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Bouquin Coquin & Taquin ...

Chers téléspectatrices et vidéomateurs, bienvenue dans le documentaire « Immersion Totale : Qui veut la peau du sexe ? ». Nous allons pénétrer ensemble les milieux les plus tabous et pourtant si présents, quoique cachés pour ceux qui ne savent ou ne veulent pas les voir. L’objectif est de décrire, sans juger, le mode de fonctionnement des humains en général, et d’une catin et d’un libertin en particulier (ces esclaves – plus ou moins consentants ou manipulés par leurs hormones – sexuels car sexués), afin d’aborder franchement et sans détour les questions et interprétations des fondamentaux de la vie, à savoir la sexualité, la reproduction, les couples infernaux de l’Amour et de la haine, du plaisir sensuel et de la douleur du manque ou du trop-plein, tout ceci étant le rectal-versal de la même médaille !

 

Comme je vous le disais, nous allons suivre, en Immersion Totale comme le nom l’indique, deux individus, "représentants" de la gente féminine et masculine et personnes symptomatiques de tous les temps mais aussi de notre société occidentale qui se perd à tenter de se trouver sans s’accepter avec ses travers (plus ou moins de porcs). Habillés de vêtements d’invisibilité, nous les filmerons dans leurs activités (à ce propos, la sensibilité des plus jeunes ou des plus prudes risquerait d’être perturbée par certaines scènes : nous vous avertirons par une montée en puissance de symboles en bas de votre écran indiquant le côté froid, tiède, chaud ou bouillant des images ou des dialogues) puis nous les laisserons s’exprimer librement. Nous n’interviendrons que très ponctuellement afin de préciser ou d’orienter les interrogations : en effet nous privilégions l’aspect "divan" (dans lequel vous êtes sûrement à l’heure actuelle affalés) et vivant des commentaires à chaud.

 

Commençons par le commencement en introduisant le sujet : nous allons aborder le premier épisode pour connaître un peu nos deux compères à l’heure où les choses du sexe se révèlent à eux, avant de les suivre pas à pas dans leurs (més)aventures d’une heure, d’une nuit, d’une vie.

Sur ce, nous vous laissons pour 52 mn en Immersion Totale afin de savoir « Qui veut la peau du sexe ? ». Bon film, tchi-tcha !


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  • Alors Virginie, maintenant que tu as quinze ans, dis-nous tout de ta vie sentimentale.
  • Virginie : « Ouah, il y a tant à en dire ! Disons que je suis pas mal courtisée avec mon 90C et que je suis plutôt bonne … en cours ! Bref, un certain nombre de garçons me considèrent comme la star du collège, comme un canon, idéal de beauté, mais ça c’est eux qui le disent ! »
  • Et, comment le prends-tu ? Qu’est-ce que tu ressens avec cette abondance de propositions, plus ou moins indécentes j’imagine ?
  • V : « En fait, j’ai déjà embrassé quelques garçons : à force de sollicitations j’ai cédé et ça m’a de suite séduite ! Les garçons sont tellement attentionnés envers moi, même si je ne suis pas dupe de leurs arrière-pensées et que ça me met en porte-à-faux avec les autres filles ! Mais tant pis pour ces jalouses, moi j’en profite ! Enfin … je sélectionne, je ne pars pas à la chasse au bon homme puisque ce sont eux qui viennent à moi, et je fixe les limites qui me conviennent ! »
  • Les garçons proposent et toi tu disposes ! Et ? À quand le grand saut ?
  • V : « Quand je sentirai que c’est le bon moment et la bonne personne ! Je veux que nous soyons tous les deux vraiment amoureux pour que ma première fois se passe au mieux ! Je ne suis pas pressée, et ce n’est pas les courtisans qui manquent, mais je ne veux pas me donner au premier venu, qui ensuite ira crier sur les toits qu’il m’a accrochée à son tableau de chasse ! J’ai une réputation à tenir et je ne laisserai personne la ternir !!! »
  • Bon casting alors, on va continuer à te suivre discrètement.

 

 

Étant donné que ses parents sont forts occupés durant l’été avec la gestion des vendanges à venir, Virginie est envoyée les deux premières semaines de vacances en séjour linguistique en Angleterre. Pour autant, pas question pour elle, au-delà des cours de langues et spécialement du french-kiss, de crier « À nous les petits anglais ! », elle les bouterait hors de sa frange ! De retour au pays, ses parents veulent qu’elle apprenne la valeur du travail et elle se cassera donc le dos avec les autres ouvriers agricoles. Même si certains saisonniers lui tournent autour, ils se ravisent vite quand ils apprennent qu’elle est la fille de ses parents, les patrons ! De toute façon, ils ne sont que de passage, donc ils ne passeront pas sur elle ! Par contre, sortant le soir dans le village ou la ville voisine pour oublier les corvées de la journée, elle rencontre bon nombre de connaissances plus ou moins proches et d’autres personnes qu’on lui présente, certifiées "bien sous tous rapports". Elle n’a plus qu’à "analyser" les satellites qui gravitent autour d’elle afin de séparer le bon grain de l’ivraie (ainsi que de l’ivrogne) et détecter celui qui est assez sérieux à ses yeux pour éventuellement jouer aux jeux amoureux.

 

À passer tout l’été à danser et chanter, Virginie a pas mal enlacé et emballez, mais elle garde toujours à l’esprit un jeune homme calme et discret, portant fière allure et qui n’a jamais tenté de jouer des coudes pour se faire mousser auprès d’elle. Il est sympa, attentionné, la fait rire, mais elle sent bien que tout ceci n’a rien de stratégique au contraire des autres garçons ; il est le bon copain, voire plus si affinité … qu’il ne recherche pas à tout prix.

Deux semaines avant la rentrée au lycée, elle a gardé le meilleur pour la fin des vacances ! Comme concernant le pouvoir, elle décide de donner sa chance à celui qui ne la recherche pas !!!

Quelque peu lassée de toujours traîner avec des petits jeunes boutonneux, Virginie propose à Paul d’aller s’éclater dans une boîte de nuit branchée de Bordeaux. Tout étonné que ce joli petit lot s’intéresse à sa personne discrète alors que tant de monde lui tourne autour, il lui sort le grand jeu en la conduisant dans le carrosse Merco de ses parents. Sur le dance-floor, montée sur les estrades, Virginie est vite entourée de beaux gosses frimeurs à la Aldo Maccione (mais pas classe du tout !). Paul est déçu, mais déçu, … terriblement déçu ! Il s’avoue enfin que tout ceci est bien normal, comment aurait-il pu imaginer une seconde qu’une si belle fille pouvait s’intéresser à un gars comme lui ?! Il se résout alors à admettre que Virginie l’a sollicité uniquement car lui avait le permis et une voiture. De fait, quand Virginie lui tend la main pour monter sur le podium et se trémousser avec elle, il décline, poliment mais quand même, l’invitation. Les serial-"lovers", guettant toujours qui est avec qui histoire de ne pas perdre leur temps, jettent un regard condescendant sur ce gars taillé dans une biscotte et pas franchement top tendance. Alors que l’un d’eux propose à Virginie un verre, elle ne le calcule même pas et descend de son piédestal pour rejoindre Paul à son niveau. Fondamentalement, ce qu’elle adore chez lui c’est qu’il se comporte avec elle comme avec n’importe qui, qu’il lui résiste et ne cède pas à la moindre de ses volontés juste pour bien se faire voir et monter dans son estime : fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis !!! Quand arrivent les slows où on se love, un énième clubber tente sa chance avec elle, mais Virginie se jette dans les bras du timide venu (avec elle, et non à elle). Tournoyant sur une chanson prédestinée qui a tant permis d’emballer en boom, Virginie intercepte le regard fuyant (car ne sachant pas sur quel pied danser) de Paul, lui fait les yeux doux. Au moment du refrain, elle lui fait du charme de l’œil et répète le nom de la chanson : « Nothing else matters » (rien d’autre n’a d’importance), et embrasse délicatement mais tendrement (pour ne pas troubler Paul encore plus qu’il ne l’est déjà) son charmant cavalier. Toutefois, même s’ils se connaissent depuis quelques temps déjà et qu’elle a fait le premier pas, Virginie n’est pas du genre à coucher le premier soir, mais plutôt le premier mois. Certes ils se peloteront avec effervescence dans la bagnole mais ils en resteront là : même si Paul paraît être un mec bien, Virginie préfère voir si les lendemains chantent et laisse venir ; adviendra ce que
pourra / voudra !

 

Justement, un mois plus tard, Paul et Virginie ont passé le reste des vacances ensemble à fricoter et se tripoter, puis se sont retrouvés dans le même lycée privé, elle en seconde et lui en terminale. Après avoir passé pas mal de soirées en privée ou avec des potes, Virginie est sûre que Paul est un gars bien puisqu’il n’étale rien à ses copains et ne se vante même pas : ça y est, Paul obtient son b.a.t. (bon à tirer), tout vient à point pour qui sait attendre ! Il avait déjà essayé de passer à la vitesse supérieure, mais voyant que miss n’était pas plus chaude que ça, il avait tout de suite respecté son choix et ainsi calmé ses ardeurs et cessé ses gestes "déplacés" (du moins à ces moments-là). À présent, la donne est toute autre, Virginie est prête à le faire, parce qu’il le vaut bien !

Comme à l’accoutumée, Paul attend Virginie dans sa voiture, stationné derrière le portail du château familial. Ayant déjà été intrigué les semaines passées par ce manège, monsieur père sort et aperçoit le carrosse. Il explique à son conducteur que Virginie n’est pas encore prête et lui propose de l’attendre dans leur salon. Les parents s’entretiennent alors avec ce jeune homme, plutôt bon chic bon genre, quand miss descend les escaliers dans une belle robe façon bal des débutantes. À présent que les présentations officielles ont été faites, les deux tourtereaux partent en soirée. Toutefois, étant donné que les cours ont repris, Virginie n’a plus dorénavant que la permission de minuit. Ils vont ainsi dans un bar branché, déguster un cocktail et danser. Après une heure seulement, chauffée à blanc, Virginie demande à Paul d’aller voir ailleurs comment cela se passe. Étonné, Paul se voit rassuré par un petit clin d’œil qui fleure bon la surprise "inattendue" mais tant espérée ! Et en effet, Virginie indique à Paul un petit coin tranquille, le belvédère fétiche des amoureux de la région, d’où la vue est sublime et l’atmosphère propice.

Avec notre équipement d’invisibilité, approchons-nous pour entendre ce qu’ils disent et utilisons notre analyseur de pensées pour connaître leur voix intérieure.

 

 

  • Virginie [après de longues minutes de baisers ininterrompus] : Excuse-moi de te demander cela, mais … tu l’as déjà fait ?
  • Paul : Hum, à dire vrai … pas tout à fait, je ne suis jamais allé jusque-là ! Mais avec toi ce n’est pas pareil, je me sens beaucoup plus à l’aise pour franchir le pas {depuis le temps que je me dis qu’à l’occasion je ferais bien reluire la carrosserie de cette pouliche en lui mettant un coup de polish}. Et … et toi ???
  • V : Idem, tout pareil !!! On va y aller en douceur si tu le veux bien. Par contre, pour ne pas tâcher les sièges de la voiture de tes parents, je te conseille de mettre une serviette pour … enfin tu vois ce que je veux dire !
  • P : Je vois oui ! {Bon, maintenant passons aux choses sérieuses, voyons voir ce qu’il y a sous le capot ! Montre-moi ces airbags que je saurais voir !!! Je déboutonne un peu et … ouah, ça c’est du décolleté généreux, elle est monté en 20 pouces ! Je vais basculer son siège passager, ce sera plus facile.}
  • V : {Le lion est lâché et sort ses griffes, il va rugir de plaisir, trop tard pour revenir en arrière. Fichtre, soit je me trompe de cible, soit il a un sacré levier de vitesse ! Ce n’est pas tout ça, mais faisons prendre l’air au piston ! Effectivement, il est plutôt bien équipé avec son démonte-pneu !!! Son arbre à came m’enflamme !!! Hum, pendant qu’il inspecte ma chambre de combustion à tâtons, je vais le tournevisser, au moins chacun aura expertisé le véhicule du septième ciel de l’autre !!! Ah, il passe déjà la seconde ! Bon, je vais enfin voir ce que cela fait que de monter dans les tours !!! Oups, il a du mal à enfiler sa capote : prend ton temps mon grand mais dure pas trop longtemps !!!}
  • P : {Voilà, on est à l’abri, la berline des pines est capotée ! Faisons rugir de plaisir ce joli bolide, cette belle sportive racée ! Par contre je ne sais pas si ça rentre, ça paraît étroit pour garer ma titine dans son garage ! Ah beh si ! Hum, comme c’est bon cette chaleur moteur !!! Mais ce n’est pas franchement pratique comme popole position, essayons plutôt sur la banquette arrière ! Je ne sais quoi faire : comme le mélange est le feu orange envers l’autre, j’y vais ou pas, j’accélère ou je freine en attendant le prochain tour de cire quiqui ? Je ne peux plus reculer, faut que j’accélère pour aller plus vite de l’avant dedans !}
  • V : {Aïe ! On ne peut pas dire qu’il fasse dans la mécanique de précision !!! À force de rester en seconde à haut régime, s’il continue comme ça le rupteur va … Et beh voilà, le moteur a déjà rendu l’âme ! C’est sûr qu’il n’est pas dragueur, mais là c’est carrément un dragster ! Forcément, il est parti si vite que, par manque de lubrification, il a coulé une bielle en chauffant puis fondant ! Mon moteur est neuf et ce Fangio l’a tellement poussé à fond dans les trente premières secondes que ça a fait un serrage à froid ! Comme le moteur tournait trop vite, trop rapidement, la chaleur a fait dilater son segment qui a grandi en diamètre et a raclé trop fort la chemise. Mon huile lubrifiante n’a pas eu le temps de revenir et, après quelques instants, le piston et la chemise se sont touchés assez fortement. Tout ça a fait grandir la partie où s’est produit le frottement et le côté opposé du piston a subi une telle pression que le serrage a eu lieu. Ça a bloqué immédiatement le segment au fond de la gorge et ça a provoqué la perte de compression du moteur. Le piston s’est bloqué brutalement dans la chemise, ce qui a provoqué l’arrêt instantané du moteur. Pfff, c’est parti sur les chapeaux de roue, ça a fini sur la jante !!! Pour une première fois, je ne pensais pas que ça ferait aussi mal, heureusement que ça n’a pas duré trop longtemps !!! Allez, un peu de tendresse après cette course de brute, mes caresses l’aideront à apaiser tous ses voyants au rouge !}
  • P : Ouah ! J’espère que, comme moi, tu as apprécié ce voyage vers le septième ciel ! {même si j’ai tellement flashé sur elle que j’ai confondu vitesse et précipitation dans l’éjaculation}
  • V : Oh oui mon chéri, c’était très bien ! {Tu parles, j’ai plutôt l’impression qu’on s’est arrêté à mi-parcours ! À force de trop sous-virer, sa direction ne répondait plus et il est allé droit dans le mur ! Pourtant, je suis sûre qu’avec un peu de technique et surtout en dosant mieux, il serait capable de bien braquer et de réaccélérer plus facilement en sortie de virage ! Le temps de recharger les batteries pour remettre le compteur à zéro la pause s’impose ! Mais avant qu’il ne me ramène chez moi, je veux reprendre la route, mais cette fois ce sera moi qui conduirai, histoire de vraiment voir ce qu’il a dans le (bas) ventre, en y allant progressivement, étape par étape !}.
  • P [après un break câlin d’une demi-heure, une heure avant la fin de la permission de sortie de Virginie] : Ah, te revoilà d’attaque pour repartir sur les chapeaux de roue ! Ça me fait plaisir {que tu redemandes le plein de super, sans plomb dans l’aile !}
  • V : Normal, mon conducteur d’élite ! {C’est vrai qu’il assure dans les petits virages, mais il est toujours le pied au plancher. Cette fois, sous ma conduite, on va prendre le chemin des écoliers, finie l’autoroute à fond à fond ! Déjà, je vais assurer un bon préchauffage du diesel en le faisant monter gentiment dans les tours puis redescendre à bas régime ! Un bon coulissage du piston du prépuce sur son gros cylindre, une bonne lubrification, voilà un bon rodage !!!}
  • P : {Hum, j’adore quand elle prend le levier ! Pour une nouvelle sur le circuit, elle masterise les essais qualificatifs ! Ah, c’est l’heure du grand prix, elle me place sur la grille de départ !}
  • V : {Cette fois je vais mieux régler son ralenti, à l’aiser sa méga nique et bien dégripper sa durite en lustrant correctement sa bougie ! Ok, ça c’est fait ! Bon allez, je copilote, cette fois emboutis-moi le pare-choc !!! D’abord je le fais sortir des stands de maintenance en étageant les rapports jusqu’à de hauts tours-minute puis on enchaîne une grande ligne droite, à fond de 6è ! Je lui prends l’arrière-train, le fait ralentir et rétrograder, un petit virage et on accélère en sortie de courbe ! On reste en 5è, une chicane arrive. Un coup à gauche, ensuite je le fais braquer à droite et c’est reparti pour un tour ! Voilà, il gère la course, j’ai mon moteur turbo qui est au taquet, il ronronne et hurle plein gaz ! Un petit arrêt au stand baisers mouillés, ravitaillement en souffle. Un début d’accélération et maintenant je lui fais faire une sortie de (bi)route je tenterais bien un tête-à-queue, mais je pense que ce serait trop pour lui : lui appuyer sur le frein ferait trop vite sortir le liquide par pompage mais note pour la prochaine course ! Hum, comme c’est bon quand il revient sur la piste et qu’il rentre dans le tunnel !!!}
  • P : {Ouah, c’est terrible quand elle crisse comme ça ! Ah, je sens le drapeau blanc, c’est le dernier tour avant l’arrivée ! Depuis le temps que je tourne, je vais donner un dernier coup de boost ! Mon pistolet envoie l’essence dans son réservoir, cette fois je l’ai vraiment fait vrombir de plaisir !!!}
  • V : {Argh, comme c’est bon, sacré empire des sens !!! Cette fois il s’est vraiment dépassé ! Enfin le drapeau à damier, j’ai cru que j’allais exploser ! Sur ce coup-là, il a bien maîtrisé le champignon en faisant une sorties de couple couplés !!! Sa conduite était plus spectaculaire (glissades, dérives, contre-braquages) en faisant tourner l’arrière de son engin plus vite que l’avant ! En maîtrisant comme un pilote averti le survirage, sa bête de course a bien glissé et son temps au tour était nickel : son moteur a un peu perdu des tours et de la puissance en accélération mais finalement c’est ça qui était bon !!! Par contre, pour pas qu’il ne s’enflamme de trop, va falloir que je lève la prise de pied pour pas qu’il s’habitue et devienne accro à mon flash !!!} Félicitations mon champion, tu mérites tous les lauriers et le champagne !
  • P : Merci à toi, tu es une sacrée préparatrice !!! {Tu m’étonnes Paul vu comme j’ai pris mon pied, à coups lisses en coulisse ! Par contre, la prochaine fois, j’aimerais bien prendre les chemins de traverse, boueux, histoire de sortir hors des sentiers battus !}

 

 

  • Alors Virginie, comment s’est passée cette première fois ?
  • V : « Honnêtement, je ne pensais pas que ça ferait aussi mal, mais il faut dire que Paul est parti au quart de tour, comme un bolide ! Heureusement, la seconde fois, j’ai suivi mon instinct et on a réussi à trouver le bon rythme ! »
  • Quelles sont tes premières impressions sur "la chose" ?
  • V : « Passées les douleurs de la première pénétration et de la perforation de l’hymen, j’ai senti une grande vague de chaleur et de bonheur envahir tout mon corps ! J’en avais des frissons, mais qu’est-ce que c’était bon !!! En plus, ce n’était que mes deux premières fois, donc je pense que ce sera encore meilleur avec de l’expérience. Je suis ravie de l’avoir fait, avec lui, aujourd’hui ! »
  • Que comptes-tu faire à présent ?
  • V : « Recommencer d’ici peu de temps ! J’en parlerai à certaines copines qui l’ont déjà fait ou qui ont des grandes sœurs, histoire de s’échanger de bons tuyaux ! Sinon, ma curiosité et mon intérêt étant fortement éveillés, j’irai voir sur le net des positions et des conseils d’adultes. J’ai hâte de "remettre le couvert" – si vous me passez l’expression – car je sais qu’on va aller avec Paul de découvertes en découvertes ! » 

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  • Alors Faudel, maintenant que tu as seize ans, dis-nous tout de ta vie sentimentale.
  • Faudel : « Beh, y a pas grand-chose à en dire : les filles ne m’intéressent pas plus que ça, je préfère m’amuser avec mes potes ! Faut dire que des filles y en a assez (et même trop) chez moi à la maison, et elles sont vachement chiantes ! Par contre, c’est vrai que mes potos commencent à me mettre la pression, se moquant de moi parce qu’ils m’ont jamais vu avec une fille ! »
  • Et, comment le prends-tu ? Qu’est-ce que tu ressens avec cette pression du groupe ?
  • F : « En fait, j’ai déjà embrassé une fille, juste comme ça pour voir ce que ça donne, mais ça m’a fait ni chaud ni froid, surtout que je l’ai à moitié embrassé sur le nez ! Mais maintenant qu’on me tanne avec ces histoires de bistouquettes, je crois bien que je suis obligé d’y passer, j’ai plus trop le choix ! »
  • Tu le vis uniquement comme un rite initiatique, un passage obligé pour devenir un grand grâce à son gland ?
  • F : « Non, quand même pas : c’est sûr que je suis pas pressé de faire péter une petite fourrure, mais je suis quand même assez curieux de savoir ce que ça donne ! D’ailleurs, grand masturbateur devant l’Éternel et depuis longtemps ami fidèle de Madame Cinq (doigts), j’ai quand même déjà joué à touche-pipi, mister quiqui [1] se prenant pour un docteur de la foufoune, même si c’était plus par curiosité que par réel intérêt ! Pour faire mon éducation j’ai fait feu de tout bois [2], mais quand je l’ai vue à poil je me suis demandé pourquoi on faisait tant d’histoire pour si peu de choses attrayantes. De toute façon la fille, plus grande, m’avait bien dit : « On joue au docteur, mais on ne jouit pas : tu es ton personnage, mais tu ne rentres pas dans mon personnage ! ». Par la suite, je me suis fait des prévisuels en m’abreuvant de films de boules : avec un peu de doigté, ça a pas l’air super compliqué ! J’ai la théorie, y a plus qu’à avec la pratique !!! À présent, comme il faudra de toute façon tôt ou tard y passer, autant le faire maintenant, et c’est pour ça que je vais profiter des vacances de Pâques, loin de ma cité, pour tenter l’expérience : au moins, si ça se passe mal, personne ne le saura par chez moi et j’aurai pas la tehon, je pourrais toujours pipoter un truc ! »
  • Bonnes vacances alors, on va continuer à te suivre discrètement.

 

 

En vacances de Pâques dans la campagne du Tarn-et-Garonne avec ses parents, Faudel veut tenter son premier coup d’essai loin de chez lui, on ne sait jamais et le poids de la réputation peut vite devenir pesant pour un lycéen fraîchement émoulu et déniaisé [3]. Toujours est-il qu’il joue à la pétanque avec les jeunes de Montauban (dont des montalbaises, euh montalbanaises pardon), tourne au jaune comme tout le monde (mais en toute discrétion), écume les fêtes de village en compagnie de ses compères et commères festivaliers. Justement, les informations sur ce bon p’tit gars rebeu de banlieue mais sympa circulent vite, d’autant plus qu’il squatte tout groupe de djeuns où il se sent à l’aise afin de rencontrer un maximum de personnes et pouvoir choisir en toute connaissance celle avec qui il se sentira suffisamment en confiance pour jouer au laboureur des champs virginaux.

 

Voyant la fin des vacances arriver, Faudel décide d’aller prendre l’air en se promenant avec son Dax dans l’arrière-pays, histoire de se mettre au vert après tellement de jaunes et de rouges. Roulant au milieu des champs de tabac, il sent bien qu’il pourra se la mettre sur l’oreille et la fumer dans un sacré bout de temps. Mais que se pastis ? Touf-touf, la bécane commence à faire des siennes ! Avec ce cadran qui déconne, il a mal jaugé sa réserve d’essence. Le voilà en panne sèche au beau milieu de nulle part. « Quand rien ne va, c’est la merde, c’est la merde, que voulez-vous, pfff !!! »

Faudel entend bien des tracteurs travailler au loin mais le bruit est ténu donc ils sont effectivement hors de portée de marche et Faudel ne veut pas laisser son Dax sans surveillance. Évidemment le portable ne passe pas et de toute façon, d’une ses parents ne viendraient pas le chercher, ça lui fera les pieds, c’est comme ça qu’on apprend à faire attention, et de deux lui-même ne saurait indiquer où il se trouve.

Après une heure passée à se déshydrater au soleil, voilà qu’arrive une princesse charmante, montant en amazone un fier destrier blanc.

Jamais avare de regards mâles placés, Faudel s’aperçoit vite que cette belle des champs est intégralement nue sous sa robe bleue à boutons. Non pas qu’elle soit spécialement frivole ou légère, mais tout bonnement parce qu’à la campagne on aime bien être en contact avec la Nature, les éléments, et se sentir Libre, sans contraintes autres que celles que l’environnement impose. Et là justement, de par les premières chaleurs printanières, Annabelle sent que certains textiles sont de trop.

Motivés par les ardeurs de ce printemps ensoleillé, nos deux inconnus s’apprivoisant sont comme la végétation environnante : les fleurs bourgeonnent et les arbres ont la sève qui monte !

Annabelle n’est pas du genre fille facile, mais à force de voir les animaux, tant de la ferme que de la nature environnante, se conter fleurette, parader comme les beaux gosses du village pour assouvir les instincts biologiques, elle aussi souhaite s’ouvrir à ce nouveau champ expérimental : bref, comme une grande majorité des êtres vivants, ceux sexués car tout le monde ne l’est pas, elle veut faire de la nature, voir la chose de près et tâter du gourdin.

Notre montalb(an)aise campagnarde se dit que plutôt que de s’offrir à un gars du patelin qui racontera à tous ses potes ce qu’il lui a mis, en surjouant au possible, elle préfère les prétendues sciences d’un gars des villes.

 

Après avoir expliqué son problème moteur, la cavalière blanche (qui vient et qui vole au secours d’innocents) lui propose de le ramener chez elle chercher un bidon pour faire le plein et recharger les batteries (enfin le réservoir). Devant l’insistance de Faudel à ne pas vouloir abandonner là son Dax, Annabelle lui propose d’aller déposer l’engin plus loin, dans une petite grange à l’écart dans son verger !

Avec notre équipement d’invisibilité, approchons-nous pour entendre ce qu’ils disent et utilisons notre analyseur de pensées pour connaître leur voix intérieure.

 

  • Faudel : « Merci beaucoup pour ton coup de main, je sais pas comment j’aurais fait sans toi ! Si je peux t’être utile en quoi que ce soit, n’hésite pas !
  • Annabelle : C’est bien normal voyons, si on peut aider quelqu’un dans le besoin, il faut le faire ! Mais maintenant que tu en parles, je vois bien un moyen de me remercier : un baiser fougueux sera ma récompense pour ma b.a du jour !
  • F : {Ouah, trop de la balle, je vais lui en mettre plein la langue à cette Anna(top)bonne, mais faut juste que j’arrête de trembler comme une feuille. Bon allé je me lance ! Tu fermes les yeux, tu mouilles tes lèvres et feu, c’est parti pour la valse des langues !}
  • A : {Hummm, si on oublie qu’il a commencé par m’embrasser le bout du nez, il fait ça plutôt bien !}
  • F : {C’est qu’elle aime ça la coquine ! Je suis sûr en plus qu’il y a moyen si je la chauffe tranquille jusqu’à ce qu’elle bouillonne et qu’elle s’abandonne à moi ! On va commencer gentiment par lui caresser le dos, ensuite j’attaque les hanches et si elle bronche pas je file droit vers les fesses.}
  • A : {Mais c’est qu’il est chaud bouillant celui-là ! Bon, qu’est-ce que je fais ? Il a l’air de savoir y faire, même s’il semble aussi timide/hésitant que moi. Allez, laissons-nous aller, on verra bien ce que ça donne, et au pire je ne le reverrai plus.}
  • F : {Glop glop, elle se laisse faire ! Je vais continuer de lui malaxer les fesses, quelques bisous dans le cou pour faire diversion et je palpe du nichon. Ouah ! Mais tâtez-moi ces gros melons de Miss Cavaillon, c’est vraiment du bon !!! Je déboutonne un peu et je fais prendre l’air à sa sphère orangère gauche. Elle me met vraiment la fièvre, je suis en sueur, mais quel bonheur ! Le soleil est au zénith comme ma bite, c’est l’heure de la sieste crapuleuse. C’est l’heure d’expérimenter les amours adolescentes à l’ombre de la jeune fille en fleur à déflorer : le papillon va enfin sortir de sa chrysalide !!!}
  • A : {Je le sens tout feu tout flamme, et son léchage intensif de mes récifs n’est pas là pour calmer ses ardeurs, ni les miennes d’ailleurs ! Moi qui ne connaissais des plaisirs de la vie que le concombre phallique, voyons l’effet que je lui fais ! Mazette, mais c’est qu’il est monté comme un étalon, un beau pur sang arabe ! J’ai hâte de sentir sa grosse courgette, ce qui ne devrait pas tarder vu qu’il commence à me défriser la chicorée en me mettant la main au panier à salade frisée !}
  • F : {Eh eh, je vois que la machine se met bien en branle, elle en a l’écume à la lèvre inférieure ! C’est le moment d’agir avec doigté pour la sentir ruisseler d’en bas comme moi de sous les bras ! Ouah, je pensais pas que ça lui ferait cet effet là !!! Ah non, c’est la barrière électrique qui la secoue comme ça ! En tout cas, vu comme elle s’agrippe à mon manche, c’est un peu le même genre d’électrochoc physique et émotionnel qui traverse son corps : les décharges électriques sont comme les hormonales !}
  • A : {Fatch, quitte à avoir mal en se faisant du bien, autant que je l’amène dans la grange, à la lisière des liserons [4] fripons [5] lui montrer comment on sait s’amuser dans la campagne juste avec une botte de paille et une bite de taille !}
  • F : {Même si « qui va piano va sano » [6], vu comme elle me prend de courte jupe, ça risque de venir vite ! Tout s’emballe trop vite même si d’habitude j’aime emballer vite fait s’est pesé les bons fruits bien mûrs (au marché en tout cas). J’ai la queue touffue [7] tout flamme. Mais ça va le faire, ça gère : quand c’est parti, il faut aller jusqu’au bout du bout, pas question de se débiner de la binette [8] !!! Sympa l’idée du box : elle qui apprécie les chevaux, elle va aimer se faire monter comme une jument, non par un poney, mais par un furieux étalon !!! Tu vas voir comme je vais la mener à la cravache cette bombe du milieu équestre ! Que je me rappelle comment ils font dans les films de boule ! Avec tous ceux que j’ai vus, j’arriverai à lui faire croire que j’en suis pas à mon coup d’essai, ce sera un coup de maître queue !!! Voilà, je te bascule sur la botte et tu m’offres telle une fleur ton bourgeon ! Je vais enfin découvrir son poteau rose clitoridien et introduire mon bâton rouge dans son pot aux roses [9] ! Donc là, il faut bien caresser son petit bouton de rose pour mettre de l’huile dans les rouages : dans la vie, petit homme, il faut que ça glisse ! Je vais lui emboucher son coing [10] en lui mettant mon dard dedans, cherchant la petite bête au fond du trou avec mon gros bâton ! Bon, c’est bien gentil tout ça mais justement, allons voir si la rose que j’ai cueillie il y a peu est éclose, que ma rosée l’arrose !!!}
  • A : {Maintenant qu’on est allongés dans la grange, je cherche l’aiguille faudellienne dans sa touffe de foin. Je prends en main le manche du bêcheur, enfin du pécheur plutôt vu comme il est déjà tout mouillé !}
  • F : {Hum, elle ouvre la cage à mon gros oiseau ; le regarder se lever c’est beau ! Euh, c’est bizarre, elle fait une "drôle" de moue devant mon bout ! Putain c’est quoi cette merde ??? Mon caleçon est taché, j’espère que ça va pas tout gâcher ! Bref, ne pensons plus à tout ça, l’important est de trouver le terrier, de suivre le lapin rose [11] et de l’apprivoiser avec ma grosse carotte. Tient ma belle, voilà du boudin, voilà du gourdin ! Bordel, elle est où cette putain d’entrée pour pénétrer la chaude clairière de la forêt "vierge ( ?)" humide ??? Dans les films de cul ça a l’air si facile, mais avec une vraie personne en face le passage réel à l’acte n’est pas si évident !}
  • A : {Mais qu’est-ce qu’il branle à avancer comme ça à tâtons, il tape sa gaule pour faire tomber les mirabelles ou quoi ???}
  • F : {Putain je comprends pas, j’ai même mis mes doigts pour guider mais ça suit pas ! Bordel, plus j’y pense et moins j’oublie et bande !!! Et tu crois qu’elle m’aiderait, en prenant la chose en main ??? Enfin c’est pas plus mal comme ça : un peu de concentration jeune homme, et tu vas voir, ça va bien se passer, tu es Robin de bois, l’homme qui envoie le bois !!! Et merde, voilà que ma bite me lâche et met le drapeau en berne ! C’est trop injuste toute cette impuissance alors que la belle s’offre au bête que je suis !!! J’ai même rien senti venir : j’allais lui lâcher le furet dans le terrier et finalement je passe pour un blaireau de mytho !!! Ça craint : si c’est sa première fois je lui aurai même pas pétée la rondelle, et si elle est plus vierge je passe vraiment pour un manche ! Bon, de toute façon je me casse demain, donc autant faire comme si et je m’arrache vite fait ! Tant qu’à lui donner le minimum syndical de plaisir, je vais continuer de la peloter et lui mettre trois doigts cette fois, ça fera un peu illusion et voilou !}
  • A : {Ah, c’est la débandade ! Quel mou du bout !!! J’aurai dû me méfier, il avait plutôt l’air d’un boute-en-train, le genre qui chauffe la jument pour céder sa place au dernier moment à l’étalon pour qu’il fasse saillie alors que l’autre canasson se contentera toujours de regarder !!! Bon allez, je me tortille un peu, je fais comme si de rien n’était ! Oh et puis zut, je suis dans un bon jour, je vais faire du social avec lui ; pour sûr, c’est dur d’avoir un tel coup de mou !}
  • F : {Cool, elle a rien capté et voilà que maintenant cette mutine butine mon Dard Des-Villes}
  • A : {Je veux bien être gentille mais quand même, ça craint le syndrome du poireau : déjà, la tête est blanche, mais en plus la queue reste verte, pas bonne à sucer ! Il m’aurait proposé un jus de carotte, j’aurais dit la carotte oui, le jus non, mais finalement j’aurai aucun des deux : pfff, tout dans la gueule du loulou, rien dans le slip !!! Ça m’aurait pourtant fait plaisir de lui faire plaisir ! Tant pis pour moi, mais au moins je n’ai rien perdu dans l’ "affaire" : j’ai pris du bon temps à défaut de mon pied, et il n’ira pas vanter ses "exploits" ! Y en a marre, je le remercie pour "tout ça" et on y va, "affaire" classée !!!}

 

 

  • Alors Faudel, comment s’est passé cette première fois ?
  • F : « Ben à vrai dire, je pensais pas que c’était aussi compliqué de trouver le trou et de pénétrer une si jolie fille qui se donnait complètement à moi ! Je sais bien qu’il n’y a pas d’heure pour manger du bâton de berger, mais là ça devait pas être le bon moment : moi qui voulait la déflorer, je ne l’aurai qu’effleurée !!! Ce qui aurait pu être une journée faste s’est transformé en jour néfaste ! »
  • À quoi penses-tu que ça puisse être dû ?
  • F : « Si je le savais ! Mais je pense que le fait d’avoir qu’un testicule joue sûrement pas en ma faveur, n’étant ni sûr que ça marche correctement ni qu’elle ne capterait rien !!! J’étais tout stressé, tout tendu … enfin, sauf au moment où il fallait ! Au lieu de me relaxer et de bien me concentrer pour lui rentrer dedans, j’ai paniqué parce que je sentais bien que j’allais pas niquer !!! »
  • Pour information, ta mésaventure est plutôt banale pour une première fois car le vagin est composé de muscles contractés qu’une pénétration lente mais vigoureuse détend et écarte. Et justement, la première fois, on n’est ni patient ni raide à cause du stress ! Que comptes-tu faire à présent ?
  • F : « Déjà j’irai voir un sexologue, j’ai pas envie que cette embrouille de slip me prenne la tête du nœud, j’ai assez de soucis avec le bahut ! Ensuite, d’ici un bon bout de temps, quand je serai sûr que ça marche et que je peux rester droit comme un zizi, je réessayerai ! »

[1] « Jeune coq », « petit zozio » dans le langage enfantin, quiquiriqui désignant le chant du coq.

[2] Se servir de tous les moyens, de toutes les ressources dont on dispose.

[3] Issu de niais, proprement « pris au nid » (en parlant du faucon : qui ne sait pas voler) : faire perdre à quelqu’un son innocence dans les choses de l’amour.

[4] Plantes grimpantes qui s’entortillent aux plantes voisines, à fleurs en entonnoir et feuilles en forme de cœur (autre nom de Belle de jour, lys des champs, robe de vierge, gloire du matin, clochette de la vierge).

[5] « Gourmand, bon vivant » : personne délurée, portée à des attitudes ou des propos grivois.

[6] « Qui va doucement va sûrement ».

[7] Qui est épais, bien garni.

[8] Instrument de jardinage servant à biner (« Labourer la terre pour l’aérer et donner plus de vigueur aux végétaux qui l’occupent » ; « embrasser sur les deux joues »).

[9] Équivoque sur découvrir, « soulever le couvercle et trouver (un secret) », appuyée sur le pot (nom du plus banal des récipients), et renforcée par « aux roses », évoquant une préparation particulièrement rare (ou un secret, auquel les valeurs érotiques de rose – virginité, hymen – ne sont peut-être pas étrangères).

[10] Fruit du cognassier : piriforme – en forme de poire – et volumineux, il est cotonneux en surface et, à maturité, est très odorant ; les coings crus ne se consomment qu’après blettissement, quand la chair du fruit est devenue plus que mûre et ramollie.

[11] Le lapin (cuni-culture) peut étymologiquement être rapproché du sexe féminin (cunni-lingus).


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