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Virginie : Mon Bac S en poche, sommée par mes parents de me ranger des voitures et de devenir une
femme aux mœurs moins légères, j’ai préféré monter à Paris pour suivre des études de psychologie plutôt que de rester à Bordeaux et d’avoir à supporter la rigueur de parents dont je m’éloigne
moralement de plus en plus. Résultat de cette divergence de points de vue sur ma conduite amoureuse, poussée par mes parents à l’autonomie, à la responsabilité et à la gestion de ma vie, j’ai
des difficultés à financer mes études. Comme tant d’autres, j’ai trouvé un petit boulot à mi-temps pour subvenir à mes besoins, travaillant chez Paul (dont le prénom décidément me suit), la
chaîne de boulangerie. Toutefois, habituée à un certain niveau de vie, je ne me satisfais pas de ma situation financière, même si elle est plutôt moins mauvaise que celle des autres
étudiants. Ayant entendu parler du phénomène qui se répand dans les milieux estudiantins, ravalant ma fierté et souhaitant ne dépendre que de mes qualités, je me prostitue comme occasionnelle
auprès d’autres étudiants (voire de lycéens afin de [par]faire leur éducation sexuelle, la pratique avec une amatrice éclairée après les cours théoriques de Sciences de la Vie et de la
Terre). Dans notre époque de performance à tous crins, je vois de plus en plus de jeunes angoissés à l’idée de pénétrer l’origine du monde. Autant il leur est très facile, avec leurs copains
qui les poussent en cela, de tâter du nichon et du fion (souvent sans l’accord de l’"intéressée"), autant une fois seuls ils se dégonflent comme une poupée gonflable. Mais plutôt que de
passer par un sexologue (trop théoricien et médical à leur goût), ils préfèrent s’en remettre aux catins [1] qui leur apprennent à faire ça bien.
Pour autant, fidèle à mon fort caractère, je n’accepte pas tout et n’importe qui : étant donné que j’exerce cette activité pour dépanner (c’est le cas de le dire pour mes clients, mais
aussi pour mes dépenses non-prioritaires), je pratique ces extras au coup par coup, lorsque je veux me faire plaisir (autant en terme de besoin budgétaire, que pour joindre l’agréable à
l’utile !). En somme, certains me proposent de faire la bagatelle [2] (qui n’est pas une mince affaire avec
moi : ma clientèle est très fidèle étant donné la qualité de service) puis je dispose selon mes envies et goûts du moment ! En fait, je me permets (car je le vaux bien) de définir
de nouveaux rapports clients : je suis une fournisseuse de prestations sexuelles, sous le nickname d’Ulla, ne fonctionnant pas à la demande, mais à l’offre qu’on est libre
d’accepter ou de refuser, mais hors de question de négocier avec moi ! C’est comme ça : satisfait ou … – de toute façon mes clients sont toujours satisfaits – … ou sinon rien, point
final !
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Faudel : Excédé par la pression maternelle suite à mon premier échec au bac ES (que j’ai finalement
obtenu l’année suivante), j’ai décidé de faire une école de commerce sur Paris, mais de ne pas rentrer le soir sur Sarcelles. Afin de me donner les meilleures chances de réussite, j’ai plutôt
opté pour un logement étudiant, financé par ma bourse (scolaire). Tout ce que je veux, c’est prouver à mon père que je suis un homme, et montrer à ma mère castratrice que je peux réussir sans
elle (façon de lui signifier que j’ai définitivement coupé le cordon ombilical, moi le petit dernier !). Parallèlement à cela, heureux de ma deuxième expérience sexuelle, homosexuelle,
mais en manque de seins maternants, poussé par le sport – obligé par mes parents – au culte de la performance et au dépassement de soi, j’ai décidé de relever le challenge féminin : un
peu des filles, beaucoup des fées et d’effets, mais aussi du défi !!! Ayant vu que cela fonctionnait parfaitement bien face aux hommes mais que cela me perturbait en compagnie de femmes,
j’ai décidé de ne pas en passer par un sexologue : j’estime en effet (plus ou moins à raison) que mon problème est plus une anxiété pratique envers le sexe "faible", qu’un trouble
théorique. Pour moi la chose est entendue : le but de ma vie sera justement de me surpasser auprès de ces animaux étranges, sans fourrure, venus de Vénus, quitte à en passer par une
initiatrice professionnelle au départ pour bien saisir les bases (en plus ce sera "plus facile et moins stressant" : pas besoin de conter fleurette avant d’envoyer la crème à cette
Florette.
Effectuant une recherche sur le net, Faudel tombe sur l’annonce d’une occasionnelle particulièrement bien
notée par ses cons ô mateurs. Prenant contact avec elle, il lui explique au téléphone qu’il est turgescent [3]
et habile mais insatisfait face aux hommes, plus dans son élément mais mou du bout face aux femmes. Ulla le
rassure, elle va arranger ça en le prenant en main et en guidant ses premiers pas dans l’antre du vice (et de ses futures vicissitudes [4]). Rendez-vous est pris chez ce jeune client
troublé et troublant, non loin de là où bosse Virginie, "à la régulière" ! Pour information, nous tenons à préciser que ni l’un ni l’autre ne sont au courant que tous les deux sont suivis
par nos équipes [en mode invisible à certains moments clés] dans le cadre de ce documentaire !
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U : Bonsoir, c’est Ulla, ton entremetteuse [5] !
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F [à moitié effarouché, doutant du bien-fondé de sa démarche maintenant qu’il est au pied du mur] :
Euh, oui, eh bien … entre ! Je te déshabille ? … enfin pardon, je te débarrasse de ton manteau ! Pfou, je suis stressé et j’ai la bouche sèche, je crois qu’il faut que je te
lèche … enfin pardon, que je te laisse ! Décidément ma fourche n’arrête pas de languer. {Elle me file la trouille ; vu son taf, espérons qu’elle me refilera pas la
chtouille [6] ! On sait jamais, avec les putes on
risque de manger des escalopes (de salope) aux champignons, pourvu qu’elle soit pas la dame au chlamydia [7]}. Tu as l’air en grande
forme !
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U : Mes formes sont justement là pour te servir !!!
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F : {Tu m’étonnes : ça c’est des nibards, on dirait une paire de fesses ! Elle a de la
conversation [8], des seins pas menus pour rassasier mon
appétit très gourmand ! Cette poulette a des cuisses qui donnent des ailes ! Putain, je suis déjà en transe, pire !!! J’espère que ça se voit pas trop !!!}.
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U : Détends-toi mon chou ! Tu as mauvaise mine, j’espère que le crayon ce n’est pas
pareil !
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F : Euh, justement, je voulais t’en parler ! Mon problème c’est que j’ai aucun mal avec les
mâles, mais avec les filles c’est pas facile, ça bloque je sais pas où !!! T’as ou tu aimes une spécialité cul-inaire ?
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U : Laisse faire la sexperte ! Tu vas voir, je vais bien m’occuper de ton cas et ça va
bien se passer !!!
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F : Je n’en doute pas, tu es si belle … peut-être même trop belle pour moi !
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U : Tu aurais préféré Moby Dick [9], la baleine
blanche ???
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F : Euh non, quand même pas ! J’ai déjà assez de problèmes avec ma daronne, c’est pas pour
abandonner ma virginité à l’égard du sexe faible dans les bras d’une imposante matrone !!! Mais … il me semble t’avoir déjà vue quelque part ! Ça y est, je te remets : j’avais
déjà flashé de jour sur les miches de la boulangère Virginie {me disant que je la baiserais bien, même si j’étais sûr que de son côté elle penserait que je la baiserais mal}, à présent je
vais fourrer l’american pie d’Ulla avec ma crème pâtissière !
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U : Oula, t’es un poète de la gastro toi, mais arrête sinon je vais choper la courante !!!
Écoute, je me tâtais pour venir en voyant que tu habitais ce quartier, si tu sais où je bosse de jour, je crois que ça ne va pas être possible !
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F : Non non, excuse-moi, maintenant c’est toi qui es mal à l’aise ! Tout ce que je veux, c’est
régler mon problème !!! Après, je te jure que jamais j’irai t’embêter chez Paul et d’ailleurs on se reverra plus. Avec moi, ton secret extraprofessionnel sera bien
gardé !
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U : Mouais ! Tu m’as l’air réglo, même s’il faut toujours se méfier des apparences, mais
bon ! Allez, soyons folle : je vais assurer cette prestation, mais sache que si tu me causes le moindre souci d’une je démoli ta réputation (un client est limite plus mal vu qu’une
occasionnelle) et de deux certains de mes clients se feront un plaisir de m’aider en venant te casser les jambes à coup de barre à mine ! J’ai été assez claire ???
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F : Gloups, oui oui, mais je te répète que t’as rien à craindre de moi ! Si tu m’aides à
trouver la clef mentale de ma ceinture de chasteté envers les femmes, je te serai reconnaissant à vie !
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U : Bref, passons aux choses sérieuses, on fait comme si de rien n’était ! Si ton souci vient
d’une excitation trop importante, relaxe-toi avec de la musique zen, si c’est plutôt une question de débandade, bois un whisky-coca ou de l’aspirine avec du coca, ça dilate les corps
caverneux ! Je vois des feuilles longues. J’espère que t’as pas méfu, parce que ça aussi ça accélère le flux sanguin (mais tes yeux n’ont pas l’air explosés) mais la sensibilité est
aussi – trop dans ton cas – accrue !
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F : Non, j’avais prévu le coup (hum, si je peux dire) !
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U : Ok, tant mieux ! Je vais me préparer. À tout de suite.
Ulla revient de la cuisine en sous-vêtements de dentelle noire. Elle porte à ravir des bas résilles finement
maillés, une guêpière propre à filer le bourdon à quiconque ne serait autorisé à pénétrer la ruche mielleuse et y déposer sa gelée royale, alors que son soutien-seins pigeonnant laisse imaginer
de sacrés monts et merveilles.
Attaché plus tôt aux montants du lit, Faudel voit la belle se rapprocher en se dandinant langoureusement. Son
excitation est à son paroxysme, du moins le croit-il. En effet, parvenue à sa hauteur, le voile se lève : il s’avère que la miss est top et bottom-less. Qu’est-ce que cela cache ? Rien
justement !
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U [d’une voix suave, délicieuse et rassurante] : Si je t’ai attaché, c’est pour que tu apprennes à
maîtriser tes montées d’émotions, au besoin en te débattant avec elles, mais sans les fuir : je veux que tu canalises tes émois, pas que tu deviennes insensible ! Tout au long de la
séance, je voudrais que tu fermes les yeux, que tu imagines ce qui se passe comme dans un rêve érotique et si la pression est trop forte, soit tu penses à autre chose de moins bandant, soit
tu ouvres les yeux le temps que l’orage électrochimique se calme et passe en douceur. Ne me regarde pas comme ça, tu vas prendre ton bon pied (de cochon), bon œil (pas de chien battu) !
Tu es prêt ???
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F : Oui, je suis près {même si cette peinture sur soi m’affole déjà, que j’en salive, mais restons
zen !!!} !
-
U : On commence le festin nu par la cochonnaille ?
-
F : Yep, le gros boudin et ses cochonneries !!!
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U : Il faut te détendre !
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F : Beh justement, la dernière fois c’était trop puis plus assez tendu !!!
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U : T’inquiète ! Cette fois c’est moi qui suis à la manette !!! Quand c’est hot, trop
tropico, coco tu me le dis – même si j’écoute de toute façon en parallèle ta respiration et observe tes spasmes –, je te ferai descendre d’un ciel !
-
F : D’accord, je vais faire de mon mieux ! Je vais déguster ce que tu me sers, à
l’aveugle !
-
U : {Voyons voir ce que donne son gros boudin gorgé de sang ! J’ouvre la braguette et lui sors
sa baguette. Je pétri son pâton pour le faire lever et l’allonger avant de l’enfourner !}
-
F : {Hum, déjà, elle malaxe bien, j’ai la carotte et les petits pois (même si j’ai qu’un testicule,
j’oublie vite) qui commencent à cuire à l’étuvée ! Heureusement elle ôte le couvercle, sinon la cocotte-minute aurait explosé ! Putain je suis trop stressé : ouvre les yeux et
fait redescendre la pression !!! Pfff, ah, ça va mieux comme ça, le concombre à l’air libre ! Cool, elle s’attaque à mes raisins secs, là en-bas je suis moins sensible … quoique, vu
comme elle les lèche, eux aussi vont se gonfler ! Maintenant que je suis complètement à poil, concentrons-nous sur cette musique douce !!!}
-
U : {Maintenant qu’il est livré sur un plateau, nu comme un vers, pieds et poings liés, je vais le
rassurer avant le second test} Bon, tu vois, ça se passe plutôt bien, tu as bien su gérer ton stress {même si tu transpires comme tu respires !}. J’ai capté que tu regardais, anxieux, la
tâche qu’il y avait dans ton caleçon. Je te rassure mon grand, c’est juste le pré-éjaculat qui est sorti de ton gland. C’est tout à fait normal, et même rassurant : c’est un excellent
lubrifiant qui a l’avantage d’être disponible dès l’apparition de l’érection ! {Avant de passer aux choses vraiment sérieuses, je vais déjà tester ses réflexes aux caresses du sexe}. Là,
je veux, encore plus qu’à d’autres moments, que tu fermes les yeux et que tu laisses vagabonder ton esprit en imaginant plein de choses sensuelles ! {Je prends ma plus belle plume et je
le caresse langoureusement, je vais décrire tout le bien que je pense de lui en lui titillant d’abord le lobe des oreilles, ensuite les tétons chacun leur tour}
-
F : {Hihi, c’est marrant son truc, mais là quand elle descend sur les flancs et trempe sa plume dans
mon nombril, ça chatouille grave ! Ouah, j’en ai la chair de poule, elle effleure maintenant mon triangle poilu des Bermudes, là où les érections disparaissent ! La la la, ça
passera, je vais bien tout va bien !!! Ouf, elle a compris, elle passe de suite au creux du genou ! Hum, c’est bon ça, surtout quand en plus elle me suçote les doigts de pied !
Passant sur l’autre jambe, elle remonte par l’intérieur du cuisseau et approche de la zone dangereuse … ah non, elle dévie sa route pour prendre par derrière. Eh, mais c’est fantastique
ça : j’aurais jamais pensé que c’était aussi agréable d’avoir une plume dans le cul ! Qu’elle est jolie, qu’elle me semble belle : si son ramage se rapporte à son plumage, elle
sera le Phénix hôte de mon bois ! Quel pied !!! Ah, bien joué, elle stimule les deux extrémités en cajolant le périnée : un coup en avant et ça caresse la burne, un retour en
arrière et ça émoustille le trou d’uc ! Royal de luxe son truc, je saurai m’en souvenir en tant voulu !!!}
-
U : {Allé, il a déjà le poteau en feu, je lui suce la substantifique moelle !}
-
F : {Hum, cette sac à pine taille une belle flûte à ma ficelle devenue gros pain ! Ça le fait
grave : une friandise sur sa langue, un bon bonbon carambar qui fond dans sa bouche, pas dans sa main ni dans mon slip !!!}
-
U : {Je lui léchouille et lui gobe son œuf, ensuite je malaxe bien pour qu’il n’y ait pas de
grumeaux et que la mayonnaise prenne correctement ! Jusqu’ici tout va bien ! Bon allez, je vais le cellophaner, comme ça en plus de la protection il sera moins sensible ; je
prends un condom fruit de la passion, c’est bien dans le ton ! Je le mets dans ma bouche, et je dévale les pentes de sa canne à suc ! Ça fera plaisir à mon palais, continuons dans
celui des délices : je me saisis d’un pot de Nutella pour y introduire le lingam igname viril de Faudel, ainsi lui aussi se voit affublé d’un simili caleçon à la saveur exquise ! De
retour en enfance, mais avec cinq ans d’expérience qui feront toujours toute la différence, je m’évertue à lustrer la sucette lubrique, avalant goulûment la gâterie du bâtonnet jusqu’aux
boules parfumées nougatines. Lui qui n’a que la peau sur les os, je ronge son "os" et son frein jusqu’au bout, l’usant jusqu’à la corde : je mange sa pomme d’amour jusqu’au trognon, mais
sans les pépins ! J’adore son sucre gorge, sucer ce bonbon la vosgienne est un régal, ce bâton de réglisse me met de l’huile, tout ce qui est bon pour que ça glisse ! Mais laissons
reposer la pâte, il ne faut pas qu’elle retombe maintenant comme un soufflé !!!}
-
F : {Heureusement qu’elle lâche ma saucisse, sinon j’envoyais de suite la purée ! Pointant ses
nénés sous mon nez, il se dégage de cette charmante fine gousse vanillée des effluves chocolatés. Je suis obsédé par ses brioches comme Proust par ses madeleines ! L’eau à la bouche, ma
langue s’enflamme et je balade mon deuxième organe sexuel – mais premier sensuel – tant sur l’arc-en-ciel que sur le sourire mammaire. Le dextre étant envieux du gauche, droit comme un fruit
mûr à point, je laisse ma trace salivaire effacer la pâte à tartiner singeant les textiles subtils en dessinant le nœud gordien de l’infinie suavité. J’imagine que ses seins sont des robinets
d’eau chaude et froide, et je les visse et dévisse pour avoir de l’eau tiède ! Tout émoustillé par cette divine surprise gastronomique, j’ai les sens comme elle, sans dessus
dessous ! Je déguste alors à grandes bouchées ces sublimes monts chéris, me délectant de ces aréoles au goût unique de chocolat au lait et savourant ces cerises mamelonnées, tendres et
exquises ! Maniant ma langue comme un serpent tant tâteur humant l’air, je "déshabille" le corsage nutellaté jusqu’à la cacahouète tétonale de cette grande kinder muy
bueno. J’adore ses tétons de Vénus pêchus, un vrai régal pour les papilles que ces hors-d’œuvre délicats !!!}
-
U : {Maintenant que je suis moi aussi rassasiée de ce côté, arrêtons les amuse-bouches et passons au
plat de résistance. Je vais profiter de ce bellâtre et joindre l’agréable pour moi à l’utile pour lui ! Au moins il apprendra, le nez dans la touffe, comment est constitué un con en me
faisant un cunni ! Je m’assois à califourchon sur sa tête : commençant par les parties tendres et érogènes de la belle, savourant les cuisses au zèle, la bête savoure les
globes [10] et poursuit son périple lingual vers le
terrier du lapin de Pâques puis se détourne vers son antipode autrement fin (pour les gourmets), la boîte à pralins. Je vois qu’il a retenu des trucs et astuces sympas de ses expériences
homosexuelles !!!}
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F : {Ressentant autant de bien grâce à l’anulingus après cette mise en bouche agréable où sa
patchole sent bon le patchouli, l’entremetteuse se fait attendre et désirer pour enfin aller au fond des choses : le véritable plaisir est un plat qui se mange après avoir longtemps
mijoté d’accord, mais désir bouillu, désir foutu !!! Me sevrant en m’ôtant le sein de la bouche, elle enjambe mon poitrail et malaxe mon beau morceau de viande, englobant les roustons du
mignon. J’en peux plus, il faut que tout ce méli-mélo qui me met l’eau à la bouche soit au plus vite consommé : il faut manger tant que c’est chaud ! Et là c’est chaud
bouillant !!! Moi qui aie tellement le feu, cette chaudière vient enfin m’apaiser avec sa bouche béante à incendie, débitant comme une fontaine sa cyprine lubrificatrice : prenant
mon rouleau de printemps, elle le tapote et le frotte à son mont d’or clitoridien, embrasse mon bout du bout de ses lèvres supérieures puis inférieures et met au final mon moyen plat dans sa
grande porcelaine [11] ! Apparemment, j’ai dû la chauffer
correctement : je lui rentre dans la motte comme dans du beurre (pas comme ma première fois) !!! Enfin la gente féminine goûte et aime mon nem ! Pourvu que ça (reste) dur[e]
pour bien lui bourrer le mou, il ne faut pas que mon gros grain de riz soufflé retombe (le contraire de libido c’est bide au lit) !!! Au moins maintenant je connais le chemin pour aller
à con et fesses, et je comprends bien le parallèle avec la tarte aux pommes : c’est chaud et humide à la fois, c’est fin et ça se mange sans faim !!! Mais je vais arrêter de penser
pour mieux me contrôler, sinon en pas longtemps ce sera plié c’est giclé !}
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U : Maintenant que tu es dans le vif du sujet (c’est-à-dire moi), je vais te détacher pour que tu en
profites bien ! Je te laisse gérer le rythme, les mouvements, et si tu sens que ça vient alors que tu veux que ça dure encore, ralentis, serre les mêmes sphincters que ceux pour
interrompre l’urine, voire sors de moi mais suffisamment à temps sinon tu auras les inconvénients de l’éjaculation prématurée sans avoir l’avantage d’être blotti bien au chaud !!! Si je
vois que ça se passe bien, et ça va le faire, je me trémousserai de plus en plus pour augmenter tes sensations, mais à toi de canaliser le trop-plein d’émotions, de changer de position pour
calmer la tension, le tout "discrètement", sans que ce soit trop flagrant ! Là est tout le talent d’un bon baiseur !!!
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F : Beh je suis pas encore prêt alors !
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U : Tu n’en veux plus, ou peux plus ?
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F : Si, j’en veux et peux plus, je suis un gourmand et quand c’est bon on mange jusqu’à plus
faim ! Je vais maîtriser le truc, je souffle un bon coup et on y retourne, comme en 40 !!!
Faudel ayant décidé de ne plus penser afin de ne pas envoyer la sauce béchamel trop tôt à son goût, nous
prenons le relais !
Suivant les conseils avisés de sa sexperte attitrée d’un soir, il apprend à bien
fricoter [12], avec des gestes minutieux, tantôt rapides,
tantôt apaisés ! Tellement heureux de cette sexpérience réussie avec cette belle "courge" farcie, il reste sur le dos, à lui caresser et tripoter les fesses, toute langue dehors
pour lui suçoter ses beaux noyaux de litchis, blancs en périphérie et roses au centre, qui ondulent selon le va-et-vient de ses coups de reins ! Après un nombre certain d’allers et retours,
sentant son heure sur le point de venir et suivant la bonne parole de sa cheffe de partie génitale, Faudel sort d’elle et la prend à revers, dans une position qu’il connaît davantage ! Grâce
à ses escalopes désormais saillantes car bien travaillées au corps, Faudel n’a aucun problème pour mettre sa brioche chaude dans le sac à pine d’Ulla. Beaucoup plus à l’aise avec cette vue
plongeante où un dos ressemble à n’importe quel dos, quel que soit le sexe du partenaire, Faudel ne s’en attarde pas moins à cajoler les pommes d’amour d’Ulla ! Mais c’est que cette posture
lui rappelle aussi de bons souvenirs, surtout quand il scrute la truffe noire de cette "cochonne" qui se remue sous les coups de son boudoir ! Il n’y tient plus et prend les devants en
tâtant du derrière : son pouce se doit de caresser sa châtaigne, autant piquante à l’extérieur que tendre et savoureuse à l’intérieur !!!
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U : Qu’est-ce que tu fais là doudou dis donc ??? {Il n’est pas salace [13], mais il passe à l’ass
[14]}
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F : Euh …
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U : Ce n’est pas compris dans mon contrat ça, alors arrête tout de suite !!!
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F : Tu m’as appris beaucoup de choses ce soir, je serais ravi de te faire déguster ce plaisir des
sens suprême ! Tu sais que j’ai déjà eu des relations homosexuelles, donc tu peux avoir confiance en ma maîtrise du vase postérieur : si tu es curieuse de savoir ce que cela fait
mais que tu veux essayer entre de bonnes mains, c’est le moment ! Après, évidemment, je n’impose rien !!!
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U : Je t’avouerai que j’ai entendu le meilleur et le pire au sujet de la sodomie, mais c’est sûr que
dans ce domaine tu es plus avisé que moi ! Disons qu’on peut toujours essayer, mais à la moindre douleur on arrête de suite !!!
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F : T’inquiète, je vais bien m’occuper de toi ! Tu sais, le fessier, cette lune
resplendissante, se rapproche de la figure géométrique parfaite qu’est le cercle ! Tu n’as jamais testé – au-delà du thermomètre – de te mettre un truc dans le cul ? Un doigt par
exemple ??? {Pfff, justement je lui montre sa lune, elle reste québlo sur mon doigt !!!}
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U : Ben non, ça ne m’a même jamais effleuré l’esprit ! Il ne faut pas croire que … hummm, c’est
vrai que c’est bon quand tu titilles comme ça mon nunus ça fait tout … ouah, et c’est vraiment jouissif quand ton finger rentre un peu plus !!!
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F : Quand je te le dis ! Tu vas voir, je vais te mettre dans ton cu-cul ma praline, tu m’en
diras des nouvelles !!! {Au bord d’elle je m’allonge. Je lui mange le caramel en lui gobant le flanc ! Hum, j’adore lui bouffer son oignon blanc qui croque sous la dent et craque en
même temps que ses cornichons}. Tu vas prendre cher, maintenant c’est moi qui régale !
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U : Ne me fais pas un troisième trou !!!
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F : T’en as déjà un, autant l’utiliser ! Un peu de salive, quand on a pas de vaseline ça le
fait aussi, et tu es prête : je te mets ma friandise dans le Flambys, mon tube Hercule, mon Poireau, t’encule, je ne bouge plus, à toi de te bouger le cul, doucement en faisant
de petits ronds d’avant en arrière, pour qu’il te rentre dans l’lard cul-inaire !!! Pendant ce temps, je m’occupe de ta fraise tagada, les deux combinés feront un effet
détonnant ! {La fente est rude, heureusement la montée est toujours raide !!!}
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U : Ta banane plantain, c’est le fin du fin, y a bon !!!
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F : Eh eh, je savais que ma protubérance te mettrait en transe ! J’adore tes belles fesses,
tomates rouges écarlates à farcir !!! {J’ai la fraise, bien mûre, qui attend sa chantilly, encore quelques allers-retours … et voilà, la carotte est cuite, la moutarde me monte au nez,
la mayonnaise est prête, je dégorge mon poireau dans son oignon} !!! Alors, heureuse ???
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U : Grave, mais n’inverse pas les rôles non plus !
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F : Beh moi, grâce à toi, j’ai enfin consommé le fruit "défendu", donc la question se pose même
pas ! Mais je te réponds quand même : merci maîtresse-queue, c’était délicieux !!!
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U : Ravie que ça t’ait plu, je me suis régalé aussi !!!
Après quelques minutes, Ulla étant partie aux toilettes pour évacuer le trop plein, Faudel, toujours le
sourire aux lèvres jusqu’aux oreilles, lui demande :
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F : T’as quelque chose de prévu ? Tu fais quoi ces trois prochaines
heures ???
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U : Rien de spécial, mais …
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F : Tu veux manger un bout, un morceau pardon ?
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U : Bin, faut dire que le sexercice ça creuse, donc oui ma foi ! Merci, c’est bien la
première fois que je reste chez un client mais tu m’es sympathique !
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F : Tu m’en vois flatté, et je te retourne le compliment !!! Qu’est-ce que tu veux te taper,
euh te mettre sous la dent, enfin manger quoi ??? Évidement je n’ai pas de saucisson, je mange pas de porc !
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U : Ça tombe bien moi non plus, ni même de viande au sens large !!!
Nos deux amis se font donc un petit gueuleton, à base de brick (à l’œuf) et de broc.
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F : Fromage ou dessert ?
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U : Ce soir je prendrai le fromage puis un café ! Je ne sais vraiment pas pourquoi, ce n’est ni
dans mes habitudes ni dans mes prestations, mais j’ai bien envie de faire un extra (boules) avec toi : je reprendrais bien du poil de la bête, histoire de voir si tu as tout bien
assimilé ! Ce soir c’est choucroute et saucisse à volonté !!!
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F : Je suis honoré par cette exception ! Tu m’as aidé à faire la cuisine, je ferai la vaisselle
en léchant la casserole où tu passeras et en astiquant le plat, le cul de poule, la cocotte, la marquise, le moule, le fouet ! {Hummm, après une bonne bouffe, une bonne touffe pour
digérer ! Je vais la dévorer comme un fin gourmet gourmand de gourgandines [15]}
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U : Hep garçon ! Remettez-moi le couvert !!!
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F : Si, pronto ! Je saute moi aussi le dessert pour me taper les poires de la Belle-Hélène dans
ma chambre !
Au lieu dit :
-
U : Maintenant c’est toi qui mène la barre, montre-moi ce que tu sais faire !
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F : D’accord, la trêve des con(friseurs) est belle et bien finie !!! {Donc, il faut bien
préchauffer le four avant d’enfourner la dinde jusqu’aux marrons ! Hum, elle est bonne comme un bonbon : quand je déballe le papier, j’adore la lécher, elle est si sucrée et ronde
en bouche !}
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U : N’oublie jamais que le clitoris est le sot-l’y-laisse [16] de la poulette, le pendant féminin de
la partie la plus tendre, délicate et goûteuse des cailles [17]. Ce
petit bouton est à disposition pour déclencher toute une gamme de sensations/satisfactions !!!
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F : Ah oui, j’avais oublié, merci de me le rappeler {Note pour plus tard ! Hum, en plus ça
claque en bouche !!! Je prends la fille à pleines dents et croque le fruit (dé)fendu, elle est bien juteuse et sans pépin ; j’adore aller boire à la source de celle qui est ni
cruche ni gourde [18]}
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U : Tu pousses le bouton un peu loin, tu vas toucher le fond !!! C’est bien gentil mais ce
n’est pas tout ça, passons aux choses sérieuses : dis, tu m’ôtes ma motte de ta bouche ! Ne va pas trop vite dans la besogne [19] : dis-toi bien qu’il n’y a pas que
le sexe dans la vie, il y a aussi les seins et le cul, et comme disait Corneille (le poète pas le chanteur) « Le désir s’accroit quand l’effet se recule » !!!
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F : Oui beh écoute, je débute en matière de femme !!! {Claro, je vais aller suçoter ses seins
en oranges confites}
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U : {Bon ça va, il se débrouille plutôt bien pour un "no-vice" ! Je vais lui faire plaisir à
mon tour en lui donnant ma langue de chatte à son biscuit fourré !!!}
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F : Allez, tu disais que c’est moi qui gère la cuisson, donc je suis à point, c’est l’heure de
tremper ma pine pour faire une mouillette ! {Je vais lui faire un repas de Réveillon bourgeois du XIXè siècle en variant les plaisirs pour que ça dure plus longtemps : langue de
cochon à l’écarlate ou fourrée, coq/chapon avec poule/pintade/dinde, boudin blanc à la crème, dinde truffée ruisselante dans son jus, cochonne de lait farcie de saucisses, entremet cuisses de
grenouilles, etc. Ça me rend tout chose quand elle met ses jambes derrière sa tête, on dirait un bretzel}. Tu es top en topless, tu me scies !
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U : Non, c’est toi qui me scies en deux à me limer comme ça : je ne suis pas une bûche de
Noël !!! {Mais c’est vrai que c’est bon que son concombre encombre mon con !!!}
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F : {En parlant de ça, c’est l’heure de tirer les marrons (pas glacés mais chauds) du feu !
J’ai bien trempé ma nouille quand elle était frémissante, maintenant qu’elle est al dente (enfin non, il faut qu’elle soit ferme sous la dent mais il ne faut pas la mettre « à la
dent », ça fait mal et ça raille la penne) je sors la ravie au lit pour qu’elle la goûte jusqu’aux noisettes à beurre ! Voilà, on va se finir en tapas espagnol, je vais mettre mon
cornichon entre ses gros nichons ! Hum, royal comme elle me fouette la crème avec sa langue jusqu’à en sortir le beurre !!!} Pour une végétarienne, tu aimes bien mon morceau de
viande !!!
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U : Oui, je suis végétalienne même, et je parlerai plutôt de poireau sinon je n’arriverai pas à
avaler la vinaigrette !
-
F : {C’est énorme, c’est hot dog ! Je raffole de cette chienne chaude : c’est savoureux
quand je lui enfile ma saucisse entre ses miches de la boulangère, bien dorées et cuites ! Ahhh, ça y est la mousse est partie, je l’asperge de sauce hollandaise avec mon
asperge !!!}
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U : C’est officiel : à présent tu as ton grade de Maître Queux [20], tu es copieux, et pas qu’au
pieux !
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F : Merci, tu m’as bien rassuré sur le fait que j’assurais !!!
Retour plateau :
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Alors Faudel, maintenant que tu sais que ta première "vraie" fois s’est déroulée avec Virginie/Ulla, que
peux-tu nous en dire ?
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Faudel : « Je vais juste dire que c’était super, qu’elle a vraiment été pro sur toute la ligne
et que c’est grâce à elle que je me suis décoincé/décomplexé avec les femmes ! C’était mon vrai éveil à la chair (à pas trop cher) : j’ai gémi quand j’ai mis dedans et j’ai enfin
connu, à la bonne heure, le bonheur des dames !!! {Tu m’étonnes, je l’ai culbutée [21] comme un culbuto [22] au lit !!! J’en avais le sexe tout
sec, la quéquette qui collait, les roustons qui faisaient des bonds !} »
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Ulla/Virginie : « Tu n’as pas changé, toujours aussi poète-pouet !!! Mais c’est clair que
c’était vraiment une très belle sexpérience, autant pour lui que pour moi, je dirais même un de mes meilleurs souvenirs en tant que professionnelle de "la chose" ! {Pfiou,
j’étais excitée comme une pute, de pile comme de face (de poils comme de fesses)} !!! Faudel n’était vraiment pas à l’aise au départ mais il s’est magnifiquement rattrapé par la
suite !!! »
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Justement, c’est ce que nous allons voir en reprenant le cours du documentaire ! Silence, ça
tourne !!!
[1] Dans l’argot militaire du XVIè siècle, catin
était un terme d’affection adressé à une fille de la campagne, abréviation populaire de Catherine, qui dérive du grec « pur ». Au masculin, il s’agit d’un moule qui reçoit le métal
fondu. La catherinette était une femme de plus de vingt-cinq ans et toujours pas mariée (être une célibataire affirmée signifiait être une femme soit pure soit publique.
[2] De l’italien baia
« plaisanterie » (aujourd’hui : galanteries, amourette, faire l’amour) : signifie autant un acte, une parole, et plus généralement toute chose frivole ne méritant pas qu’on
lui accorde une grande importance (préoccupations légères, divertissements futiles, petite pièce agréable et facile destinée à plaire plutôt qu’à édifier, morceau de musique de caractère léger et
de courte durée, sans forme précise), qu’un ensemble de petits riens de l’existence qui ne méritent pas qu’on s’y arrête et qu’une chose facile à accomplir, qui ne nécessite aucun effort et dont
on peut très bien se passer ou du moins sur laquelle il n’est pas besoin d’insister.
[3] Rendu ferme et gonflé par l’afflux de
sang.
[4] Changements de bien en mal.
[5] Qui facilite des intrigues
galantes.
[6] Chaude-pisse, blennorragie ou
gonorrhée : infection sexuellement
transmissible des organes génito-urinaires.
[7] Cinquante fois plus fréquente que la
gonorrhée, cette infection touche les muqueuses génitales et oculaires ; La Dame aux camélias est un roman d’Alexandre Dumas fils publié en 1848 (qui a inspiré l’opéra de Verdi, La
Traviata), inspiré par son amour pour la courtisane Marie Duplessis. Le thème est une histoire d’amour entre une courtisane atteinte de phtisie (tuberculose pulmonaire) et un jeune
bourgeois ; ici les statuts sociaux sont inversés.
[8] Se dit d’une femme qui a des seins
volumineux (c’est une expression qui fut employée comme celle « d’avoir du monde au balcon »).
[9] Celle qui est mobile en bite en
anglais.
[10] Partie arrière du haut de la
cuisse.
[11] Autre nom du vagin, car le coquillage pilé
pour faire la céramique ressemble au sexe féminin.
[12] Dérivé populaire de fricassée, se trouve au
XVIIIè siècle au sens de « bombance » : cuisine préparée rapidement et avec peu de moyens, mais en vue de faire un bon gueuleton.
[13] Du latin salax « lubrique,
lascif », de salire au sens de « couvrir une femelle » : qui recherche les plaisirs, les rapprochements sexuels d’une manière excessive.
[14] « Cul » en anglais.
[15] Femme légère, facile, dévergondée [1640
« prostituée » : composé du radical de goret, « jeune cochon » (cf. gorrasse « coquette », gore, goure « femme de mauvaise
vie »)].
[16] Morceau blotti de chaque côté du dos d’une
volaille, entre les ailes et les cuisses.
[17] Petit oiseau de passage dont la chair est
délicate ; une femme chaude comme une caille, une caille coiffée, étant une femme légère, une prostituée.
[18] Fruit rond ou oblong des
Cucurbitacées.
[19] Action par laquelle on fait une
œuvre.
[20] Chez les citoyens romains, un cuisinier
était appelé un queux. Plus tard, l’officier qui commandait à tous les officiers de la cuisine et de la table fut nommé « Grand Queux de France ». Plus près de nous, il devint
« Officier/Chef de bouche ».
[21] Du moyen français culer,
« frapper au cul », et de buter (« heurter un corps, s’en tenir à quelque chose ou quelqu’un avec obstination ») : faire l’amour, posséder
sexuellement.
[22] Personne ou objet mettant la tête en bas et
les jambes en haut, pour retomber de l’autre côté.