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  • Tu es un terroriste de l’amour avec tes attentas à la pudeur sentimentale : tout ce que tu touches devient vulgaire
  • Le mal c’est le rappel, le bien c’est l’entracte et moi le one-man-chaud
  • La réalité est obscène, perverse, vulgaire, je ne suis que son messager.
  • Un loup ennami se cachait sous cette toison d’agneau broutard
  • Ma chatte miaule, mais chatte échaudée par de mauvaises expériences craint la douche froide du lendemain qui déchante.
  • La chienne hurle à l’amour, au loulou « y es-tu ? » … « oui, bien profond même ».
  • Je rêve de remplir une grosse sale plutôt que de jouir à jouer dans un petit espace étriqué mais sans ambiance.
  • Elle obéit à l’œil puis au(x) doigt(s).
  • elle a rien demandé a personne et elle se fait marcher dessus sans rien dire, juste parce qu'elle est aveuglée par ses sentiments et l'autre en profite pr la manipuler et la maintenir sous sa coupe
  • si il y a de l'amour passionnel (le plus dangereux entre ns soit dit car le plus lobotomisant le libre arbitre), il n'excuse surement pas tt et encore moins n'importe quoi
  • c comme les tox qui laisse le prod (quel qu'il soit) prendre le pas sur leur personne et personnalité. ils se disent qu'ils aiment bien le produit alors qu'ils savent tres bien, au fond d'eux, qu'ils sont manipulés par lui et qu'il leur fait bcp de mal pr 10s (héro), 20 mn (cocaine) ou 4h (lsd ou autre) pr un tt petit peu de bien
  • Faudrait que je me bourre la gueule pour te bourrer le mou
  • Si t’es majeure (au moins sexuellement, à 16 ans), je te dois mon majeur, le second membre agissant le plus long : appelle-moi Goldfinger, Édouard aux mains agiles
  • Suce-moi mon doigt que ma main te cache
  • Je te prends la température, d’abord dans la bouche puis par les deux autres orifices assez ouverts sur le monde, ensuite je te dirai demain matin si je peux quelque chose pour toi
  • Je travaille dans l’Art Is Anal : la semaine je monte des chaudières, le week-end je démonte des chaudes-ass
  • Une vraie tanche : tu galères à la ferrer, à la mouliner, à la remonter dans ton panier, et ce n’est même pas bon à bouffer
  • Je suis dans la place, tout baigne et toute vierge saigne
  • Sans soutien-gorge c’est plus sexy pour chercher à voir, mais lors du déshabillement c’est mieux d’avoir un soutien-gorge pour imaginer et éviter que la réalité fasse trop vite chuter le désir, l’excitation
  • Comme un gamin tout fou devant un paquet emballé puis déçu par le cadeau révélé
  • Un point de chute … de reins
  • On joue au docteur, au gynéco même
  • Tire la bambinette, le bambino cherra (rapports mère-enfant)
  • Tu lèches, pèches et prêches, un con vaincu
  • Si tu m’abandonne c’est pour moi que le glas sonne
  • La partie est loin d’être finie ! Oh que si, même que c’est moi qui ai gagné au cas où tu ne l’aurais pas remarqué !!!
  • No way/moy’ ! Si, y a moy’, way !!!
  • Le maître-chiennes que je suis veut que ça marche à la laisse, qu’elles soient fidèles et obéissantes, couchées à leur niche sur ordre
  • Je rentre dans le détail ! Dis donc, l’origine du monde n’est pas un point de détail de l’Histoire
  • D’abord elle s’épanche avec moi, ensuite je la penche sur moi
  • Tout le temps fourré en elle, comme cul et chemise de nuit
  • Une petite saignée et hop ça resarce
  • J’ai un gros coup de barre, viens on va se coucher, se serait dommage de gâcher une si belle érection
  • Six belles érections
  • Chasse à cœur, mais chasseur qui se fait voir restera sur sa faim
  • C’est pas l’odeur, c’est l’arrière-goût qui m’indispose
  • Je ressens toujours quelque chose pour toi ! Pareil, je ressens toujours du dégoût pour toi
  • Elle me tient par le cordon de mes bourses
  • Passer par les (l)armes
  • En acceptant un verre, elle m’autorise à imaginer qu’elle ne serait pas hostile à une tentative d’abordage même si elle garde le contrôle dans le sabordage
  • Ce qui n’est pas inenvisageable n’est pas forcément envisageable, ça reste non-inenvisageable, point !
  • Je n’envisage pas sérieusement de coucher avec elle, c’est juste pour le fun et l’entretien des outils
  • Je ne la désire pas elle en particulier mais les femmes en général
  • Effet de manche (faire un réquisitoire ou un plaidoyer, en agitant ses bras de manière vive pour accentuer la portée de ce qu'on dit et lui donner un ton plus grandiloquent), et quel manche de poêle à jouir
  • Tu te crois professeur de désir, aventurier de l’Amour, mais tu n’es qu’un rentier du baiser, un petit épargnant des sentiments
  • Tu as joué petit pour ne pas perdre gros mais t’as perdu toute ta (pro)mise
  • Un cul à dévergonder et à mettre debout tous les damnés de la terre
  • Si tu continues comme ça, on ira loin tous les deux
  • Des yeux au bout des doigts, ou plutôt l’inverse pour pouvoir toucher avec les yeux
  • J’adore cul sec !
  • La cyprine est l’essence (du 7è) ciel
  • Les chiens ne font pas des chats, mais les chattes font le chien (et même les chiennes, des fois)
  • Gérer ça de main de maître, de doigt de rêve, au pied levé
  • Je ne suis pas forcément sûr que le bonheur d’être heureux soit l’essentiel
  • C’est pas la taille qui compte, c’est le goût
  • Tu viens, on monte que je te démonte
  • On verra bien ce que ça va donner ! Beh c’est tout vu, je vais tout lui donner, lui mettre la fièvre, pendant des heures !
  • Je te griffe, te dégrafe et t’agrafe à mon tableau de chasse gardée
  • Elle, tant que je me le tape, le reste je m’en tape
  • Y a contact, faut que je la plaque au sol, que je transforme l’essai en lui mettant entre les perches
  • Si je lui grimpe dessus, ce n’est pas pour dévisser au milieu du couloir d’ascension, c’est pour lui monter le Mont de Vénus culminant au 7è ciel
  • Moulée à la lèche
  • Le penseur du rondin
  • Songe d’une nuit d’orage d’été : ça tonne, ça tombe drue, c’est moite ; ça ne dure pas longtemps mais ça rafraichit
  • Charlotte, suce ma fraise, la chantilly arrive
  • On met la barre de traction sur ma boule de camping et je te tire/tracte
  • Règles : les roastbeefs débarquent
  • Le sang des règles sent la mort (chiens pisteurs de cadavres sont perturbés)
  • Quand la rivière est en sang, emprunte le gué boueux
  • Si tu me fais tes yeux de bitch (chienne, garce qui râle, peau de vache … à lait) alors que t’es dans mon viseur, dans ma ligne de mire, je te tire
  • Tyrannosaure Sex ; greluche (féminisation de greluchon : Jeune fille, jeune femme aux mœurs légères ou sotte)
  • Houba-obab, queue du bonheur en bouche
  • Les founes sont comme les Mens aiment, pas la même couleur mais le même goût
  • Un pour toutes, tous pour un coup
  • Cette poulette a des cuisses qui donnent des ailes
  • Certains préfèrent une escalope avec une salade. Moi, j'opterais pour une escapade avec une salope.
  • Langue pendante derrière ton cul
  • Il s’excuse mais il s’enfonce en moi
  • Mon talent c’est d’être un étalon
  • J’ai pas mal roulé ma bosse forte, y a des heures de vol
  • Shocking chaud-king
  • Le secret du sexe pour les nuls c’est s’entraîner à fond les ballons
  • Fais mariner la bécasse (Femme sans esprit)
  • Just a little bite ? baby I haven’t got it, je vais te donner du lourd
  • embrouilles de slip/string à hockey chorale
  • femmes déchettes rient : rien ne se perd, tout se récupère, ça dépend le quand et le comment du besoin
  • coup de cœur coup de queue, coup de foudre coup de foutre
  • sadique de propriété
  • Quand on aime pas trop, on aime pas assez...
  • Il a décelé mes faiblesses, connait bien mes fesses, et manipule les deux avec adresse
  • "Moi je ne fais confiance qu'à mon manche et à ma parole, l'une est ferme, l'autre est d'acier" Tony Montana
  • "Il y a une question dans "Je t'aime" qui demande "Et m'aimes-tu, toi?"
  • mise en "(ob)scène" parfaite
  • merci bon coup
  • devenons ami-amie bitch
  • bit-man : chauve (à col roulé rose) sourit
  • L’étroite petite cochonne
  • C’est quand même pas une fée qui va prendre son prince charmant à sa sorcière
  • Quand je fais l’amour avec toi je pense à elle, quand je fais l’amour avec elle je ne pense plus à toi
  • Pin-up : « jeune fille punaisée au mur » : femme provocante sans être vulgaire qui donne la pine-up
  • Cette poupée, jamais elle ne se dégonfle
  • Je vais te donner du plaisir avec ma langue
  • Je suis toujours là, à l’orée du bois, en get à pine
  • Rentrer aux berk aïes
  • Si le ramage se rapporte au plumage …
  • Nœurologue
  • Tu fais mal le mâle malin
  • Cheap chibre shit dealer
  • Jouer dans la cour des grands glands
  • Je te la fais spéciale éjac’ faciale : ta bouche ne peut pas passer entre mes gouttes de sperme
  • Grand tisonnier lui ramone la cheminée
  • Mon arc-en-7èciel dans son obscur de lune/dark side of the fool moon
  • Je ne suis pas un homme de paille mais de baobab, pas dans la main mais dans le slip
  • Se tuer à l’attache sentimentale
  • « J’aime sans sentiments, confidence pour confidence, c’est moi que j’aime à travers toi »
  • Je l’enfourche à calif-fourchon
  • Tu me fais rire, voyons si tu me fais jouir aussi.
  • Pipe du matin repos du vagin, sodomie du soir repos de la mâchoire.
  • J’ai l’impression qu’on s’est déjà vu ! Si c’était le cas, je ne t’aurai pas laissé qu’une simple impression
  • Elle me met son O à la bouche
  • Je reprends du poil de la belle en la reprenant dessus
  • Elle a les seins comme les fesses, bien fermes
  • Je la préfère nature (pas comme le thon, comme le yaourt) : fraîche, un peu acide, onctueuse, et quand tu saupoudres de sucre, ça coule en gorge tel un nectar dont elle n’est pas avare
  • Je lui lâche le furet dans le terrier
  • Ça m’a fait plaisir de te faire plaisir
  • DrapCul : le suceur de sang à Ca(t)rpattes
  • On fait crac-crac au pique-nique si tu croques pas trop fort dans ma craquinette fourrée noisette
  • Mes rouges boules lui donnent des ailes
  • Ne me regarde pas avec tes yeux de cocker chien battu, tu me rabats les oreilles
  • Je ne joue pas au pénis avec une raquette de ping-pong
  • Cette vierge aime le verbe, la verve et encore plus la verge
  • je suis pas femmeté, je suis responsable de personne
  • Elle est friande de ma fessée, fraîche, ferme
  • Slip ou caleçon ? Vu le temps que je le garderai, on s’en fout
  • Faut faire gaffe à l’ivresse des profondeurs : tu te couches avec une sirène, tu te réveilles en apnée à côté d’une baleine échouée ou d’un thon (même si le thon c’est bon, comme les vaches de mer qui croient que c’est toujours la dernière).
  • Un monte en l’air va-nu-pieds, un hippie bises and love.
  • Faire l’amour c’est la liberté, aimer c’est la perdre.
  • séducteur invétéré avec l’apparition de l’expression “faire le joli cœur”
  • Les trois petites cochonnes ont le loulou aux fesses (jeune homme qui ne s'encombre d'aucun préjugé et vit pour l'amour et le plaisir. Il est le maître de plusieurs femmes, dont il fait le malheur à tour de rôle : Loulou (Die Büchse der Pandora) est un film allemand réalisé en 1929, dont le personnage de la comtesse Anna Geschwitz est considérée comme le premier personnage lesbien de l'histoire du cinéma.
  • Comme beaucoup d’hommes, je ne parle pas d'infidélité, mais de "Polyamour" : je me sens fidèle à toutes mes femmes.
  • Célibataire au cœur de pierre
  • Dr M’abuse, Dr Fol-Amour, Dr Ma Boule
  • D’une chatte l’autre
  • Butine de fleurs en fleurs
  • mettre le poing G sur le kiki du zizi rider
  • Tu mets l’appât au bout de l’hameçon, tu jettes la ligne, tu taquines le goujon, t’attends que ça prenne (plutôt que ça morde, ce qui fait mal au mâle), tu moulines jusqu’à ce que le poisson soit hors de son milieu et enfin tu le chopes à l’épuisette pour le mettre dans la nasse de ton escarcelle [grande bourse que l’on portait suspendue à la ceinture, un peu comme une (truite) aumônière].
  • Si je cède, il faudra lui accorder tout ce qu’elle veut et même ce qu’elle ne sait pas encore qu’elle voudra.
  • Tu me brides le mors, je ne me sens pas moi avec toi.
  • Tête d’affiche à lécher.
  • Je fais des clapotis (agitation légère des vagues qui se croisent et s’entrechoquent dans tous les sens) sur son clitoris.
  • Tu es de la petite bière pour moi et je préfère le champagne.
  • Pour vivre heureux, vivons couchés.
  • J’écris ce poème, ces quelques bafouilles, en vue d’une grosse léchouille.
  • Odeur de chienne mouillée, en chaleur.
  • Qui ne tente rien ne tête rien.
  • J’ai un doigt d’avance sur la longueur de la langueur (faire la cour d’une manière doucereuse et fade).
  • Le fourre-toutes foufounes tout foufou.
  • Les femmes sont comme un oignon : chaque couche cache puis révèle quelque chose.
  • Le monde appartient à ceux qui lèchent tôt et à ceux qui couchent tard.
  • Je paye mes coups toujours en liquide.
  • Si tu ne contrôles pas tes nerfs, contrôle au moins ton langage.
  • Fall on me (jette toi sur moi), feel me (ressens moi), fill me (remplis moi), but don’t fool me (ne me berne pas).
  • Si t’es indisposée, dispose toi de façon à te prendre un petit coup vite fait bien fait en passant par la petite porte de derrière, ni vu ni connu un coup dans ton cul.
  • Baisse-toi que je te baise, hummm avec ton regard de braise.
  • Comme tireur d’Elite, je préfère les cibles émouvantes, qui bougent bien.
  • Je ne demande pas, je prends … comme une bête.
  • Elle feule comme une tigresse, grrr, qu’elle déesse féline et câline.
  • Je ne suis pas un malotru mais un mâle à trous qui ne fait pas mal aux trous.
  • Chasseur alpin, de lapine, à la pine (du franc-comtois pine, « sifflet, flûte d'écorce »).
  • Je vais la bouche en cœur voir son cul de poule(tte) [bouche en cul de poule : dont les lèvres forment un cercle du fait que les commissures sont relativement rapprochées ; dans son sens figuré, cette expression signifie qu'une personne prend un air mielleux, dans le but de savoir ou d'obtenir quelque chose].
  • La fureur de jouir.
  • Je l’ai (faite) tombée (tomber) comme un domino puis culbutée comme une nympho.
  • Aux femmes bouteilles d’Orangina (qu’il faut bien secouer sinon la savoureuse pulpe reste en-bas), je préfère les sablières bien serrées et pas qu’à la taille (du roseau inflexible).
  • La croupe est pleine, nique sa race je m’arrache.
  • La femme est soit reine, soit servante.
  • Salut, t’es nue ?
  • Aucune femme ne te résiste, tu choisis donc bien tes proies.
  • Là, tu lui dis que tu l’aimes, juste pour l’ambiance et pour passer ensuite aux choses sérieuses.
  • Une capote cape/cache la haute hotte hot, mais n’ôte pas le cap (que dis-je, le roc, la pininsule).
  • Une hot aspirante.
  • Certains montent une start-up, moi une pin-up.
  • Cette petite chatte a des griffes.
  • SM, c’est comme ça qu’L M et m’M, tant pis pour L.
  • Trop de Pernod amène la parano.
  • Il a bu et abusé.
  • Je suis une fleur fragile que tu froisses avec tes frasques malhabiles, sors de ce pot pourri, tu me dessèches.
  • Je suis adepte des hot technologies.
  • Les Monts, forts, de Vénus, c’est mon faible.
  • C’était un one-shot, mais quel hot-shot, j’en étais hot-dog.
  • Ta patchole sent bon le patchouli.
  • Je suis comme le mérou : ¾ de gueule, ¼ de queue.
  • Il est trop tôt pour jouer au golf ! Non, j’habite ici, donc on va pouvoir se faire un 18 trous et là, plus il y a de coups mieux c’est.
  • Le jour est pour tous, la nuit que pour certains.
  • La gente trouble et double
  • Avoir une chatte dans ma gorge profonde chaude
  • A tir d’elles, pour son « bon » « plaisir », comme un franc-tireur, toujours le doigt sur la braguette, non sur la couture du pantalon (position du garde-à-vous : le soldat se tient droit, chaque bras le long du corps, et un doigt sur la couture latérale et néanmoins verticale du pantalon de l'uniforme. Cette position raide est celle dans laquelle il manifeste du respect au supérieur qui est devant lui)
  • Collectionne les femmes comme d’autres les papillons de lumière
  • Mon désir c'est séduire
  • Manipuler, pour toi c'est aisé et je me suis fais baiser.
  • Le manipulateur est un dealer, il vous livre ses doses, vous rend dépendant et s'enrichit en vous méprisant. [J. Eldi]
  • Le but de la manipulation est d’obtenir des bénéfices secondaires, les primaires pouvant paraître trop flagrants et donc éveiller les soupçons, justifiés
  • Je pense que le but de la manipulation est d'obtenir des bénéfices tout court... La manipulation de mise avec le mensonge dans certains cas ne permet pas d'éveiller le soupçon. Une personne n'ayant pas l'esprit pervers, ne peut imaginer la perversité de certains. Éveiller les soupçons est une chose, prouver la manipulation peut en être une autre, surtout dans le cas de l'amour.
  • Tes propos bateau, ca m' fait plus chavirer, ils prennent l’eau.
  • Pour jouir, je choisis de fuir ton désir.
  • J'ai confondu passion et addiction, deux synonymes de punition.
  • de toi je ferai ce que je voudrai
  • pédagogie + démagogie = propagande
  • approche en agneau mais loup au fond
  • suicide par amour : elle s’est loupée, mais c’est le geste qui compte
  • Je laisse aller le sort, je n’ai aucun remord
  • Tu prends tout au pied de la lettre Q
  • Je comptais les minutes pour voir le soleil se lever et ainsi pouvoir me débarrasser d’elles
  • besoin de rien, envie de toutes plutôt que de toi
  • La laideur résiste, la beauté se donne ou se prend
  • Merci ! Je t’en pris, tout le plaisir fut pour MOI !!!
  • Je veux papillonner, sortir de ma chrysalide, butiner de fleurs en fleurs
  • Courir les jupons
  • Chercheur d’or…gasme
  • Plutôt que des gros coups pas sûrs, je préfère des petits coups sûrs : une tienne chienne vaut mieux que deux tu l’auras
  • Au bonheur des dames
  • Giacomo Casanova : Casanova ou la loi du désir, le besoin de séduire les femmes.
  • Fondamentalement, Don Juan recherche et vit dans le plaisir et la jouissance de l’instant présent, en s'opposant aux contraintes et aux règles sociales, morales et religieuses, ainsi qu'en ignorant volontairement autrui. C'est donc à la fois un jouisseur et un libertin, également égoïste et destructeur. Je suis un mélange de lui et de Casanova, selon les partenaires et les périodes, qui pensait au contraire que l’homme est fait pour donner, la femme pour recevoir.
  • Ces amours furent à l’origine de bonheurs et de malheurs infinis pour l’aventurier qui jugeait que si les plaisirs sont passagers, les peines le sont aussi
  • À l'ombre des jeunes filles en fleurs à déflorer
  • Tireur d’élite, tir couché comme tir groupé sur tout ce qui bouge
  • Penthouse, loft de love, garçonnière à femmes
  • Tu as eu tort, et le tort tue !
  • Faire zizi-panpan
  • Faire un frotti-frotta
  • Pile poils
  • Quitte mon territoire ou je montre les crocs, j’ai d’autres chattes à fouetter.
  • Pas besoin de monter sur tes grands chevaux, surtout quand c’est des bourricots.
  • Amener ses cheveux aux burnes
  • Quand ça gémit, moi je m’introduis dans la frange profonde
  • Ça copule de source
  • Embrouilles du lendemain matin du genre « ça va mon chéri ? » alors que ce n’est pas parce que t'as mis un coup que du coup tu es en couple réglé !
  • Il cause les mêmes ravages que le « (jus)Tsunami » : après son passage, ce n'est que chaos et désolation !
  • Boni mentor-menteur (le boniment repose sur un constat : la crédulité est aisément sollicitable, tandis que l'intelligence et le discernement sont faciles à tromper)
  • Yoni soit qui mâle y pense ! (Yoni vient du sanskrit « lieu » : dans l'hindouisme, désigne les organes génitaux féminins, matrice ou vulve).
  • Je crois que je suis amoureux ! Ah !!! De ta voisine ! Oh … !!!
  • Le tripoteur des belles de ville en triplette sur mon triporteur à Belleville
  • Que les filles soient nues, qu'elles se jettent sur moi, qu'elles s'arrachent ma vertu
  • L’une était comme un aimant pour moi (plus je la collais, plus elle se décalait), l’autre était comme un boomerang où plus je la jetais, loin et fort, plus vite elle revenait.
  • Jamais eu autant de célibataires mais les gens ont peur des autres et (peut-être) de leur propre bonheur
  • Deus sex machina : [Deus ex machina est une locution latine signifiant « dieu [sort] de la machine ». Elle est surtout employée dans le vocabulaire théâtral au sujet d'une personne qui arrive, d'une façon impromptue, à la fin de la pièce et par qui le dénouement s'effectue.]
  • Touche à toutes
  • Qui bouffe à tous les râteliers
  • Elle est bonne, mais qu’est-ce qu’elle est conne
  • J’adore bouffer des sardines en boîte (de nuit), bien serrées, un peu d’huile et pourvu que ça glisse
  • Je n’évite pas les meutes de louves
  • J’aime toutes les femmes, qu’elles aient du cha-rme ou du chien(ne).
  • en tant que chasseur, je ne demande pas mieux que de me faire brusquer par ma prise
  • il ne faut jamais vendre la touffe de l’ourse avant de l’avoir tirée !
  • se faire tirer à vue
  • on étire son désir au maximum, puis – enfin – on les tire ces pigeonnes !
  • mes nuits horizontales sont plus belles que vos vies de jour à la verticale
  • serial sarceur
  • accueil à bras (et jambes) grands ouverts pour recevoir ses douze coups de minuit, sa midnight rain
  • parties de jambes en l’air
  • Elle est blonde ou brune ? Les deux : blonde en-haut, brune en-bas.
  • Après la bringue, je la déglingue (mettre à mal : altération du terme de marine déclinquer, dérivé de clin, « bordage », ou dérivation de l'allemand klingen, « sonner »).
  • À peine dévoilé un bout de sein sautant du soutien-gorge, je tourne de l’œil (dans sa direction : c’est un sein à ne pas cacher, je saurai voir de toute façon).
  • Avant moi la forêt vierge, avec toi le Déluge tropical.
  • Si tu mets le string à l’envers, tu peux être un chien qui joue avec la chatte et la ficelle.
  • Je la déshabille pour l’hiver.
  • Comme manipula(c)teur précoce, le beau-gossisme ne fait pas tout, mais moi je me les fais toutes.
  • Faut que ce soit bien mouillé pour qu’on soit (dé)tendus, dans tous les sens du terme.
  • Je vais tellement la limer que je vais la scier en deux.
  • C’est bien parce qu’on sait qu’on ne pourra pas tirer tout le troupeau de salopes sauvages qu’on chasse bite en tête (comme avec la bille : droit au but pour mettre au fond du filet) les plus faibles. Pas fous les gonzes : on chope les plus faciles, enfin … les moins difficiles.
  • Dans la basse-cour, quand le roi-coq danse, les poulettes se mettent aux abris.
  • Rien ne sert de courir les jupons, il faut jouir/partir à point (nommé G).
  • Mettre la main à la poche fessière.
  • Je l’attire dans un get à pine pour la tirer.
  • Le dealer des cœurs : il fait goûter sa came pour rendre accro puis fait payer cher la dépendance.
  • Sans faire plouf, je te propose de passer du canapé-pouf à une croisière au fil du lit à eau.
  • À force qu’on me casse les pieds en voulant forcer à leur trouver des souliers adaptés, j’ai les orteils bons pieds bon œil.
  • J’ai spermission jusqu’à minuit.
  • T’es couchée ? Oui, et même douchée, grrr !
  • Ton cœur est un gilet par-belle.
  • Hommes ? Sweet homme !!!
  • Qu’hymen qui m’aime me suive, jusqu’au bout du bout.
  • Du latin hymen « membrane » calqué sur le grec hymenaeus « chant nuptial », « chant d’Hymen » (les Athéniens l'invoquaient toujours dans les cérémonies du mariage, et, dans des fêtes solennelles, ils l'appelaient par un chant de triomphe : « Hyménée, Hymen ! Ô Hymen, Hyménée ! »), nom de la divinité païenne qui présidait aux noces. Le dieu Hymen ou Hyménée, fils de Bacchus (Dionysos : dieu de la vigne, du vin et de ses excès) et de Vénus (Aphrodite : déesse grecque de la germination, de l'amour, des plaisirs et de la beauté ; on peut distinguer deux conceptions différentes d'Aphrodite : celle du plaisir de la chair, plus « terrienne » en quelque sorte, et celle de l'amour spirituel, pure et chaste dans sa beauté), présidait au mariage. Il est aussi connu sous le nom d'Hymenaios dans la mythologie grecque. Certains poètes le font naître des muses Uranie (astronomie/astrologie), Clio (« célébrer, chanter » : muse de l'Histoire, on la représente sous la figure d'une jeune fille couronnée de lauriers, tenant en sa main droite une trompette, qui représente la renommée, et de sa main gauche un livre sur lequel sont rédigés les récits du passé, donc du lignage), du roi de Magnésie, Magnès, voire encore d'Apollon et des muses Calliope (« belle voix » : muse de la poésie épique et de la grande éloquence, elle est représentée sous les traits d'une jeune fille à l'air majestueux, le front ceint d'une couronne d'or, emblème qui, selon Hésiode, indique sa suprématie parmi les autres muses) ou Terpsichore (« apprécier », « la danse » : muse de la Danse, elle est une jeune fille vive, enjouée, couronnée de guirlandes, et tenant une harpe au son de laquelle elle dirige en cadence tous ses pas). Quelle que soit sa généalogie, ce dieu joue un grand rôle dans la vie humaine, et son culte était partout en honneur. Il est un magnifique jeune homme (aussi beau qu'Apollon), qui a délivré des jeunes filles enlevées par des pirates et les a rendues à leurs parents, à condition qu'on lui accorde la main de celle qu'il aime, mais qui le dédaigne. Ses attributs sont les emblèmes nuptiaux, le flambeau nuptial, la flûte, la couronne de roses. On le représentait sous la figure d'un jeune homme blond couronné de fleurs, surtout de marjolaine (plante vivace cultivée comme une annuelle, elle se multiplie par éclats de touffe et par semis, a besoin d'une exposition ensoleillée et ne supporte ni l'humidité ni le froid ; la marjolaine a des propriétés anaphrodisiaques puisque sa substance calme les désirs sexuels ou est utilisée pour traiter le priapisme et ses érections « permanentes » aussi bien que les irritations génitales, sachant que lorsqu’on abuse de cette huile, elle devient stupéfiante, épileptisante et peut provoquer un état de somnolence), tenant de la main droite un flambeau, et de la gauche un voile de couleur jaune (dans les mariages romains, le voile de la jeune épousée était d'un jaune éclatant). Certains mythologues lui donnent un anneau d'or, un joug et des entraves aux pieds, allégorie rendue plus transparente encore par deux flambeaux qui n'ont qu'une même flamme et que l'on place dans ses mains ou auprès de lui. En botanique, l’hymen est une pellicule de la corolle d'une fleur (partie d’une fleur complète qui enveloppe immédiatement les organes de la fécondation et qui est ordinairement colorée).
  • Je vais te boire le calice (vase sacré dans lequel est consacré le vin) jusqu’au lit, mais ce sera toi qui souffrira d’alalie (impossibilité de parler), d’une longue douleur voire d’une humiliation complète (si c’est ce que tu aimes).
  • Oh my god, elle est sacrément michée, mais je vais la laisser implorer « Gaude michi » (« réjouis moi » en latin médiéval, « re-jouis moi » si c’est bien fait) avant de lui faire prendre son pied sur mon godemichet (« godemichou » est relevée en 1611 et viendrait de l’espagnol gaudameci – attesté depuis 1140 – pour « cuir de Ghadamès », une ville et une oasis du désert en Libye, à la frontière de la Tunisie et de l’Algérie où selon la légende, après les razzias quotidiennes, une jument assoiffée d’un des cavaliers refusa d’avancer et se mit à frapper le sol jusqu'à ce que l’eau jaillisse sous ses sabots ; sachant qu’un miché – forme populaire de Michel – est un homme facile à duper, en particulier client d'une prostituée, que les miches viennent de mica, signifiant « miette », « parcelle », et qu’on parle de michetonner pour se prostituer sans en faire son métier).
  • Je n’ai pas que toi à foutre.
  • Il ne s’est rien passé le 1er soir car je n’avais pas envie d’elle donc elle fut à l’aise comme avec un vieil ami, mais du coup le 2è soir j’avais trop envie d’elle mais elle me comprit comme un petit ami alors que toujours pas de mon côté.
  • Il érupte de son point chaud puis éructe/crache sa lave chaude comme la braise du feu ardent de ce volcan.
  • Martine n’avait pas la gale, du coup je l’ai chopée par la martingale (courroie qui tient par un bout à la sangle sous le ventre de la monture, et par l’autre à la muserole, pour empêcher qu’elle ne donne de la tête ; par extension, sorte de demi-ceinture placée dans le dos d’une capote, d’un manteau, pour retenir l’ampleur ou marquer la taille).
  • Je ne suis pas marié, je ne suis responsable de personne.
  • Tu as l’air toute retournée ! Normal vu comme tu m’as tournée dans tous les sens puis envoyée bouler.
  • Le meilleur déodorant c’est le succès.
  • Je tire à tout(es) va (bien) dans un recoin, en rafale et dans tous les coins.
  • un esprit (mâle)sain dans un porcin
  • Je prends mes désirs pour la réalité car je crois en la réalité de mes désirs
  • " Le plus grand amour est l'amour d'une mère, vient ensuite l'amour d'un chien, puis l'amour d'un amant. "
  • " Les femmes pardonnent parfois à celui qui brusque l'occasion, mais jamais à celui qui la manque. "
  •  il est génétiquement programmé pour renverser les spécimens de l’espèce féminine , caréné pour la destinations orgasmes à répétions sans escales .
  • C''est un chirurgien des sentiments, habile ,
    Il vous prends par les trippes et vous fout la tête à l'envers .
  • Il brandit sa mâlattitude comme un bouclier
  • Je ne demande jamais un dernier verre chez elle, c’est elle qui propose de prendre un dernier/premier coup … à (dé)boire.
  • J’ai couché avec elle, mais uniquement au sens technique du terme.
  • Je suis surpris par la rapidité de franchissement de la ligne entre ce qu’elles croient être et ce qu’elles acceptent d’être.
  • Continue, tu m’enfonces.
  • On dit à l’autre ce qu’il a envie d’entendre, pas ce qu’on a envie de dire : il n’y a pas de mal à cela, pas de vrai non plus.
  • Dans la galanterie pure, si tu ne baises pas la main, c’est bien pour baiser tout le reste après.
  • Quand la rivière est en sang, on fait ce qu’on peut avec les moyens du bord d’elle ou on passe par le sentier boueux au combien lumineux.
  • Quand tu as un filon, tu le tires jusqu’au bout, jusqu’à l’épuisement, ensuite tu passes à une autre exploitation.
  • Enfin mister Douleur est parti : ça fait du bien, enfin seule, ça soulage d’avoir été mal mâle accompagnée.
  • Je suis à la bourre, j’ai pas le temps de la bourrer.
  • Pour éviter les abcès dans les excès, avec les gâteries, il faut sucer modérément et bien se laver/rincer la bouche.
  • Je peux me permettre ? Oui, je veux me faire mettre !
  • Elle fait la belle avant la bête.
  • La La La ! … Non, pas là, pas là, ah lala !!!
  • Comme il n’y a pas de femme frigide, je n’ai pas de piston mais qu’une bonne langue.
  • Autant faire dès le début bien, même si ça n’empêche pas de repasser derrière mettre une seconde couche.
  • Je la dézingue (mettre à mal, pour son bien), debout sur le zinc.
  • La compassion (souffrir avec) est la passion envers le con féminin des autres, associée au fait de pâtir (endurer) de leurs cons masculins.
  • Alunissage en douceur : un petit pas pour l’homme, un grand coup pour elle.
  • Tu l’as toujours ? Oui, j’ai pas encore jugé bon/utile de m’en débarrasser/séparer car elle ne prend pas trop de place et elle sert toujours pour dépanner.
  • Car je lâche rien, je lèche toutes les pouliches.
  • Quand on en est aux prémices, il faut goûter à tout, y aller à fond puis faire ses choix. Et mon choix est vite nue !
  • La touffe de gazon pas maudit est toujours plus verte ailleurs.
  • C’est pas parce que t’es à la diète que tu ne peux pas regarder les menues, fretines (poissons de petite taille, sans intérêt pour le pécheur) frétillantes, pour saliver.
  • Moi je tourne dedans, pas autour du pot ! Quelle modestie pour un génie.
  • Envie de ken ? Yes, we ken avec Barbie dans sa maison de poupées, voire avec Ken (le survibrant).
  • Prépare-toi à être visitée par la grâce.
  • J’ai beaucoup de tenue et de doigté dans ce/celles que j’entreprends.
  • Je fais parti de la Sexction Nique Tout
  • J’ai toujours des lingettes pour préparer et des serviettes citronnées pour rincer les doigts après les fruits de mer.
  • Je suis devenu accro, je t’avais dans la peau, je n’ai pu oublier ton corps, céleste mais aussi funeste (qui cause le malheur, la perte ou la destruction, la désolation).
  • Il m’amène dans sa turne pour me bourrer l’urne.
  • Je vais te prendre en main.
  • Ma verge converge vers le con des vierges.
  • À quoi tu penses ? Je ne pense pas j’agis, j’agite ma bite.
  • Il y a ce qu’on pense, ce qu’on dit, ce que l’autre entend/comprend, ce qu’il en pense.
  • Une fois qu’on a imaginé, la réalité est souvent décevante.
  • Elle commence à être gonflante Ste Honor / Horror in.
  • C’est pas parce que je t’ai roulé des pelles, peloté les seins, bouffé la chatte et foutu dans le cul que t’es ma meuf.
  • Tu me payes une fois le repas, je paye deux fois mon boule au pousse-café.
  • Hum, je te tiens ! Houlà, je la tiens plus, elle est déchaînée.
  • L’amour est un lampadaire sur lequel les chiens/chiennes lèvent la patte pour l’inonder d’immondices.
  • J’aime toutes les chattes, sauf les chattes teignes (une personne qui tient bien, reste accrochée, dont on ne peut aisément se débarrasser).
  • Être expert en sexe n’est pas mon boulot, c’est mon hobby.
  • On se re-jouit ? Oh oui, ça me réjouit.
  • Tu n’as pas à te poser de questions, j’en donne les réponses.
  • L’homme se doit de tout donner, la femme se doigte de tout se donner.
  • Tu veux de l’amour ?, je vais t’en donner tout plein dans ton cul.
  • Je pose ma pine sur ses lèvres pures … (que je) purine (arroser avec la partie liquide du fumier).
  • Qui aime bien châtie bien, viens là que je te somatise.
  • Le toutou, le suis toutes.
  • Lance-toi … de très haut … avec une corde.
  • Un chopeur (tombeur, preneur de femme : de chopper, faire un faux pas en heurtant du pied quelque chose, prendre de façon brusque et inattendue, faire une erreur ou un écart de conduite, se heurter à un obstacle d'ordre moral) chéper va au shoppy en chopper.
  • En femme, j’ai un forfait toutes options soir et week-end, heures creuses avec report des minutes.
  • Dard wador (to wad up : boucher avec un tampon) : open bar du warrior in the dark.
  • Tu m’as fait tout un cirque alors que je venais de dresser le chapiteau.
  • Il y va, il est au taquet (« pieu, poteau »), il est attaqué.
  • Quel joli jumper (sauteur, cavalier cavaleur).
  • Je suis plus demandé que demandeur.
  • Le pouvoir de dire oui c’est aussi le plaisir de non.
  • « Je t’aime » : on n’est pas obligé de le penser vraiment, mais il faut le dire souvent.
  • Une bombe anatomique.
  • M’essayer c’est m’adopter.
  • On dit que c’est en forgeant qu’on devient forgeron, donc c’est en niquant qu’on devient nique-bon !
  • Le mord mont de Vénus [le mons veneris (nom latin signifiant mont de Vénus) appelé aussi pénil ou monticule pré-pubien, est l'éminence large et arrondie située au devant du pubis chez la femme. Le mont de Vénus consiste en un amas adipeux qui aurait pour rôle d'amortir les chocs lors du coït. Dans le monde animal, cela se nomme mont Pubis. En chiromancie, c'est le nom de la partie charnue de la paume qui se trouve à la base du pouce
  • C’est qui cette fille ? Une copine ! C’est qui cette copine ??? Juste une fille !!!
  • J’étais en transe … pire
  • J’adore passer autant de temps à la déshabiller qu’elle à s’habiller
  • Hot shot : grognard du feu de forêt
  • El niño (l’enfant) : tornade chaude et humide qui secoue les palmiers et les noix de coco.
  • La confiance règne, tout baigne
  • Tu ne dis rien mais tu sais bien
  • Tu sais tout, mais ne crois en rien
  • Tu sens bon mais ton cœur pourri pue
  • Je ne sais pas qui tu es ! Moi non plus si ça peut te rassurer !! Mouais, bof !!!
  • C’est pas que de la haine dans ma tête, c’est plus compliqué que ça là-haut, tout s’y percute
  • Pompe à chaleur sur un point chaud volcanique
  • L’aborder avec comme visée de la border en fin de soirée : sirop puis suppôt pour la fée
  • Si ça caille, j’écaille les cailles
  • Une re-crue des sens
  • Un fanfaron du fion (« bavard, inconstant », qui cherche à s'imposer par le verbe ou l'attitude en exagérant son mérite) (Avoir le fion. Avoir une adresse particulière dans un domaine ; Cachet de ce qui est fait, achevé avec talent, avec art. Donner le fion ; « dernière touche, dernier soin qu'on donne pour parfaire un ouvrage » ; fionnerfignoler ou orig. purement onomatopéique comme terme de jeu évoquant un coup, Var. de fignon qui est dans le composé troufignon « postérieur, anus », d'où aussi troufion) « faire le beau, se pavaner » : à partir de
  • Fond dans la bouche, pas dans le slip
  • Les femmes sont de belles plantes à qui il faut parler le matin et qu’on doit sortir puis arroser le soir
  • Préparer les asticots pour faire que l’hameçon ferre bien
  • Pour être dur à l’érection il faut être dur à la sélection
  • Allonge-toi de tout ton long, comme un gisant qui va gémissant
  • Quand on prend des risques on peut perdre, si on n’en prend pas c’est sûr qu’on perdra
  • Soit côté fesse lune blanche soit côté pile soleil rouge
  • Je vais pister puis flécher une bitch
  • La pister, ça m’a pris comme une envie de pisser/éjaculer
  • Tout va très bien madame la marquise soumise
  • Je vais craquer du minou à croquer
  • Toi qui aimes les cadeaux utiles, voilà une muselière, les menottes et le bandeau ce sera pour plus tard
  • Je préfère le giron (sein) maternant au familial
  • Soit je retourne l’arme contre moi, soit je la détourne vers toi, ça de suite c’est moins cool, ça arrange moins
  • Tu couches avec elle ? Je ne dirai pas ça comme ça, ou alors dans le sens d’une simple coucherie, pas plus
  • Cou(v)rir la femelle
  • Prend la fille à pleines dents et croque-la
  • Elle a tellement le cul en feu qu’elle doit porter des strings en amiante et ses poils/sa raie des fesses sont une barrière coupe feu car elle est chaude comme la braise
  • Les nichons c’est comme la confiture, c’est pas pour les cochons
  • Quand tu danses avec Satan, il faut s’attendre à la fin de la chanson
  • Ça commence bien mais ça va mal finir
  • Pfff, c’est agréable, ça fait plaisir ! C’est pas fait pour !!! Je sais, j’étais ironique !
  • Tu chauffes tout le monde en frottant ta fesse gauche contre ta fesse droite, c’est pas fait pour la discrétion
  • Desdémone, incarnation de l'amour absolu et de l'innocence bafouée, est un personnage de la tragédie que Shakespeare a composée en 1604, Othello.
  • Je préfère tes fesses à ta face
  • Je les baise en brochette, à la queue leu leu (latin "lupus" qui donna au XIe siècle les noms "leu" et "lou" d’où loup. "A la queue leu leu" renvoie donc aux loups qui, se déplaçant bien souvent en meutes, se suivent et marchent dans les pas les uns des autres)
  • Je la gave comme une oie « blanche », elle en bave la brave bête
  • Un porc ab(r)ité, bon au mouillage
  • Trempe ma pine pour faire une mouillette
  • les naines c’est top car elles n’ont pas besoin d'être à tes pieds pour ne piper mot
  • dans la cochonne tout est bon
  • d'habitude je roule mais j'ai la flemme, donc une blonde ! moi je tourne à la machine à tube, c vraiment royal !!! ouais j'ai essayé mais les clopes sont trop grosses, j'aime bien les fines...et pas trop longues ! je rentre ds tes critères alors ;-) oui puis roulé à la main c'est mieux, et le coup de salive pour coller l'ocb est le plus important !

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