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  • Prostitution Ulla : Comment peut-on bafouer ainsi sa morale, son respect de soi ? Je n’avais pas le choix, j’étais aculée à me faire enculer. Les raisons du cœur ne peuvent survivre face à la misère.
  • Tu prends tous les risques et les coups/coûts, mais on en partage les bénéfices : c’est le contraire de la mafia (pizzo pour être protégé des autres malfrats) qui gère elle-même le risque avec la police et les guerres de gangs
  • Je suis fermée, porte close, rideau baissé : t’as qu’à te la mettre sur l’oreille et repasser me voir demain à la première heure.
  • Il m’a marquée, m’a tamponnée.
  • Désolé mon pote n’est pas là, tu ne vas t’en prendre qu’une, mais sans rancune.
  • Je n’ai plus envie que tu me « protèges », mais plutôt que tu me comprennes.
  • J’ai évolué comme une agnelle parmi les louves, mais aucune d’entre elles ne me dévorera jamais.
  • Un taf de con avec et pour des cons
  • De porc en porcs, des poches aux moches en Porsche.
  • Ce thon a les œufs qui sentent le maquereau comme les yeux qui sentent le cul
  • Je saute les intermédiaires, ces intérimaires du travail.
  • Oh tasspé, fais tourner !
  • Raout d’aréopages (assemblée, une réunion de gens compétents et choisis), soirée brise-glace
  • Chatte à grosse gouttière
  • La prostitution est un ticket payant pour une sexualité « ordinaire » en accéléré
  • On connaît le prix de tout, la valeur de rien
  • La pute fait tout, le proxénète fait le reste.
  • Je me rembourse sur la bête (de – grosses – sommes, toi)
  • Le conard barbotte dans sa mare à merde
  • Faut que l’autre pétasse (Prostituée débutante ou occasionnelle, femme facile ; avoir la pétasse «avoir peur») potasse
  • C’est moi qui bois à ta santé, c’est toi qui trinque
  • La reine humaine, bite box
  • Choix très judicieux, monsieur est connaisseur
  • Elle est foutrement bonne
  • Chère Ulla … Non, ma chair n’est pas chère !!!
  • Le plombier connaît bien le milieu à queue
  • Monter à l’ass haut au lasso
  • L’objet du désir/délire
  • Poule aux yeux d’or
  • Je vis un enfer sur terre ! Autant te laisser faire pour découvrir le paradis au 7è ciel
  • Les bas-résilles m’en tombent.
  • Elle passe ses nuits à gagner ses journées.
  • Tout a un prix : ce que tu encaisses et ce que tu payes, tôt ou tard.
  • Je carre mon bout oblong (plus long que large et arrondi aux deux extrémités) entre ses deux hémisphères.
  • Elle m’offre ses bonnets uniformes en bonne et due/dure forme.
  • Je presse fort ce citron acide contre mes fesses, quand vidé de son jus, je le jette à la poubelle.
  • Vive les cons (que) j’ai payés
  • Tiens t’as déjà pris ton coup du jour, sans moi ! On va régler ça ce soir, tu passeras dans mon bureau … enfin sous.
  • Ça commence à poindre, bientôt tu vas pondre.
  • Beh oui ma pute, la vie est une ture lutte.
  • Viens par ici que je prenne mon avance sur recette
  • Fournir les verges pour se faire battre
  • Elle est un bon coup pour ce coût
  • Tu me mets la pute à l’oreille
  • (Poker) : une paire d’ass en embuscade ; j’aurai bien aimé toucher une dame ou mieux un ass ; le petit ass qui change la donne ; à forcer de donner, elle a le poignet chaud
  • La police polisse les mœurs
  • Et ça c’est cadeau, pour le « petit » personnel, juste pour le plaisir d’offrir à jouir
  • Sex-machine : mets la capsule dedans, attends que ça chauffe et que la pression monte pour que ça te sorte une belle et bonne mousse.
  • Flipper tu mets la pièce dans la fente tu joues avec les mains, pute tu mets la pièce dans la main tu joues avec la fente.
  • Je suis bien introduite dans le milieu à queue.
  • La croupe est la meilleure coupe de champagne.
  • On faisait gentiment un strip-poker, mais tout le monde a fait exprès de perdre.
  • Coucher, pas bouger, coucouche panier, reste bien tranquille, sinon c’est la fessée.
  • Je me lève tôt pour gagner de la maille, mais j’ai du mal à m’endormir à cause de problèmes de maille.
  • Les putes apportent un peu de douceur dans ce monde de brutes
  • Vieux tout puissants
  • Quidam le pion dans ton fion (S’employait dans les monitoires, procès-verbaux, informations, etc., pour désigner les personnes dont on ignorait ou dont on n’exprimait pas le nom)
  • bouge pas, reste là, bien gentiment, bien tranquillement
  • branle-bas de combat
  • Lors d’une surprise, partie-fine (partie de plaisir en galante compagnie : petite débauche, baise à plusieurs), tu m’as surprise par tes parties fines et tes jambes en l’air ; puis tu es partie, j’avais pas l’air fin. Ça, tu me le payeras, sans fin !
  • C’est beau une paire de dames ! Mouais, une de cœur, une qui pique.
  • Laisse faire l’expert avec cette croupière à la croupe de fer d’enfer.
  • Une petite paire tienne vaut mieux qu’une grosse tu l’auras
  • Notre lolo quotidien
  • Touze en scène
  • Soubrette en levrette : serveuse déguisée en uniforme du XIXè siècle, avec un bonnet de dentelle, un petit tablier, des longues socquettes blanches, parfois des oreilles de chat : Geisha soumise, esclave qui s’incline devant le client en l’appelant « Goshinjin-sama » (« maître-vénéré », le mot ancien au japon pour désigner son mari), qui vous donne la becquée : portant la fourchette à sa bouche, elle le nourrit, sourire timide et mimique obéissante incluse : on devient le héros d’un petit théâtre dominant-dominée, un simulacre  pour se débarrasser de la domination réelle que l’on subit au quotidien
  • Pourvu que cette soubrette soit bonne dans sa chambre de bonne
  • On se met tous en rond, en rang d’oignon, en fil indienne, pour jouer au trou du cul.
  • Allé, galope Pénélope, sacré salope (de sale et de hoppe, forme dialéctique de huppe – cet oiseau ayant la réputation d'être très sale comme dans le proverbe lorrain « sale comme une hoppe ») galopine (jeune malicieuse qui court les rues) !
  • Cette vieille ganache (personne incapable et bornée) pleine de panache se laissait aller aux paillardises (penchant prononcé pour les plaisirs de la chair, le paillard étant proprement le gueux couchant sur la paille) avec des bardaches (jeunes garçons dont les gens de mœurs levantines – notamment les puissants ottomans – abusent : mignon, giton, personnage d'allures efféminées ; de l’arabe bardag « jeune esclave » puis sens de « jeune garçon, fillette », sans valeur péjorative) ou autres minauderies (se minauder « se moquer » : se dit des femmes et veut dire faire l'agréable, faire de petites mines pour avoir quelque air charmant) avec des garces (compagne hors mariage, féminin de gars).
  • Pouvoir et dépravation vont toujours de pair (de couilles)
  • Ce malotru (né sous une mauvaise étoile) m’a fait mal au trou, à l’étoile de mer.
  • Gros melons et bottes de cuir
  • Lâche la cochonne sale cochon !
  • C’est elle qui trime et prend, mais moi qui encaisse
  • En prendre plein le cul pour pas un rond
  • La poule à mes œufs d’or
  • Se faire porter pâle après s’être faite empaler (Le pal, pieu en bois servant à l'exécution de ce supplice, était enfoncé dans le fondement, anus ou vagin).
  • Confrontée aux dures lois du refus de la différence et du qu’en-dira-t-on
  • Tout est affaire de coquinage dans ce milieu
  • avec les putes on risque de manger des escalopes (de salope) aux champignons, la dame au chlamydia
  • passer du trottoir au boudoir (petit salon orné avec élégance, à l'usage particulier des dames, et dans lequel elles se retirent, lorsqu'elles veulent être seules ou s'entretenir avec des personnes intimes).
  • Aller au turbin du tapin (·  (Désuet) Celui qui bat le tambour.
  • (Par extension) Racolage sur la voie publique.
    • Faudra me passer sur le corps ! C’est bien prévu comme ça !!!
    • ·      Je te prends, je te retourne, je te casse en deux
    • Ils ne faisaient pas grèves dans leurs sévices publics
    • Maître d’hôtel et Maître Queux (chefs de cuisine ; (mettre queue))

Le mot queux vient du latin cognus, de coquere, cuire. Chez les citoyens romains, un cuisinier était appelé un queux. Plus tard, l’officier qui commandait à tous les officiers de la cuisine et de la table fut nommé “Grand Queux de France”. 
Plus près de nous, il devint “Officier/Chef de bouche”

  • Je vais t’introduire dans le milieu interlope (frauduleux) des nyctalopes (faculté de pouvoir voir dans la pénombre. Étymologiquement, le terme désigne en fait l'incapacité contraire, c'est-à-dire la cécité nocturne (en anglais, par contre, nyctalopia signifie, comme dans l'antiquité, mauvaise vision nocturne)
  • Les termes « salle de jeu » ou « boîte à ouvrage » sont employés pour nommer le sexe de la femme, lieu des réjouissances.
  • Poker : je me couche ! moi je vais sur le tapis ! As des ass Vs belle paire ! Ah, je la sentais venir
  • le croupier lui mange le croupion
  • j’ai joué (à pile ou poil) et joui avec elle
  • jeu de dames (le roi des jeux) : But du jeu : Capturer ou immobiliser les pièces de son adversaire.
  • Lorsqu'une case voisine sur la diagonale est occupée par un pion du joueur adverse, et qu'il y a une case libre derrière, ce pion peut être sauté. Il est ainsi pris
  • Une prise peut s'effectuer vers l'avant ou vers l'arrière.
  • La règle « souffler n'est pas jouer » a été abolie en 1911: quand vous pouvez prendre, vous devez prendre, quelles que soient les conséquences. S'il y a plusieurs façons d'effectuer une ou plusieurs prises, la règle de la quantité doit être appliquée : il faut effectuer le maximum de prises possible.
  • Il est d’usage de superposer deux pions pour représenter une dame. prise multiple
  • piège dit « coup turc », permettant de prendre la dame adverse.
  • Le joueur a perdu la partie lorsqu'il ne lui reste plus aucune pièce en jeu, ou bien si c'est à lui de jouer et que toutes ses pièces sont bloquées, c'est-à-dire dans l'impossibilité de prendre ou de se déplacer.
  • Un tiret « - » représente un déplacement simple et une croix « x » représente une prise. Comme aux échecs, on peut annoter un bon coup d'un point d'exclamation et un mauvais d'un point d'interrogation.
  • Souffler, forcer, laisser faire
  • Un ass tien vaut mieux que deux neuf (/meufs), une bonne paire à piocher (/bêcher), tu auras. Je défosse (/défonce) ma Dame (qui pique), j’ai perdu de toute façon face à un brelan de bites. Moi je n’avais qu’une petite paire. Mais non, elle est plus grosse, c’est elle qui gagne et emporte le pot aux roses. Moi j’étais trop impatient de toucher ma paire, je me suis couché trop tôt du coup croyant qu’elle n’arriverait jamais mais comme d’hab la paire n’est jamais là où/quand on l’attend et toujours là quand on ne l’attend pas/plus. C’est la prime à l’agressivité : face à son jeu d’intimidation, je me suis couché, j’abandonne mon sort à cette bonne donne.
  • Tu peux te la mettre derrière l’oreille, ton cigare tu le fumeras plus tard !
  • Elle prend mon cigare, le roule sous les aisselles, le lèche puis l’allume. Elle ne crapote pas avec une capote, elle me fume en avalant la fumée.
  • Sa bite me reste en travers de la gorge
  • Les termes sadisme et masochisme ont pour origine les noms de deux écrivains du 19ème siècle : l'écrivain français, Donatien Alphonse François de Sade mieux connu sous le nom de marquis de Sade et l'écrivain autrichien Leopold von Sacher-Masoch.
     Kraff-Ebing , médecin qui a décrit les sexualités atypiques au 19ème siècle, a utilisé le nom de ces deux auteurs pour nommer ces particularités de jouissances sexuelles. Ils se sont tous les deux faits remarquer par leurs romans qui reprenaient leurs goûts sexuels particuliers : pour l'un le goût d'infliger de la douleur, de dominer l'autre ; pour l'autre le goût d'être battu, soumis.
  • Le sadomasochisme est interdit pas la loi.
     Toutes pratiques sexuelles entre adultes consentants se déroulant dans des lieux privés, ne relève d'aucune loi, du moins en France. La législation n'intervient pas dans la sexualité privée entre adultes.

    Question n°3 : Dans les scénarios sadomasochistes les hommes sont toujours les dominants, les femmes les soumises.
     Les enquêtes récentes sur ce sujet indiquent que les dominants peuvent être homme ou femme contrairement à ce qui fut décrit de ses sexualités atypiques à la fin du 19ème siècle. A cette époque, on pensait que les hommes étaient plus enclin à aimer infliger de la douleur (sadisme) et les femmes à la subir (masochisme).

    Question n°4 : Les pratiquants du SM peuvent changer de rôle, parfois ils sont celui qui domine parfois celui qui est soumis.
     Des enquêtes menées dans les clubs de sadomasochistes Outre-Atlantique ont montré que 50% des répondeurs aux questionnaires avaient joué les deux rôles : sadique et masochiste.

    Question n°5 : Un Donjon est un lieu où sont enfermés des hommes.
     On appelle donjon le lieu où se déroulent les rituels sadomasochistes.

 

Toute personne qui a des fantasmes de viol pourrait prendre du plaisir dans des pratiques sadomasochistes.
 Du fantasme sexuel à la réalité, il y a un grand pas. Même si vous avez plaisir à évoquer certains fantasmes, rien de moins sûr que leur réalisation vous apporte de la jouissance. Le fantasme est en lien avec des éléments profonds et cachés de vous même. Si la réalisation de fantasmes vous paraît incongrue et sans intérêt, rien d'étonnant ; ce qui est caché, souhaite rester hors de portée.

Question n°9 : 12 % des français ont des pratiques sexuelles SM.
 Moins de 5 % des français se prêtent à ces jeux érotiques.

Question n°10 : On trouve à Paris 20 donjons.
 Il existe deux donjons à Paris, lieux mythiques où se retrouvent hommes et femmes pour se livrer à leurs plaisirs SM. Les soirées SM ont le plus souvent lieux dans des appartements privés.


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Commentaires

deux donjons à Paris ? je vais voir mes contacts car il me semble qu'il y en ait trois...
intéressant votre sujet sur le sado-maso mais bien sur le sujet est vaste et il mériterait un bouquin a lui tout seul.
ce que je peux dire c'est qu'il y a un très grand nombre d'homme soumis et qui recherche des dominatrices (expérience de tchat et autres expériences)
d'ailleurs dans le milieu homo ça manque aussi de dominateurs.
autre chose, il est très fréquent de passer dominateur et ensuite soumis, l'inverse moins (à moins d'avoir eu un très mauvais maitre, on passe de l'autre côté alors mais on ne devient pas bon maitre pour autant).
bon boulot en tous cas,
vive les 12 primates
commentaire n° :1 posté par : Laportebleue le: 31/08/2009 à 20h13
 
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