça m’est compliqué de faire et de penser aussi simplement !
  • Tu n’éprouves que du désir pour moi, et ça ce n’est pas de l’amour !
  • T’as encore mal à la tête, je vais encore me la mettre sur l’oreille, et un non de plus. Non, je dis rarement non, non mais, dis donc !
  • Sucer des capotes, ça rend aimable et baisable
  • Quel charmant minois (minou, ça je sais pas … pas encore)
  • Il est un VRP de la tendresse, une personne extraordinaire dans une histoire ordinaire.
  • Elle est une personne de défiance plutôt que de confiance.
  • Ce qui se dit la nuit se vit la nuit car comme les vampires cela ne voit jamais le jour.
  • Elle était la mauvaise personne au mauvais moment.
  • Souviens-toi d’oublier l’été dernier et moi aussi.
  • La peur m’a fait me sauver, l’Amour m’a fait revenir.
  • la fin d un chapitre mais pas d une histoire
  • Je suis fou de cette personne … alitée.
  • Elle n’était tendre qu’après nos règlements de comptes.
  • Me concernant, tu te mets le doigt dans l’œil et tu peux aussi te le mettre dans le cul bien profond en plus.
  • Ça part en eau de boudin, créole (miss des îles et son chauffeur).
  • C’est toi ti’mal, moi ça va, je gère mes affaires de cœur.
  • On peut tomber amoureux au premier coup d’œil, mais la première impression n’est jamais la meilleure.
  • Avec elle, c’était merdeilleux.
  • Après la chaleur de la nuit, le lendemain matin le mâle est toujours puni.
  • Aller plus loin si vite serait aller trop loin trop vite.
  • Crois-tu au coup de foudre ? Tout dépend d’où vient le foutre (le sperme : du latin futuere, « baiser une femme, copuler » que l’on retrouve dans « futui coponam », « J'ai baisé la patronne », graffiti sur les murs de Pompéi), mais il s’abat toujours sur les parties saillantes de la forêt humide.
  • Je suis avec toi, on est ensemble, mais toi tu es toute seule avec toi-même.
  • Elle est en nage, de bonheur, elle coule et croule sous les litres d’eau de rose.
  • Il suffit que tu m’aimes ! Ça m’est compliqué de faire et de penser aussi simple.
  • Je n’ai pas cherché à la trouver.
  • J’ai besoin de toi mais tu ne le sais/vois pas.
  • On est en couple que quand on est ensemble.
  • Je ne sais pas quoi/comment faire avec toi ! T’inquiète, laisse toi faire !!!
  • Face à l’amour de sang chaud, je ne suis pas un manchot de macho.
  • Notre amour fait du zèle, il me donne (Vs « me brise ») des ailes.
  • Être enlacé puis embrasser sans se lasser
  • D’abord je m’échauffe et je la chauffe, ensuite je m’étire et je la tire
  • Sa moule se referme comme une huître
  • En face d’elles, mes yeux sont le miroir de larmes
  • La réalité est pire que l’affliction (état d’abattement produit par un événement malheureux) de notre affection qui s’afflige (mortifier son corps, le faire souffrir) devant ce que tu m’infliges (frapper quelqu’un d’une peine pour une transgression, une faute).
  • Heureusement qu’elle s’est barrée, elle était barrée complet à l’ouest
  • Si tu dis oui... je ne dis pas non ! Merci d’être venue, merci de repartir !!!
  • Amour vache
  • Faire une mise au point G
  • manipulation (senti)mentale
  • Les catiminis désignaient les règles au XVIème siècle.
    L’expression « en catimini » a été construite en référence au caractère intime et secret des règles.
    On dit qu’une femme à ses ours pour parler de ses règles.
    Ce terme traduit l’irritation que vivent certaines femmes au moment de leurs règles. Elles grognent…
  • Elle a trouvé les mots contre mes maux
  • Laisse tes mains sur TES hanches
  • Va comprendre Charles ! Ça fait longtemps que je ne cherche plus à comprendre, je subis et ça suffit !
  • La douleur est universelle et moi je reste dans mon univers, seul !
  • Tu l'as dans la peau, faudra un laser pour effacer son tatouage mais restera des traces, indélébiles mais à éviter de rendre débile
  • Foutue comme une bouteille de Perrier
  • Après avoir déclaré ma flamme, ce n’était plus les feux de l’amour mais un brasier qui partait en fumée et dont il ne restera que des cendres.
  • Je prends mon couteau pour lui ouvrir l’huitre, attention à ne pas déraper sinon ça fait mal.
  • Je ne sais pas pourquoi elle est avec moi, mais je ne sais pas plus pourquoi je suis avec elle.
  • Il m’a mis le doute, bien profond en moi, pendant des heures.
  • C’est toi qui es trop … ! Ne te sous-estime pas, tu es autant … !!!
  • Elle est ni patiente ni pas chiante.
  • Une psychopathe psycholangue
  • + 2 P, - 2 N, +d’M avec L et donc enfin + de Q
  • Plus l’amour est mûr meilleur en est le jus.
  • C’est mieux comme ça, pour tous les deux ! Mouais, parle pour toi !!!
  • La fin d’un demi-succès, l’annonce d’un désarroi de début de dépression
  • Je n'avais pas vu que tu portais des chaines, à trop vouloir te regarder, j'en oubliais les miennes
  • Tu viendras longtemps hanter mes rêves
  • Tu ne ressembles à personne, c’était un compliment, à présent c’est le différend qui nous sépare
  • Je ne cesse de me souvenir qu’il y a quelque chose, quelqu’une, à oublier
  • Tu ne m’aimais pas ?, enfin je veux dire tu ne m’aimais pas !!!
  • Quand c’est du bon ça fait toujours du mal
  • S’en sortir ? pour quand, pour qui, pourquoi, comment ???
  • Elle m’avait sorti de nulle part, à présent je m’y retrouve
  • La femme inspire, l’homme expire
  • Ne jamais dire fontaine je ne boirai de ton eau
  • Pleurer et faire le bébé, c’est ça aimer
  • Amoureuse je ne sais pas, mais pas pas non plus, c’est fou comme c’est flou
  • C’est pas tout à fait si compliqué quand même
  • Tu n’as pas le courage de m’aimer, d’accepter tes sentiments
  • Mon amour je me le mets dans la poche arrière avec un mouchoir dessus pour l’écraser de mon postérieur
  • L’amour c’est pas comme les bougies d’anniversaire où tu souffles dessus et ça s’éteint pour mieux flamber ensuite
  • Pas forcément, mais forcément non plus
  • Pote d’arrivée, de départ, de non finalement je reste
  • La clé sur le cadenas ouvert et le portail déverrouillé
  • Son cœur est bon mais elle ne l’a pas encore trouvé
  •  ? Si tu pouvais ne pas alors que tu voulais, tu aurais dû ?

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