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Chap 8-L'Amazone démonte Jésus

 

  • Trop de x tue le x (euh non, ça c’est l’exception qui confirme la règle, quoique les nymphomanes sont rarement heureuses, ou -x, de leur sort).
  • Je ne suis pas l’homme d’une seule femme
  • J’avance et je roucoule dans l’encule
  • Amener Popol au cirque pour monter le chapiteau
  • Dormir sur la béquille
  • À ton service, pour tout ce que tu jugeras utile/agréable
  • J’aime bien (en)durer le plaisir
  • Pour le meilleur et pour le p(lais)ir
  • Ta reum et son chaudron magique
  • on bosse comme des fous, on s’amuse comme des folles
  • L’herbe est toujours plus verte dans le chant amoureux du voisin, surtout quand on est dans le désert affectif et sexuel
  • Je ne fais pas dans la demie-luxure [recherche, pratique des plaisirs sexuels pour soi-seul ; Trois sortes de péchés en chaire : le blasphème (la sacrure, péché sec), l'intempérance (la champlure, péché mouillé : abus d’alcool) et la luxure (la créature, péché poilu ; également très belle femme, voire femme de mauvaise vie)].
  • Un jouisseur libertin, un sans-culotte défroqué (qui a quitté le statut de moine).
  • Tu n’auras que mon corps, mon con et mon cul, pas mon cœur ! Pas grave, celui-là je te le laisse.
  • Tiens, ceci est mon corps, mange en tout !
  • Dis à chacun, et surtout à chacune : paye ta lune (1640 pleine lune « gros visage », 1872 « derrière »), c’est full-moon party ce soir.
  • Ma clé rentre nickel dans ta ceinture d’ex chasteté.
  • Je la traverse de part en part.
  • D’abord on contracte le mariage, ensuite on convole en juste noce, enfin un autre consomme la chair de sa chère et tendre.
  • Prosper hoplà boum, le roi des pines des spices girls.
  • Ce mec, c’est le must avec son musc.
  • Goûte le petit jeune comme il embrasse bien !
  • Des maux de tête ? Des Maud tètent et tâtent ta hâte !
  • Vivement que tu sois mort … enfin raide pardon.
  • Paradoxalement, j’ai failli savoir voler quand je voulais sauter parce que je n’avais plus d’elles.
  • " La femme infidèle a des remords, la femme fidèle a des regrets. " Proverbe Chinois
  • on retourne le fond et on agrandi "le commerce". C'est ce qu'on appelle élargir le cercle de ses amis
  • sus à l'action, si on se désirait jusqu'au bout ?!", j'emploie fréquemment "on va coquiner" ...
  • L'échange est propice à l'inspiration, l'échangisme aussi. Changer de partenaire enrichi la culture en la matière, sauf que là je n'ai rien à échanger.
  • Sors le calamar du calebar
  • L’oignon fait la force
  • La muraille de pines
  • Elle m’agrippe les sacs
  • Sacrée virée à l’aigre allègre
  • Tant qu’elles nous raillent mais ne nous rayent pas le casque ; si les hommes raillent, les femmes rayent
  • C’est bien parce qu’on n’aime pas ses amant(e)s qu’on les baise
  • Je t’ai trompée, tu as failli me tromper, on s’est trompés tous les deux
  • Le canon ne tonne plus avec ma daronne
  • J’aime bien regarder les gens habiles de leurs mains
  • Continuer un entretien professionnel en rendez-vous personnel
  • Cette va-nu-pieds va seins-nus
  • T’imagine la sale nuit que j’ai passée en pensant à la belle nuit que tu passais ?
  • Pleins de gens rêvent de le faire mais rien, d’autres l’ont fait et certains regrettent d’en avoir rêvé car ça c’est transformé en cauchemar
  • Plus j’en sais, moins je veux déballer
  • Tu n’as jamais eu envie de prendre le large, de ne faire des folies que par goût du vice ? Non, x est ma vertu car, si il y a pomme de discorde, le ver tue !
  • 7 ans de mariage : noces de sapin
  • Bague au doigt : boulet au pied, chaîne d’entrave, menottes aux poignets
  • Elle lui chope le mât de cocagne (mât glissant car huilé au-dessus duquel sont suspendus des objets qu'il faut essayer d'attraper) pour en déguster le pompon (Boule de laine en haut d’un bonnet).
  • coincée de partout, cette bourge ne bouge rien, ne lèche rien autant qu’elle ne fait rien lâcher
  • Le daron (croisement de baron avec l'a. fr. dam « seigneur, maître » : petite forteresse, tenancier de maison close) et sa bourgeoise
  • Plus c’est (ou plus il y a de) con(s) plus c’est bon
  • J’ai du Jéroboam de Champagne pour toi ma mignonette de Sauternes, tu accompagneras très bien mon doigt gras
  • tu n’as pas changé, toujours le même obsédé
  • Louis Michel la verge rouge et sa copine Clito le capuchon rouge
  • Marié en fin d’année cocu au 1er janvier
  • T’as tiré le bon bout de bambou, dur et souple à la fois
  • Cette petite chatte va me faire le dos rond (Quand on se fait gronder, quand on est penaud, honteux, qu'on subit)
  • Je ne fais jamais ça, ni ça d’ailleurs, mais today c’est pas pareil
  • Un gros coup de mou pour ce petit dur
  • Cocu avec 2 C comme deux cornes
  • j’ai jamais vu ça, autant mater pour en profiter
  • sympa à comparer : moins bien, plus mieux, c’était comment ?
  • le rouge agité excite les torts hauts
  • Dans le trompage, changement d’herbage réjouit les taureaux
  • Engoncée jusqu’au cou, je lui ai enfoncé mon clou dans son cul (Engoncer : Faire paraître le cou, comme enfoncé dans les épaules, de manière inélégante; p. ext. donner au buste, au corps, une apparence massive et raide. compar. iron. entre une personne engoncée jusqu'au cou dans un vêtement et un pivot enfoncé dans un gond).
  • C’est vice et râle : j’ai besoin d’échanger mes sécrétions avec les Autres
  • Je te refais la même, mais en mieux
  • Enfiler des perles des Antilles avec des boules de Geisha
  • Elle me saute sur le râble (Partie du lièvre et du lapin qui s’étend depuis le bas des côtés jusqu’à la queue)
  • Je m’enflamme quand je sens cent femmes
  • Sortez les gourdasses que j’étanche ma soif
  • Je n’ai rien contre, je suis plutôt pour, bien au contraire
  • Aller au contact, au corps à corps
  • Un mignon trop trognon
  • Un trou sale, des trous sots
  • malheureux en amour, heureux au jeu ; avoir une veine de cocu
  • Je vais le fumer derrière le cyprès
  • 12 coups de minuit : l’heure des cimes
  • C’est du long, c’est du bon
  • Un amant, c’est beaucoup de tourment pour que ça ne se sache pas
  • Échangiste (selon Marx) : qui échange marché et capital pour fascination/fétichisme envers l’argent qui commence avec la bête 666
  • De port en port, je les prends toutes de part en part, au corps à corps
  • Touche à ton cul ! Hum, c’est ça qui est bon !!!
  • L’épée, pas rangée dans le fourreau (vagin en latin), taille de tous les côtés
  • Le crazy horse de l’herbe folle aux songes
  • J’adore la société sur mon lit autant que j’abhorre la lie de la société
  • J’ai pris ma trique, ainsi t’as pris ta claque sur les fesses
  • Un beau coin à bons coups et culs
  • On fait trempette ? Je suis déjà toute mouillée, fais moi le saut de l’ange … sans plat au contact de l’O
  • Le magicien, de la dose, ose
  • Un cercle d’intimes qui s’enfilent en boucle intime
  • Je te remets un coup, derrière le gosier ? Oki, tu payes, ton coup, ton cul ???
  • Tu tremperas bien tes lèvres sur ma croupe à champagne
  • Tu descends ça goulûment, ça siphonne dans le gosier ! Normal, quand le vagin est tiré, il faut en boire la cyprine à grosse rasade, qu’on boit sans soif
  • Après un petit coup à boire, un grand coup à déboires
  • Le regard de braise qui brise la glace
  • Une pouliche de manège qu’on fait tourner en bourrique, en rond, à la longe, car tout le monde lui est passé dessus
  • Oh, repos Miss ! C’est toi qui a commencé en étant au garde à vous, raide dans ta capote : baisse ta garde
  • Éjaculation prématurée=syndrome du Canadair : tu te charges à bloc, tu lâches tout sur le feu et tu te barres
  • Tu vois les géraniums mais t’as pas le temps de dérouler le tuyau avant d’arroser tout partout car trop de pression, le robinet pas bien tenu en main
  • Une pieuvre qui tente l’encule, toi t’es pris en étau, enserré entre 1 m de membre/jambe
  • Alors qu’elle est bonne, lui is not good
  • Sexe à toute heure, santé bonheur
  • Dans le secret des alcôves, là où les corps/cœurs se lovent tout en love and beat-itude
  • Si x n’est pas là, c’est Y qui le/la remplacera. Et now, on attaque avec Z
  • Être à tu et à toi avec X (Être proche de quelqu'un, familier avec cette personne)
  • Re-skieuse : à la queue comme tout le monde pour prendre le tire-fesses
  • J’adore les incartades (Extravagance, folie que fait une personne) de ses écartades
  • Sacré toi, t’en perds pas une ! Non, je les chope/gagne toutes !!!
  • Tiens, elle est bien fraîche et bien pulpeuse, comme tu les aimes
  • J’y vais bite en tête car je touche ma bille/bite
  • Moi je m’échange, mais elle je ne la prête pas
  • Ce n’était pas X qui m’inquiétait ou en qui je n’avais pas confiance, mais les autres hommes qui lui tournaient autour
  • Les coquins d’abord
  • La Furie de la nuit
  • Je suis une fidèle qui veut profiter en étant infidèle comme mon mari
  • C’est dur de se faire violer et de faire semblant qu’on a joui : l’ouverture ça fait mal.
  • On peut dîner avec le diable mais il faut une longue fourchette, et si on danse avec lui il faut s’attendre à ce que la chanson finisse.
  • Quel fariboleur/frivoleur (qui n’a nulle importance) de charme, quel opportun inopportun.
  • Acidité douce, amertume sucrée.
  • Une gourgande (femme légère, fille de mauvaise vie) qui aime la vie et la bite, même si elle gourmande (réprimander avec dureté) quand ça bande (raidir, tendre quelque chose) pas assez.
  • Tu peux pas mieux tomber, je suis déjà en plein dedans, mais maintenant que t’es là, je serai tout rien qu’à toi.
  • aller à vau-l’eau : partir à la dérive, emporté par l'eau sans rien pouvoir contrôler
    traduction moderne : cela part en couilles
  • Un rien, la bite.
  • Enfoncer le clou
  • Une perd la pudeur
  • Guère pudique, tu niques
  • Vierge Marie Vs mari vierge à verge
  • Mari volage porté sur le marivaudage : Le nom de Marivaux a donné naissance au verbe marivauder qui signifie échanger des propos galants et d’une grande finesse, afin de séduire un homme ou une femme. Par extension a été créé le mot marivaudage, « le mélange de métaphysique, de locutions triviales, de sentiments alambiqués et de dictions populaires le plus subtil ». Il se rapporte également à d’autres termes tels que le libertinage et le badinage. il créait même des mots nouveaux comme cette locution verbale qui nous paraît maintenant si courante, mais qui n’existait pas encore à l’époque, tomber amoureux (avant, on disait se rendre amoureux).

"exprimer de manière raffinée et compliquée" des
sentiments, en général amoureux.
"Marivaudage" est attesté aussi dans la correspondance de Diderot en 1760, il
signifie "style raffinant le sentiment et son expression" (A. Rey). Par
extension, il signifie "badinage spirituel" (on parle de marivaudage
sentimental).

"Badinage" : le mot vient du provençal "badin = nigaud". Il a désigné
longtemps un personnage niais, un fou puis le bouffon des comédies.
Personnage folâtre, enjoué, un peu frivole. On retrouve encore ce sens chez
Courteline qui nomme un de ses personnages, Monsieur Badin.
Cela a donné badinage qui signifie "sottise", encore au XVIIème siècle
chez Molière, avant de devenir le substantif du verbe badiner =
"plaisanter avec enjouement".
Le mot renvoie plus directement aujourd'hui à l'idée d'un bavardage,
souvent superficiel, autour des sentiments. Voir le titre d'une pièce de
Musset "On ne badine pas avec l'amour".

3- "Libertinage" : le mot vient de libertus qui en latin signifie "affranchi".
La diffusion du mot fait référence à un courant de pensée du début du
XVIIème siècle qui prétend s'émanciper de toute croyance religieuse. Par
extension, le mot désigne une personne à la morale flottante, considérée
comme débauchée ou simplement adonnée à la recherche du plaisir sans
contrainte. A l'époque de Marivaux, des écrivains comme Crébillon et un peu
plus tard, Laclos mettront en scène des libertins en ce sens.
Le "libertinage" diffère du "marivaudage" qui est avant tout un jeu avec les
sentiments et les mots. Il suppose une volonté plus affirmée de refus des
conventions morales et une manière de vivre délivrée de toute contrainte.
Néanmoins, le "libertinage" est encore une façon d'user du langage pour
séduire, une forme d'expression ludique, mais moins enjouée que cynique.

 

  • Qui a dit que les Blancs ne savent pas sauter ? Il suffit d’écouter les gémissements des juments pour savoir que les percherons (chevaux de labour qui la bourre) sont aussi bons que les fiers purs sangs et étalons arabes.
  • Ce crime de lèche-majesté sera puni par un doigt, vengeur de la justice aveugle qui (se) met le doigt dans le cul après s’être crevé les yeux (comme Œdipe après avoir incesté sa mère).
  • Une débauche d’amuse-bouches pour une petite sauterie (réunion où l’on danse sans cérémonie ni règle sociale) de bon acabit.
  • Quand je danse avec les louves du lupanar, je prends un vrai panard.
  • Je suis un cynique, pas « inique » (qui est injuste à l’excès en parlant des personnes) mais « il nique ».

Même si ça n’a rien à voir, dans la mythologie grecque, Nikê est une déesse personnifiant la Victoire, comme son nom l'indique. Fille du Titan Pallas et de Styx, elle est la sœur de Cratos (la Puissance), Bia (la Force) et Zélos (l'Ardeur), avec qui elle fait partie des proches de Zeus (ce hardeur). Niquer vient du mot latin fornicatio, de même sens, qui a pour racine fornix, « porche », cette forme de sexualité (relations sexuelles entre deux personnes non mariées) étant associée aux ébats et aux caresses expertes pratiquées par les prostituées qui s'abritaient sous un porche pour guetter leurs clients après les jeux et mises à mort dans les arènes. Dans les textes littéraires ou religieux, le terme fornication est le plus souvent employé dans un sens péjoratif : il est alors lié au péché de luxure et exprime le caractère supposé bestial, primaire de la sexualité. Mot d’argot militaire dans les colonies françaises à la fin du XIXè siècle (« faire la nique à quelqu’un » exprime un geste fait en signe de mépris ou de moquerie ; niquer c’est également obtenir au premier jet ce que l’on avait annoncé au jeu de dés), il a donné naissance à l’argot arabe en Algérie, puis par la culture populaire (notamment la chanson) dans le reste des pays de dialecte arabe : nik (« faire l’amour »), ou de nikāḥ (« coït »).

  • J’adore la masturbation mutuelle, surtout de la mano à Manue.
  • Il y a de la touffe ici ! Va y avoir du taf et du sport en chambre.
  • J’ai eu un coup de foudre suivi d’un coup de foutre : la soirée s’est bien éclaircie/dégagée alors qu’elle était couverte au début, finissant sous la belle/bonne étoile de Vénus.
  • Elle mouille sa chemise, je « souille » ma promise.
  • Ce qui se fait ici ne sort pas d’ici.
  • Vive les touffes chrétiennes.
  • God double share pour que les deux prennent cher.
  • Salut, X, enchanté ! Y, navrée, désolée !!!
  • En te voyant, c’est lui que je veux punir, pas moi en couchant avec toi.
  • Si c’est ça que tu veux, t’inquiète, tu vas la voir et l’avoir.
  • Dark side of the lune.
  • Malgré un très bon club de golf, c’est pas ton meilleur coup dans le trou ! Je suis meilleur en-dehors du gazon/green, dans la terre battue/boueuse/brown.
  • Mon histoire d’amour est dans de sales draps, il me faut une couverture.
  • Le meilleur remède à la douleur, c’est le plaisir.
  • Épouse délaissée et esseulée
  • Pisse-froid qui a chopé la chaude-pisse
  • Manche à balai dans le cul
  • Croqueuse d’amants
  • Copains coquins comme cochons qui partagent le pain, et leurs copines qui partagent la pine
  • Rouler ma bosse de l’amour dans tous les ports USB (Ultra Sexy Bimbos) et pourtours, méditerranéens et africains, mais de préférence caucasiens.
  • C’est toujours une bonne à prendre.
  • Je te présente Suzie et Lipo la polie, les suceuses ; moi je vais voir Annick la niqueuse, la croqueuse d’amant.
  • BB ( ?) Brune : « Brigitte Bardot … » ?, « Baby Blonde mais … » ??? Non, « BimBo » Brune !
  • Les femmes bouteilles de Perrier défilent aussi vite que les soifards cyprinards se les enfilent.
  • Je vais te la faire courte ! Perso, je préférerai longue !
  • T’as besoin d’un coup de main ? D’un coup oui, mais pas demain !
  • C’est parti mon kiki (pas riquiqui) pour le coup de rein !
  • gaudrioles ! Ne connaissant pas le sens de ce dernier mot, M. Mackey le définit comme des. Quand ses parents arrivent, M. Mackey disputait justement leur fils pour ses gaudrioles ! Le père ne comprend pas non plus ce terme, qui est un croisement du terme vieilli gaudir (« manifester sa joie ») et de cabriole : donc ce sont des propos licencieux, généralement avec une valeur érotique.
  • Toison d’or (enfin, avec l’âge, plutôt argentée), je n’étais pas comme Ulysse qui l’avait conquise, elle m’a été imposée
  • Nymphomane et l'hypersexualité est aussi appelée satyriasis (de satyres, créatures de la mythologie grecque, qui incarnent la force vitale de la nature).

Le concept d'hypersexualité remplace aujourd'hui les anciens concepts de nymphomanie et de satyriasisme. À ces anciens concepts était associé un trouble psychologique caractérisé par une obsession vis-à-vis du sexe entraînant une libido considérée comme trop active. Je suis un satyre sur tout ce qui bouge les oreilles et la queue (essentiellement de bunny girl, les filles de Playboy)

  • Je plaisante ! Moi pas, t’es un cocu faux-cul !!!
  • Sans mon beau body je serai nobody
  • Je n’ai « confiance » qu’en moi, mais c’est trop pour un seul homme ! C’est difficile d’avoir confiance en autrui quand on en manque pour soi
  • Faut aller au charbon, je descends à la cave
  • Avec tout ce (et tous ceux / toutes celles) qui tourne(nt) / traîne(nt), obligé je chope quelqu’un(e) / quelque chose
  • Il est libre/libertin Max, mais y en a quand même qui disent qu’ils l’ont vu convoler en juste noce
  • Chercher, c'est trouver en permanence, mais ne jamais se satisfaire de ce que l'on trouve
  • Bienvenue aux nouveaux venus
  • Ô César au braquemard dépoussiérant les toiles d’araignées, entretien le bois vivant.
  • Je suis venu, je l’ai vu, elle l’a eu dans le cul !
  • Ça m’est parvenu aux (et ça m’a échauffé les) oreilles par joui dire
  • J’ai pour principe de ne pas avoir de principes
  • Ce n’est pas moi qui me trompe, c’est lui qui me trompe
  • Je suis reparti la queue entre les jambes
  • Tu connais mon mari ? Oui, mieux et plus en profondeur que toi !
  • Je lui ai tout donné, encore et encore
  • J’en ai marre de ses sexcapades
  • Ça rentre ça sort, tes va-et-vient (et quand ça vient ça va) entre mes reins me font beaucoup de bien.
  • C’est bien la peine que tu sois dur en moi.
  • Je veux être réincarné en homard car même mort on lui suce la queue.
  • Je ne suis pas une personne mais une personnalité, voire un personnage.
  • On s’empilait comme on s’enfilait.
  • Ce soir c’est choucroute et saucisse à volonté.
  • On s’en paye une tranche ? Juste une rondelle alors ! On va s’en payer une bonne tranche, en sandwich !!!
  • C’est le carême, je n’ai pas le droit ! Le bâton de berger, du bon pasteur, y a pas d’heure pour en manger, à déguster avec de grandes ou petites rondelles.
  • Les femmes ont besoin de raisons pour faire l’amour, les hommes d’un endroit. Cette fois c’est l’inverse.
  • « Tu viens ?, elle est bonne ! » dit-il à son pote.
  • Le caprice de sauter comme des cabris à deux, un plaisir odieux ? Non, le plaisir des dieux
  • Ivan le divin, le terrible du divan.
  • Ça l’a pas fait avec Morgane, magicienne qui perfectionne son art sous la conduite de Merlin : Elle n’était pas enchanté, j’ai vite déchanté puis déjanté.
  • On est fidéle à ce que l'on a, tant que l'on a pas trouvé mieux!
  • turlupinades (référence à la secte des Turlupins dont les membres soutenaient qu’on ne doit avoir honte de rien de ce qui est naturel. Aux XIIIe et XIVe siècles, les Turlupins dansaient facétieusement et nus autour d’un chêne dans la forêt : le mot signifie aujourd’hui plaisanterie vulgaire, mauvais jeu de mots)
  • j’ai oublié de vivre et de jouir sans entrave
  • de nombreuses femmes qui aiment leur mari, n’imaginent pas pouvoir le tromper, mais s’offrent « une petite aventure ».
  • J’alimente son feu en lui mettant ma bûche dure comme du bois dans sa cheminée, elle est grande, il y a du tirage d’autant qu’elle est bien ramonée
  • Brouter le gazon jusqu’à la tonsure, lui défricher le jardin à la française (« Baiser à la Française » est une expression employée Outre-Atlantique pour évoquer le cunnilingus. Ils disent même 'to french' !)
  • cunnilingus (cunni, con, sexe de la femme, forme latine signifiant lapin ; lingus, langue) réchauffe le bouton gelé, clitoris, de l’amazone

Le bouton du clitoris (à l’instar de son équivalent le gland, tout deux corps spongieux ultrasensibles) étant très stimulé, diminue de taille pendant que le reste du clitoris (interne) se gonfle de sang puis le bouton devient plus proéminent qu’avant (important à noter car c’est l’inverse de chez les hommes où quand ça se ramollit c’est fini). Cette dernière pour le remercier de ses bienfaits, le gratifie de son nectar, la cyprine lubrifiant les va-et-vient sexuels.

solliciter l’aimable autorisation de cet autre sphincter gardien de l’intimité anale. Ce dernier délivrant un avis favorable, Moa prend la main d’Esperanta afin qu’elle guide et gère la pénétration du phallus dans le vase postérieur en fonction de son ressenti. Ainsi elle est rassurée car maîtresse de la progression de la chose.

  • Les hommes mûrissent (enfin) quand les femmes vieillissent (voire décrépissent) : heureusement le temps arrange les choses avec les jeunes et jolies chiantes.
  • Sarceman (un sarce est un sapeur pompier qui a éteint de nombreux feux à l’aide de sa grosse lance, sachant qu’une sarce est une jeune fille qui a le vice, profiteuse et manipulatrice, qui n'hésite pas à user de ses charmes pour parvenir à ses fins, bref qui a le feu au cul et ne met pas de string en aimante pour calmer ses flammes) se tape Marie Peau Pine et sa copine Élise à bites.
  • Je le dirige avec des rennes courts, sans lâcher la bride, le mors aux dents et avec des œillères, je le stimule à coup de cravache où je bats sa croupe, je le force aux éperons même si je monte à cru cette bête de selle qui ne manque pas de sel, assis sur lui tantôt à califourchon (les jambes écartées), tantôt en amazone (les deux jambes sur le même côté).
  • Hélène et les caleçons.
  • Ne reste que mon « honneur » (perdu) pour pleurer.
  • Happy hour de l’open slip bar : une heure qui dure toute la vie.
  • C’est le flip, je sens le flop, la fièvre du samedi (qui) foire.
  • Je suis venu d’abord par curiosité, puis par plaisir et maintenant par habitude.
  • Je te paye un coup ? … à boire cette fois !
  • C’est pas parce que je suis un chaud lapin qu’on doit me râper la carotte.
  • Il y a un vent à décorner les cocus. Cocu s’écrit d’ailleurs avec 2 c comme deux cornes.
  • Tout dépend ce qu’on met derrière ces maux.
  • Ça te dit un « petit » coup vite fait bien fait, en passant : un tir à blanc, un coup pour rien.
  • j'étais quand même bien morte Adèle

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