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  • Dame de cœur, à toi l’honneur ! Présente-toi à nous s’il te plaît.
  • « Bonjour, je m’appelle Virginie, j’ai douze ans et je viens de rentrer dans un collège privé catholique en 6ème dans une classe trilingue français-anglais-espagnol. J’habite Saint-Emilion, près de Bordeaux, et mes parents sont issus de l’aristocratie terrienne et viticole du cru. Plus tard je voudrais être doctoresse pour aider mes prochains à guérir ou au moins à mieux vivre leurs maladies ou troubles au sens large ».
  • Très bien. Après cette petite présentation, comme nous en avons discuté ensemble, nous allons te suivre de manière invisible dans ton parcours sentimental, amoureux puis sexuel au cours des vingt prochaines années. La cloche sonne, nous allons te laisser aller en cours et nous avec, incognitos bien sûr !

 

La première chose que l’on peut remarquer dans cette classe, c’est que Virginie est l’une des filles les plus formées de son âge, et d’ailleurs les garçons ne se privent pas de mâter ses petits tétés qui commencent à bien pointer le bout de leurs nénés. Que se passe-t-il ? À peine le cours commencé, Virginie demande à la prof de mathématiques si elle peut aller aux toilettes. Perplexe, l’institutrice estime qu’elle aurait quand même pu prendre ses précautions et faire sa petite affaire avant que tout le monde soit en classe. Devant la moue, l’attitude gênée et le visage tout rouge de Virginie, Mme Crapabelle se rend vite compte qu’il ne s’agit pas d’une simple envie pressante. D’ailleurs Virginie se rend au petit coin, d’un pas alerte certes, mais à reculons tout de même.

 

  • « Je suis dég ! Je ne sais pas ce qu’il m’arrive. J’avais depuis quelques jours une impression bizarre de bouffées de chaleur, une douleur dans le ventre et dans ma poitrine, mais rien d’assez grave pour en parler à mes parents et les inquiéter (moi-même je pensais que c’était dû au stress de la rentrée scolaire, au collège, dans un nouvel établissement en-dehors de mon village). Et là ce matin, à peine la journée de cours commencée que j’ai senti quelque chose de chaud et visqueux qui coulait le long de ma cuisse. Sacré début pour une rentrée scolaire ».
  • Tu ne sais pas de quoi il s’agit ?
  • « Je crois que j’en ai une vague idée, mais vous savez dans mon genre de famille (un peu coincé pour dire les choses vite), on n’aborde pas trop ce genre de sujets. Mais là c’est évident que je vais devoir en parler à ma mère ».
  • Et ? Comment te sens-tu à l’idée d’en parler avec ta maman ?
  • « Je ne suis pas très à l’aise, mais quand il faut il faut ! C’est vrai que et mes parents et moi-même avons toujours éludé voire refoulé la question, mais à présent c’est mon corps qui se manifeste et donc nous sommes au pied du mur. Ce n’est quand même pas de ma faute si mes hormones (déjà exprimées avec mes débuts de seins et de poils) font que je deviens une vraie jeune femme à partir d’aujourd’hui ».

 

Visiblement troublée et mal à l’aise par l’irruption de sa féminité, Virginie demande et obtient de l’infirmière scolaire de pouvoir quitter l’école pour la journée. Cette dernière lui propose également de dégrossir la thématique de la puberté et plus précisément des menstruations, mais Virginie préfère s’en entretenir, pudibonderie et intimité obligent, directement dans le cadre familial, du moins dans le giron maternel.

 

  • « Comme tu es coquette ma fille : à peine rentrée de l’école que tu changes déjà de pantalon !
  • Euh, mère, ce n’est pas ce que vous croyez !!! J’ai eu ma première … "fuite" aujourd’hui !!!
  • [Madame mère, au teint subitement blafard] : D’accord, bon, assieds-toi, il faut que nous ayons une petite discussion entre femmes de bonne famille. Que sais-tu à ce sujet ? As-tu déjà appris des choses à l’école à ce propos ?
  • Certes, je connais les bases biologiques, la notion de cycle menstruel d’ovulation puis d’expulsion d’un ovule non-fécondé, mais ce qui me préoccupe est davantage lié à comment cela va influencer ma vie future ... à tous les niveaux et concernant les différents pans de vie qui s’ouvrent à moi !
  • Hum ... bien, eh bien ... disons que tout ce que tu as besoin de savoir est que ... ton corps se transforme afin que tu deviennes une femme ! L’important à partir d’aujourd’hui est que tu te connaisses assez, hum ... en terme de ressenti physique global, pour savoir interpréter les signes avant-coureurs des règles et limiter ainsi les maux qui y sont liés comme des crampes dans le bas-ventre ou la poitrine douloureuse.
  • Oui bien sûr, mais ... je voulais savoir aussi que faire face à ... vous savez bien mère ... la sex...
  • Parbleu, tu es bien jeune pour te poser ce genre de question !!! Si tu t’appelles Virginie, c’est bien parce que ton père et moi-même avons de hautes valeurs en la matière et que nous ne voulons pas que ta beauté soit entachée avant que nous ayons trouvé le gendre idéal ! Allons déjà acheter des serviettes hygiéniques, tu auras tout le temps pour trouver le mari adéquat, celui qui te comblera et à qui tu voudras offrir ton bien le plus précieux en vue de pérenniser la lignée ! »

 

Le soir venu, alors que Virginie s’endort perplexe face à son désir d’avenir de femme et à la pression morale de la part de ses parents, sa mère met son père au parfum.

 

  • « Édouard, cela me gêne de vous dire cela, mais notre fille unique devient une femme à présent !
  • Et oui Marie-Hélène, elle grandit, ainsi va la vie !
  • Je crains que vous ne m’ayez pas très bien saisie très cher : Virginie a eu ses premières règles aujourd’hui, son fruit défendu commence à mûrir, sachant que ses seins ont déjà bien pris la forme de pommes !!!
  • Comment ?!?!?! Fichtre, voilà que ce que nous craignions le plus arrive à grand pas ! Même si elle est une fille sérieuse et de bonnes mœurs, nous nous devons de la préserver de tous ces prédateurs qui pourraient roder autour d’elle ! Même si son collège a très bonne réputation, et c’est bien pour ça d’ailleurs qu’elle y est, nous devons prendre garde à ses fréquentations. Tous les élèves ne sont pas issus de familles aussi honorables que la nôtre, la preuve en est que certains ont été arrêtés en détention de drogue ! Il nous faut à tout prix veiller à ce qu’elle reste loin des déesses tentation de Satan, le sexe et les stupéfiants, qui ont déjà perverti trop d’âmes égarées !!!
  • Seigneur dieu, ne la laissez pas succomber aux tentations du mâle et du Malin, mais délivrez la du mal des plaisirs charnels et émotionnels artificiels !!!
  • Amen, que votre prière soit entendue ! Sur ce, ne nous inquiétons pas trop non plus, nous lui avons donné une éducation morale rigoriste qui saura la détourner des chemins de travers ! Bonne nuit Marie-Hélène [petite bise sur la bouche], et ne vous tracassez pas trop, nous avons largement le temps de voir venir.
  • Bonne nuit Édouard [baiser sur le front], votre chambre séparée est à nouveau chauffée, la chaudière est réparée ! »

Pendant ce temps-là, à mille lieux de là.

 

  • Roi de pique, à toi la suite ! Présente-toi à nous s’il te plaît.
  • « Bonjour, je m’appelle Faudel, j’ai douze ans, je viens d’arriver en France de ma Kabylie natale et j’entre au collège ZEP de Sarcelles. Mon père est arabe musulman, travaillant à l’usine, et ma mère est berbère animiste. Plus tard je voudrais être dans les affaires pour assurer à ma famille une vie correcte et être bien intégré ».
  • Très bien. Après cette petite présentation, comme nous en avons discuté ensemble, nous allons te suivre de manière invisible dans ton parcours sentimental, amoureux puis sexuel au cours des vingt prochaines années. La nuit tombe en cette période de Ramadan, nous allons te laisser aller te restaurer et rejoindre ta famille et nous avec, incognitos bien sûr !

 

À peine entré dans l’appartement, on s’aperçoit que Faudel est choyé voire même couvé par sa mère. Alors que le père travaillait depuis quelques années déjà en France, il a enfin pu faire venir sa femme et ses cinq enfants, trois filles dont l’aînée et deux garçons dont Faudel, le petit dernier. En ce jour de fête, on lui présente d’ailleurs sa cousine (du côté maternel), la très charmante Bouthaïna (notre Bettina, « femme à peau douce »), en vue de les marier comme le veut la tradition du bled. Le simple fait de lui toucher la main provoque chez Faudel une érection et des joues rouges qu’il a du mal à dissimuler. Il préfère s’éclipser un temps dans sa chambre.

 

  • « Je suis dég ! Je sais pas ce qu’il m’arrive. Je m’étais déjà réveillé en pleine nuit ou au petit matin avec le zizi tout dur, mais jamais j’avais ressenti ça en pleine journée juste en touchant quelqu’un. En plus, je viens tout juste de m’apercevoir que j’en ai mouillé mon caleçon avec un liquide blanc gluant. Sacré début pour un premier contact avec une fille ».
  • Tu ne sais pas de quoi il s’agit ?
  • « Je crois que j’en ai une vague idée, mais vous savez dans mon genre de famille (un peu coincé pour dire les choses vite), on n’aborde pas trop ce genre de sujets. Mais là c’est évident que je vais devoir en parler à mon père, ou plutôt à mon frangin ».
  • Et ? Comment te sens-tu à l’idée d’en parler avec ton frère ?
  • « Je suis pas très à l’aise, mais quand il faut il faut ! C’est vrai que et mes parents et moi-même avons toujours esquivé voire censuré la question, mais à présent c’est mon corps qui se manifeste et donc nous sommes au pied du mur. C’est quand même pas de ma faute si mes hormones (déjà exprimées avec ma voix cassée et mes débuts de poils) font que je deviens un vrai jeune homme à partir d’aujourd’hui ».

 

Visiblement troublé et mal à l’aise par l’irruption de sa masculinité, Faudel mange en silence et loin de sa cousine si perturbante. Son oncle, bien conscient de l’effet que fait cette petite (qui n’est pas sa nièce) sur Faudel, lui propose de dégrossir la thématique de la puberté et plus précisément de l’érection et de l’éjaculation, mais Faudel préfère s’en entretenir, « honte » et intimité obligent, dans le cadre familial restreint, du moins dans le giron fraternel.

 

  • « Alors frérot, qu’est-ce qu’il t’est arrivé tout à l’heure ? Je t’ai vu devenir rouge comme une tomate, le sang t’est monté à la tête ???
  • C’est pas ce que tu crois frangin ! Le sang m’est pas monté à la tête, mais plus bas !! J’ai eu mon premier jet aujourd’hui !!!
  • [Le grand frère de trois ans de plus, aux yeux subitement pétillants] : D’accord, bon assois-toi, il faut que nous ayons une petite discussion entre jeunes de bonne famille. Que sais-tu à ce sujet ? As-tu déjà appris des choses à l’école à ce propos ?
  • Disons que j’avais déjà vu au bled des ânes avec le sboub dur puis qui crachait, qu’Eric Cartman dans le dessin animé South Park disait que pour coucher avec une fille il fallait introduire son sexe et lui pisser dedans, mais ce qui me préoccupe est davantage lié à comment ça va influencer ma vie future, à tous les niveaux !
  • Hum ... bien, eh bien ... ce n’est pas la meilleure période pour aborder cela, en plein Ramadan consistant à lutter contre ses désirs humains, à combattre l’homme intérieur, même si c’est aussi le moment de faire le point sur tes faiblesses personnelles. Même si certains courants musulmans estiment que le plaisir est un don d’Allah, il faut pour autant savoir ne pas abuser des bonnes choses ! Tout ce que tu as besoin de savoir est que ton corps se transforme afin que tu deviennes un homme ! L’important à partir d’aujourd’hui est que tu te connaisses assez, hum ... en terme de ressenti physique global, pour savoir interpréter les signes avant-coureurs de l’érection et limiter ainsi les gênes qui y sont liées comme la bosse dans le pantalon ou l’angoisse de la tache blanche.
  • Oui bien sûr, mais ... je voulais savoir aussi que faire face à ... tu sais bien frangin ... la sex...
  • La hachuma [1] ! Même si c’est la nuit et qu’on a de nouveau le droit, tu ne dois pas parler de cela !!! Je sais que tu seras fou d’elles Faudel, mais papa m’avait dit quand j’avais ton âge : « tu sais, les filles méfie-toi, c’est pas ce que tu crois ! », et pour moi, elles sont toutes des taspé !!! Ce qui compte pour les parents, c’est que tu fondes une famille avec une femme bien sous tous rapports, notamment concernant la religion. Mais tu as encore bien du temps devant toi avant de trouver, par toi-même ou offerte par une famille amie, celle qui sera assez honorable pour intégrer notre clan dans ce nouveau pays ».

 

Le soir venu, alors que Faudel se rend compte que son membre se durcit simplement en le touchant et qu’il peut cracher sur commande, son père (informé par le frère) met sa mère au parfum.

 

  • « Fatima, je suis heureux de t’apprendre que Faudel notre dernier fils sera un homme !
  • Je sais bien Aziz, la vie et les poils poussent vite !!!
  • Mais non, c’est pas ce que je voulais dire : Faudel a eu ses premières pertes blanches aujourd’hui en saluant sa cousine Bouthaïna. Si c’est pas mignon, d’ici quelques temps ils nous feront un beau garçon !
  • Ou belle fille Aziz !!! Tu sais très bien que pour nous berbères animistes, c’est la femme qui décide et l’homme qui fait appliquer !
  • Oui oui, mais pour nous arabo-musulmans c’est le contraire !!! En tout cas, ce que nous attendions le plus arrive enfin à grands pas ! Faudel est un bon garçon, et s’il s’agitait moins il pourrait aller loin ! Nous nous devons de le calmer un peu pour qu’il se concentre sur ses études pour s’en sortir et ne pas tourner mal comme tous les garçons de la cité ! Puisque son collège a plutôt mauvaise réputation, nous devons prendre garde à ses fréquentations et éviter qu’il ne devienne un tarout [2] en buvant de l’alcool. Quand il sera avec une fille bien qu’il épousera ensuite, ça ne pourra que l’assagir et le remettre dans le droit chemin !
  • Tout ceci est vrai, d’autant qu’une fille pourra accompagner Faudel dans son intégration dans ce nouveau pays si différent, mais il faudra aussi se méfier qu’elle soit à la hauteur de mon fils ! Sa future femme devra être de chez nous, pas une de ces filles de la seconde génération qui vivent comme les françaises insolentes, et surtout bien rester à sa place car je reste la femme la plus importante pour son bien !!!
  • Inch Allah [3], mais ne nous inquiétons pas trop non plus, nous lui avons donné une bonne éducation morale qui saura le garder sur la bonne piste ! Faisons l’amour avant de nous dire bonne nuit, et ne te tracasse pas trop, nous avons largement le temps de voir venir.
  • Tu as raison, profitons de cette douce nuit pour oublier nos soucis et remercier Allah de nous avoir fait comme nous sommes ».

 

Nous voici donc de retour en plateau avec Virginie et Faudel pour savoir, avec le recul des années, comment ils ont vécu ce passage délicat de l’enfance à l’adolescence.

  • Bonjour Virginie. Alors, comment regardes-tu ces images aujourd’hui ?
  • « Bonjour. Ça me fait bizarre, surtout que même si les choses se sont tassées entre-temps avec ma famille, je comprends mieux d’où je viens et par quoi je suis passée ! Les premières règles sont toujours un cap délicat à passer pour une jeune fille, d’autant plus dans un contexte familial où tout ce qui a trait au sexe est tabou. J’étais "contente" de devenir une femme, mais en même temps je m’inquiétais de savoir comment les choses allaient se passer par la suite. D’autant que les gars faisaient déjà une fixette sur mes formes, qui n’avaient plus rien de juvéniles ! »
  • Bonjour Faudel. Et toi, quel est ton point de vue sur cette époque charnière ?
  • « Bonjour. Hum, ça me met mal à l’aise d’être présenté sous cet angle d’entrée de jeu ! Je reviens aussi de loin au final, même si mes parents ont assez vite lâché l’affaire au sujet du mariage avec ma cousine. Sinon, c’est vrai que j’étais peut-être un peu impulsif quant à mes pulsions mais bon, je me suis vite soigné ! »
  • C’est-à-dire ?
  • « Euh, pour maîtriser la bête, je suis vite devenu un adepte du fait de se tutoyer l’invertébré, de se branler la nouille quoi ! C’était ma façon à moi d’apprendre à connaître et à maîtriser mon corps !!! »
  • D’accord, nous allons justement reprendre la suite du documentaire et voir comment s’est passé votre première fois respective. Magnéto Serge !

[1] Honte sur toi !

[2] Impie, rebelle.

[3] « Si dieu le veut ».


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Chers téléspectatrices et vidéomateurs, bienvenue dans le documentaire « Immersion Totale : Qui veut la peau du sexe ? ». Nous allons pénétrer ensemble les milieux les plus tabous et pourtant si présents, quoique cachés pour ceux qui ne savent ou ne veulent pas les voir. L’objectif est de décrire, sans juger, le mode de fonctionnement des humains en général, et d’une catin et d’un libertin en particulier (ces esclaves – plus ou moins consentants ou manipulés par leurs hormones – sexuels car sexués), afin d’aborder franchement et sans détour les questions et interprétations des fondamentaux de la vie, à savoir la sexualité, la reproduction, les couples infernaux de l’Amour et de la haine, du plaisir sensuel et de la douleur du manque ou du trop-plein, tout ceci étant le rectal-versal de la même médaille !

 

Comme je vous le disais, nous allons suivre, en Immersion Totale comme le nom l’indique, deux individus, "représentants" de la gente féminine et masculine et personnes symptomatiques de tous les temps mais aussi de notre société occidentale qui se perd à tenter de se trouver sans s’accepter avec ses travers (plus ou moins de porcs). Habillés de vêtements d’invisibilité, nous les filmerons dans leurs activités (à ce propos, la sensibilité des plus jeunes ou des plus prudes risquerait d’être perturbée par certaines scènes : nous vous avertirons par une montée en puissance de symboles en bas de votre écran indiquant le côté froid, tiède, chaud ou bouillant des images ou des dialogues) puis nous les laisserons s’exprimer librement. Nous n’interviendrons que très ponctuellement afin de préciser ou d’orienter les interrogations : en effet nous privilégions l’aspect "divan" (dans lequel vous êtes sûrement à l’heure actuelle affalés) et vivant des commentaires à chaud.

 

Commençons par le commencement en introduisant le sujet : nous allons aborder le premier épisode pour connaître un peu nos deux compères à l’heure où les choses du sexe se révèlent à eux, avant de les suivre pas à pas dans leurs (més)aventures d’une heure, d’une nuit, d’une vie.

Sur ce, nous vous laissons pour 52 mn en Immersion Totale afin de savoir « Qui veut la peau du sexe ? ». Bon film, tchi-tcha !


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  • Alors Virginie, maintenant que tu as quinze ans, dis-nous tout de ta vie sentimentale.
  • Virginie : « Ouah, il y a tant à en dire ! Disons que je suis pas mal courtisée avec mon 90C et que je suis plutôt bonne … en cours ! Bref, un certain nombre de garçons me considèrent comme la star du collège, comme un canon, idéal de beauté, mais ça c’est eux qui le disent ! »
  • Et, comment le prends-tu ? Qu’est-ce que tu ressens avec cette abondance de propositions, plus ou moins indécentes j’imagine ?
  • V : « En fait, j’ai déjà embrassé quelques garçons : à force de sollicitations j’ai cédé et ça m’a de suite séduite ! Les garçons sont tellement attentionnés envers moi, même si je ne suis pas dupe de leurs arrière-pensées et que ça me met en porte-à-faux avec les autres filles ! Mais tant pis pour ces jalouses, moi j’en profite ! Enfin … je sélectionne, je ne pars pas à la chasse au bon homme puisque ce sont eux qui viennent à moi, et je fixe les limites qui me conviennent ! »
  • Les garçons proposent et toi tu disposes ! Et ? À quand le grand saut ?
  • V : « Quand je sentirai que c’est le bon moment et la bonne personne ! Je veux que nous soyons tous les deux vraiment amoureux pour que ma première fois se passe au mieux ! Je ne suis pas pressée, et ce n’est pas les courtisans qui manquent, mais je ne veux pas me donner au premier venu, qui ensuite ira crier sur les toits qu’il m’a accrochée à son tableau de chasse ! J’ai une réputation à tenir et je ne laisserai personne la ternir !!! »
  • Bon casting alors, on va continuer à te suivre discrètement.

 

 

Étant donné que ses parents sont forts occupés durant l’été avec la gestion des vendanges à venir, Virginie est envoyée les deux premières semaines de vacances en séjour linguistique en Angleterre. Pour autant, pas question pour elle, au-delà des cours de langues et spécialement du french-kiss, de crier « À nous les petits anglais ! », elle les bouterait hors de sa frange ! De retour au pays, ses parents veulent qu’elle apprenne la valeur du travail et elle se cassera donc le dos avec les autres ouvriers agricoles. Même si certains saisonniers lui tournent autour, ils se ravisent vite quand ils apprennent qu’elle est la fille de ses parents, les patrons ! De toute façon, ils ne sont que de passage, donc ils ne passeront pas sur elle ! Par contre, sortant le soir dans le village ou la ville voisine pour oublier les corvées de la journée, elle rencontre bon nombre de connaissances plus ou moins proches et d’autres personnes qu’on lui présente, certifiées "bien sous tous rapports". Elle n’a plus qu’à "analyser" les satellites qui gravitent autour d’elle afin de séparer le bon grain de l’ivraie (ainsi que de l’ivrogne) et détecter celui qui est assez sérieux à ses yeux pour éventuellement jouer aux jeux amoureux.

 

À passer tout l’été à danser et chanter, Virginie a pas mal enlacé et emballez, mais elle garde toujours à l’esprit un jeune homme calme et discret, portant fière allure et qui n’a jamais tenté de jouer des coudes pour se faire mousser auprès d’elle. Il est sympa, attentionné, la fait rire, mais elle sent bien que tout ceci n’a rien de stratégique au contraire des autres garçons ; il est le bon copain, voire plus si affinité … qu’il ne recherche pas à tout prix.

Deux semaines avant la rentrée au lycée, elle a gardé le meilleur pour la fin des vacances ! Comme concernant le pouvoir, elle décide de donner sa chance à celui qui ne la recherche pas !!!

Quelque peu lassée de toujours traîner avec des petits jeunes boutonneux, Virginie propose à Paul d’aller s’éclater dans une boîte de nuit branchée de Bordeaux. Tout étonné que ce joli petit lot s’intéresse à sa personne discrète alors que tant de monde lui tourne autour, il lui sort le grand jeu en la conduisant dans le carrosse Merco de ses parents. Sur le dance-floor, montée sur les estrades, Virginie est vite entourée de beaux gosses frimeurs à la Aldo Maccione (mais pas classe du tout !). Paul est déçu, mais déçu, … terriblement déçu ! Il s’avoue enfin que tout ceci est bien normal, comment aurait-il pu imaginer une seconde qu’une si belle fille pouvait s’intéresser à un gars comme lui ?! Il se résout alors à admettre que Virginie l’a sollicité uniquement car lui avait le permis et une voiture. De fait, quand Virginie lui tend la main pour monter sur le podium et se trémousser avec elle, il décline, poliment mais quand même, l’invitation. Les serial-"lovers", guettant toujours qui est avec qui histoire de ne pas perdre leur temps, jettent un regard condescendant sur ce gars taillé dans une biscotte et pas franchement top tendance. Alors que l’un d’eux propose à Virginie un verre, elle ne le calcule même pas et descend de son piédestal pour rejoindre Paul à son niveau. Fondamentalement, ce qu’elle adore chez lui c’est qu’il se comporte avec elle comme avec n’importe qui, qu’il lui résiste et ne cède pas à la moindre de ses volontés juste pour bien se faire voir et monter dans son estime : fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis !!! Quand arrivent les slows où on se love, un énième clubber tente sa chance avec elle, mais Virginie se jette dans les bras du timide venu (avec elle, et non à elle). Tournoyant sur une chanson prédestinée qui a tant permis d’emballer en boom, Virginie intercepte le regard fuyant (car ne sachant pas sur quel pied danser) de Paul, lui fait les yeux doux. Au moment du refrain, elle lui fait du charme de l’œil et répète le nom de la chanson : « Nothing else matters » (rien d’autre n’a d’importance), et embrasse délicatement mais tendrement (pour ne pas troubler Paul encore plus qu’il ne l’est déjà) son charmant cavalier. Toutefois, même s’ils se connaissent depuis quelques temps déjà et qu’elle a fait le premier pas, Virginie n’est pas du genre à coucher le premier soir, mais plutôt le premier mois. Certes ils se peloteront avec effervescence dans la bagnole mais ils en resteront là : même si Paul paraît être un mec bien, Virginie préfère voir si les lendemains chantent et laisse venir ; adviendra ce que
pourra / voudra !

 

Justement, un mois plus tard, Paul et Virginie ont passé le reste des vacances ensemble à fricoter et se tripoter, puis se sont retrouvés dans le même lycée privé, elle en seconde et lui en terminale. Après avoir passé pas mal de soirées en privée ou avec des potes, Virginie est sûre que Paul est un gars bien puisqu’il n’étale rien à ses copains et ne se vante même pas : ça y est, Paul obtient son b.a.t. (bon à tirer), tout vient à point pour qui sait attendre ! Il avait déjà essayé de passer à la vitesse supérieure, mais voyant que miss n’était pas plus chaude que ça, il avait tout de suite respecté son choix et ainsi calmé ses ardeurs et cessé ses gestes "déplacés" (du moins à ces moments-là). À présent, la donne est toute autre, Virginie est prête à le faire, parce qu’il le vaut bien !

Comme à l’accoutumée, Paul attend Virginie dans sa voiture, stationné derrière le portail du château familial. Ayant déjà été intrigué les semaines passées par ce manège, monsieur père sort et aperçoit le carrosse. Il explique à son conducteur que Virginie n’est pas encore prête et lui propose de l’attendre dans leur salon. Les parents s’entretiennent alors avec ce jeune homme, plutôt bon chic bon genre, quand miss descend les escaliers dans une belle robe façon bal des débutantes. À présent que les présentations officielles ont été faites, les deux tourtereaux partent en soirée. Toutefois, étant donné que les cours ont repris, Virginie n’a plus dorénavant que la permission de minuit. Ils vont ainsi dans un bar branché, déguster un cocktail et danser. Après une heure seulement, chauffée à blanc, Virginie demande à Paul d’aller voir ailleurs comment cela se passe. Étonné, Paul se voit rassuré par un petit clin d’œil qui fleure bon la surprise "inattendue" mais tant espérée ! Et en effet, Virginie indique à Paul un petit coin tranquille, le belvédère fétiche des amoureux de la région, d’où la vue est sublime et l’atmosphère propice.

Avec notre équipement d’invisibilité, approchons-nous pour entendre ce qu’ils disent et utilisons notre analyseur de pensées pour connaître leur voix intérieure.

 

 

  • Virginie [après de longues minutes de baisers ininterrompus] : Excuse-moi de te demander cela, mais … tu l’as déjà fait ?
  • Paul : Hum, à dire vrai … pas tout à fait, je ne suis jamais allé jusque-là ! Mais avec toi ce n’est pas pareil, je me sens beaucoup plus à l’aise pour franchir le pas {depuis le temps que je me dis qu’à l’occasion je ferais bien reluire la carrosserie de cette pouliche en lui mettant un coup de polish}. Et … et toi ???
  • V : Idem, tout pareil !!! On va y aller en douceur si tu le veux bien. Par contre, pour ne pas tâcher les sièges de la voiture de tes parents, je te conseille de mettre une serviette pour … enfin tu vois ce que je veux dire !
  • P : Je vois oui ! {Bon, maintenant passons aux choses sérieuses, voyons voir ce qu’il y a sous le capot ! Montre-moi ces airbags que je saurais voir !!! Je déboutonne un peu et … ouah, ça c’est du décolleté généreux, elle est monté en 20 pouces ! Je vais basculer son siège passager, ce sera plus facile.}
  • V : {Le lion est lâché et sort ses griffes, il va rugir de plaisir, trop tard pour revenir en arrière. Fichtre, soit je me trompe de cible, soit il a un sacré levier de vitesse ! Ce n’est pas tout ça, mais faisons prendre l’air au piston ! Effectivement, il est plutôt bien équipé avec son démonte-pneu !!! Son arbre à came m’enflamme !!! Hum, pendant qu’il inspecte ma chambre de combustion à tâtons, je vais le tournevisser, au moins chacun aura expertisé le véhicule du septième ciel de l’autre !!! Ah, il passe déjà la seconde ! Bon, je vais enfin voir ce que cela fait que de monter dans les tours !!! Oups, il a du mal à enfiler sa capote : prend ton temps mon grand mais dure pas trop longtemps !!!}
  • P : {Voilà, on est à l’abri, la berline des pines est capotée ! Faisons rugir de plaisir ce joli bolide, cette belle sportive racée ! Par contre je ne sais pas si ça rentre, ça paraît étroit pour garer ma titine dans son garage ! Ah beh si ! Hum, comme c’est bon cette chaleur moteur !!! Mais ce n’est pas franchement pratique comme popole position, essayons plutôt sur la banquette arrière ! Je ne sais quoi faire : comme le mélange est le feu orange envers l’autre, j’y vais ou pas, j’accélère ou je freine en attendant le prochain tour de cire quiqui ? Je ne peux plus reculer, faut que j’accélère pour aller plus vite de l’avant dedans !}
  • V : {Aïe ! On ne peut pas dire qu’il fasse dans la mécanique de précision !!! À force de rester en seconde à haut régime, s’il continue comme ça le rupteur va … Et beh voilà, le moteur a déjà rendu l’âme ! C’est sûr qu’il n’est pas dragueur, mais là c’est carrément un dragster ! Forcément, il est parti si vite que, par manque de lubrification, il a coulé une bielle en chauffant puis fondant ! Mon moteur est neuf et ce Fangio l’a tellement poussé à fond dans les trente premières secondes que ça a fait un serrage à froid ! Comme le moteur tournait trop vite, trop rapidement, la chaleur a fait dilater son segment qui a grandi en diamètre et a raclé trop fort la chemise. Mon huile lubrifiante n’a pas eu le temps de revenir et, après quelques instants, le piston et la chemise se sont touchés assez fortement. Tout ça a fait grandir la partie où s’est produit le frottement et le côté opposé du piston a subi une telle pression que le serrage a eu lieu. Ça a bloqué immédiatement le segment au fond de la gorge et ça a provoqué la perte de compression du moteur. Le piston s’est bloqué brutalement dans la chemise, ce qui a provoqué l’arrêt instantané du moteur. Pfff, c’est parti sur les chapeaux de roue, ça a fini sur la jante !!! Pour une première fois, je ne pensais pas que ça ferait aussi mal, heureusement que ça n’a pas duré trop longtemps !!! Allez, un peu de tendresse après cette course de brute, mes caresses l’aideront à apaiser tous ses voyants au rouge !}
  • P : Ouah ! J’espère que, comme moi, tu as apprécié ce voyage vers le septième ciel ! {même si j’ai tellement flashé sur elle que j’ai confondu vitesse et précipitation dans l’éjaculation}
  • V : Oh oui mon chéri, c’était très bien ! {Tu parles, j’ai plutôt l’impression qu’on s’est arrêté à mi-parcours ! À force de trop sous-virer, sa direction ne répondait plus et il est allé droit dans le mur ! Pourtant, je suis sûre qu’avec un peu de technique et surtout en dosant mieux, il serait capable de bien braquer et de réaccélérer plus facilement en sortie de virage ! Le temps de recharger les batteries pour remettre le compteur à zéro la pause s’impose ! Mais avant qu’il ne me ramène chez moi, je veux reprendre la route, mais cette fois ce sera moi qui conduirai, histoire de vraiment voir ce qu’il a dans le (bas) ventre, en y allant progressivement, étape par étape !}.
  • P [après un break câlin d’une demi-heure, une heure avant la fin de la permission de sortie de Virginie] : Ah, te revoilà d’attaque pour repartir sur les chapeaux de roue ! Ça me fait plaisir {que tu redemandes le plein de super, sans plomb dans l’aile !}
  • V : Normal, mon conducteur d’élite ! {C’est vrai qu’il assure dans les petits virages, mais il est toujours le pied au plancher. Cette fois, sous ma conduite, on va prendre le chemin des écoliers, finie l’autoroute à fond à fond ! Déjà, je vais assurer un bon préchauffage du diesel en le faisant monter gentiment dans les tours puis redescendre à bas régime ! Un bon coulissage du piston du prépuce sur son gros cylindre, une bonne lubrification, voilà un bon rodage !!!}
  • P : {Hum, j’adore quand elle prend le levier ! Pour une nouvelle sur le circuit, elle masterise les essais qualificatifs ! Ah, c’est l’heure du grand prix, elle me place sur la grille de départ !}
  • V : {Cette fois je vais mieux régler son ralenti, à l’aiser sa méga nique et bien dégripper sa durite en lustrant correctement sa bougie ! Ok, ça c’est fait ! Bon allez, je copilote, cette fois emboutis-moi le pare-choc !!! D’abord je le fais sortir des stands de maintenance en étageant les rapports jusqu’à de hauts tours-minute puis on enchaîne une grande ligne droite, à fond de 6è ! Je lui prends l’arrière-train, le fait ralentir et rétrograder, un petit virage et on accélère en sortie de courbe ! On reste en 5è, une chicane arrive. Un coup à gauche, ensuite je le fais braquer à droite et c’est reparti pour un tour ! Voilà, il gère la course, j’ai mon moteur turbo qui est au taquet, il ronronne et hurle plein gaz ! Un petit arrêt au stand baisers mouillés, ravitaillement en souffle. Un début d’accélération et maintenant je lui fais faire une sortie de (bi)route je tenterais bien un tête-à-queue, mais je pense que ce serait trop pour lui : lui appuyer sur le frein ferait trop vite sortir le liquide par pompage mais note pour la prochaine course ! Hum, comme c’est bon quand il revient sur la piste et qu’il rentre dans le tunnel !!!}
  • P : {Ouah, c’est terrible quand elle crisse comme ça ! Ah, je sens le drapeau blanc, c’est le dernier tour avant l’arrivée ! Depuis le temps que je tourne, je vais donner un dernier coup de boost ! Mon pistolet envoie l’essence dans son réservoir, cette fois je l’ai vraiment fait vrombir de plaisir !!!}
  • V : {Argh, comme c’est bon, sacré empire des sens !!! Cette fois il s’est vraiment dépassé ! Enfin le drapeau à damier, j’ai cru que j’allais exploser ! Sur ce coup-là, il a bien maîtrisé le champignon en faisant une sorties de couple couplés !!! Sa conduite était plus spectaculaire (glissades, dérives, contre-braquages) en faisant tourner l’arrière de son engin plus vite que l’avant ! En maîtrisant comme un pilote averti le survirage, sa bête de course a bien glissé et son temps au tour était nickel : son moteur a un peu perdu des tours et de la puissance en accélération mais finalement c’est ça qui était bon !!! Par contre, pour pas qu’il ne s’enflamme de trop, va falloir que je lève la prise de pied pour pas qu’il s’habitue et devienne accro à mon flash !!!} Félicitations mon champion, tu mérites tous les lauriers et le champagne !
  • P : Merci à toi, tu es une sacrée préparatrice !!! {Tu m’étonnes Paul vu comme j’ai pris mon pied, à coups lisses en coulisse ! Par contre, la prochaine fois, j’aimerais bien prendre les chemins de traverse, boueux, histoire de sortir hors des sentiers battus !}

 

 

  • Alors Virginie, comment s’est passée cette première fois ?
  • V : « Honnêtement, je ne pensais pas que ça ferait aussi mal, mais il faut dire que Paul est parti au quart de tour, comme un bolide ! Heureusement, la seconde fois, j’ai suivi mon instinct et on a réussi à trouver le bon rythme ! »
  • Quelles sont tes premières impressions sur "la chose" ?
  • V : « Passées les douleurs de la première pénétration et de la perforation de l’hymen, j’ai senti une grande vague de chaleur et de bonheur envahir tout mon corps ! J’en avais des frissons, mais qu’est-ce que c’était bon !!! En plus, ce n’était que mes deux premières fois, donc je pense que ce sera encore meilleur avec de l’expérience. Je suis ravie de l’avoir fait, avec lui, aujourd’hui ! »
  • Que comptes-tu faire à présent ?
  • V : « Recommencer d’ici peu de temps ! J’en parlerai à certaines copines qui l’ont déjà fait ou qui ont des grandes sœurs, histoire de s’échanger de bons tuyaux ! Sinon, ma curiosité et mon intérêt étant fortement éveillés, j’irai voir sur le net des positions et des conseils d’adultes. J’ai hâte de "remettre le couvert" – si vous me passez l’expression – car je sais qu’on va aller avec Paul de découvertes en découvertes ! » 

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